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Un virus à l'hôpital Parnet

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  • Un virus à l'hôpital Parnet

    Un incident s’est produit, hier soir, à l’hôpital Parnet, un virus a causé le décès des nouveaux nés.
    Où vont nos hôpitaux ? Ils se détériorent de jour en jour, c’est malheureux d’en arriver là.

  • #2
    Trop c'est trop, des têtes doivent tomber.
    On prend pas des postes de responsabilité sans responsabilité.
    Que chacun assume!

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    • #3
      C'est où ca, Parnet?
      A Alger?

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      • #4
        L'hôpital Parnet se trouve à "Hussein Dey"

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        • #5
          Ah ben si les virus atteignent meme les hopitaux des favorisés......ou va t'on ???

          Treve de plaisanterie, je ne pense pas que cela soit un cas isolé en Algérie.
          Il y a eu pas mal d'articles á ce sujet sur FA.

          Et les hopitaux publics vous en pensez quoi ?

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          • #6
            Vous avez le goût de plaisenter avec ça
            On ira loin, pas aujourd'hui mais ça sera sûrement demain, sans aucun doute, ça sera sans vous......

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            • #7
              Vague, sorry si tu n'adheres pas á la derision.

              Les virus touchent tous les hopitaux....meme en France

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              • #8
                Cela ne me suprends pas, durant mes courtes vacances en algérie il y a 1 mois, j'y fais un "petit tour" à l'hopital Parney...
                Je suis allée au service maternité et la gynéco m'a reçu dans un bureau où la chaise était complètement rouillée et horriblement sale...fenêtre ouverte alors que des gamis jouaient dehors (je ne vous dit pas la discrétion )...et il parait qu'il fallait apporter sa serviette pour s'allonger et être ausculter !! J'ai halluciné !! un dossier de patient en papier à fait office de serviette....

                Il n'y a pas d'hygène dans les hopitaux en Algérie, même dans ceux réputés être les meilleurs, comme Parney...
                C'est bien dommage et je comprends la fuite des médecins algériens à l'étranger, vu les conditions sanitaires dans lesquels ils exercent...
                Désormais, la plume est rangée et l'encre des pages séchée...

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                • #9
                  Moi je suis outré, surtout quand il s'agit de Parnet, l'hopital où je suis né
                  j'ai lu l'article d'El Watan de ce matin, on n'est apparemment pas sûr que se soit une infection nosocomiale, l'article disait que selon "une source" ils étaient tous dans des couveuses, quatre d'entre eux étaient prématurés, pesaient 900 g (risque de mortalité élevé), deux autres (jumeaux) sont morts d'une infection, et le dernier est mort suite à une maladie. pas plus de précision, à part que le ministre c'était déplacé sur les lieux et qu'une enquête avait été ouverte.

                  Que Dieu donne la patience aux parents

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                  • #10
                    C'est cette semaine que les causes du décès des 7 nouveaux né sera connue mais l'Algérie a un taux tres elevé de décès en néo-natalité juste uniquement pour le premier trimestre 2006 il y a eu 88 nouveau-nés décédés au service de la maternité du centre hospitalo-universitaire d’Oran. Il y a des chiffres qui font peur à savoir que selon les spécialistes, 90% du personnel des maternités ne sont pas formés pour la prise en charge des nouveau-nés.
                    de même que là on nous dit que " le taux de mortalité chez les femmes et les enfants est à 50%, d’autant plus que l’Algérie enregistre annuellement 30.000 décès chez les bébés, soit dix fois plus que ce qui est enregistré en Europe."

                    ===

                    Les résultats de l’enquête épidémiologique diligentée pour déterminer les causes des décès des 7 nouveau-nés au niveau de l’hôpital Parnet seront connus cette semaine. C’est ce qu’a affirmé hier le ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière, M.Amar Tou, en marge d’une visite d’inspection à l’Institut Pasteur de Dely Ibrahim. «Nous ne savons pas encore si ces décès sont dus à un problème viral ou bactériologique ou bien si c’est une infection de l’intérieur ou de l’extérieur de l’hôpital», a-t-il précisé, en ajoutant, que seule l’enquête peut déterminer les vraies causes de ces décès.
                    Par ailleurs, les premiers résultats de l’enquête, établis par une équipe de spécialistes, ont été rendus publics dans un communiqué du ministère.
                    Quatre décès, indique ce dernier, sont dus à une prématurité aggravée par une infection materno-foetale ; un décès est dû à une asphyxie néonatale sévère avec un état de mal convulsif ; un décès est lié à une maladie congénitale du tube digestif ayant nécessité une colostomie et un cas de méningite bactérienne. Ces nouveau-nés présentaient soit un faible poids de naissance, ajoute le communiqué, soit une prématurité donc un état physique particulièrement fragile. Juste après l’annonce de ces décès, l’hôpital a pris des mesures de sécurité concernant l’isolement géographique et technique des malades hospitalisés en néonatologie, la désinfection des locaux et le renforcement des mesures d’hygiène générale ainsi que le dégagement d’espaces pour assurer la continuité des nombreux accouchements pris en charge par l’établissement. De plus, l’antibiogramme est en cours pour déterminer la nature du germe, et une antibiothérapie sera engagée dès réception des résultats.

                    Cet événement tragique nous rappelle les drames qui se sont produits à Djelfa en 2004, où 13 bébés sont décédés et à Mascara lorsque deux ans avant, 7 bébés avaient trouvé la mort à cause d’une mauvaise manipulation d’un produit vaccinal.

                    Selon les spécialistes, lorsqu’il y a mort de personne dans une structure de santé, les parents de la victime doivent déposer plainte auprès du procureur territorialement compétent. «L’article 288 du code pénal prévoit, en effet, la sanction des personnes responsables d’homicide par négligence», expliquent les hommes de loi. La plainte devra être déposée contre l’hôpital. Le parquet déclenchera alors une enquête qui permettra de situer les responsabilités. Dans tous les cas, le directeur de la structure de santé est le premier responsable, en sa qualité de représentant de la personne morale: il est civilement responsable.

                    Notons que, selon les dernières statistiques, le taux de mortalité chez les femmes et les enfants est à 50%, d’autant plus que l’Algérie enregistre annuellement 30.000 décès chez les bébés, soit dix fois plus que ce qui est enregistré en Europe.

                    Cela est dû au manque de moyens, d’où le refus d’hospitalisation par le service des nouveau-nés, à l’hôpital Mustapha, de jusqu’à 1000 bébés par an. Ce nombre s’est élevé à 1200 bébés en 2005.

                    Le ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière, Amar Tou, avait pris la décision, faut-il le souligner, de la création d’un service devant prendre en charge les enquêtes sur les cas de transfert des femmes enceintes d’un hôpital à un autre.

                    par l'expression

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