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« Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire (…) c’est de ne pas faire écho aux applaudissements imbéciles… » (Jean Jaurès)
Le billet rapporté par Maamar Farah du soir d’Algérie du jeudi laisse perplexe devant la dégradation des termes de la vie des citoyens. C’est une incroyable information. Il est fait état de la réunion urgente du Wali pour tous les maires de la Wilaya de Taref, à l’extrême Est de l’Algérie en vu de la mise en place de budgets conséquents pour la réhabilitation ou la réalisation d’infrastructures culturelles, d’ouvertures de salles de cinémas de théâtres, d’instituts de musiques, de parcs et jardins, de zoos, de bowlings, de centres scientifiques, des circuits de karting et tout ce qui est lié aux loisirs et à la détente tant pour la famille que pour la jeunesse .
Pourquoi donc ce subit intérêt à la joie et à la gaité ? Nous vivons parait-il dans le pays le plus triste de la planète, après la Corée du Nord bien sur .
La constructions de logements, de routes ,d’écoles ,de lycées, d’universités (sans apports culturels rappelons-le )ne suffi t plus . Maamar Farah affirme que : « Dans ce pays, l’un des plus tristes de la planète, et peut-être le plus triste, la jeunesse vit au rythme des vieux qui la commandent. Malades, usés, ratatinés, les maîtres du pays ont certainement perdu la joie de vivre. Et comme les jeunes savent qu’ils ne peuvent pas changer l’Ordre de la Tristesse, ils rêvent de décamper vers les territoires où règne encore l’Ordre de la Joie… ».
Nous le disions tout récemment, l’été est rentré de plein pied, la déprime aussi .Pour beaucoup, il ne restera que l’air chaud à respirer ou à rêver de partir.
Pendant ce temps là ,nos vieux croupions ou ceux qui sommes devenus ne rêvent que d’une Omra ou d’une Hadja, histoire de « yagheslou 3athamhoum » à l’approche d’une fin inéluctable. Mais que dirons-nous ? Avons-nous laissé des enfants heureux, une jeunesse heureuse, un peuple heureux. Parfois, il n’en faut pas beaucoup pour cela, il faut juste changer quelques mentalités rétrogrades et penser que comme le corps, l’esprit a lui aussi besoin de se nourrir.
Tristesse, quand tu nous tenailles ! Dans un pays gouverné par les séniles, il n’y a place qu’à la sénilité.
setif info
Le billet rapporté par Maamar Farah du soir d’Algérie du jeudi laisse perplexe devant la dégradation des termes de la vie des citoyens. C’est une incroyable information. Il est fait état de la réunion urgente du Wali pour tous les maires de la Wilaya de Taref, à l’extrême Est de l’Algérie en vu de la mise en place de budgets conséquents pour la réhabilitation ou la réalisation d’infrastructures culturelles, d’ouvertures de salles de cinémas de théâtres, d’instituts de musiques, de parcs et jardins, de zoos, de bowlings, de centres scientifiques, des circuits de karting et tout ce qui est lié aux loisirs et à la détente tant pour la famille que pour la jeunesse .
Pourquoi donc ce subit intérêt à la joie et à la gaité ? Nous vivons parait-il dans le pays le plus triste de la planète, après la Corée du Nord bien sur .
La constructions de logements, de routes ,d’écoles ,de lycées, d’universités (sans apports culturels rappelons-le )ne suffi t plus . Maamar Farah affirme que : « Dans ce pays, l’un des plus tristes de la planète, et peut-être le plus triste, la jeunesse vit au rythme des vieux qui la commandent. Malades, usés, ratatinés, les maîtres du pays ont certainement perdu la joie de vivre. Et comme les jeunes savent qu’ils ne peuvent pas changer l’Ordre de la Tristesse, ils rêvent de décamper vers les territoires où règne encore l’Ordre de la Joie… ».
Nous le disions tout récemment, l’été est rentré de plein pied, la déprime aussi .Pour beaucoup, il ne restera que l’air chaud à respirer ou à rêver de partir.
Pendant ce temps là ,nos vieux croupions ou ceux qui sommes devenus ne rêvent que d’une Omra ou d’une Hadja, histoire de « yagheslou 3athamhoum » à l’approche d’une fin inéluctable. Mais que dirons-nous ? Avons-nous laissé des enfants heureux, une jeunesse heureuse, un peuple heureux. Parfois, il n’en faut pas beaucoup pour cela, il faut juste changer quelques mentalités rétrogrades et penser que comme le corps, l’esprit a lui aussi besoin de se nourrir.
Tristesse, quand tu nous tenailles ! Dans un pays gouverné par les séniles, il n’y a place qu’à la sénilité.
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