Le ministre de la Pêche et des ressources halieutiques, M. Abdallah Khanafou, a annoncé que son administration va lancer 156 projets d’aquaculture. Ceux-ci viendront s’ajouter aux vingt projets déjà lancés et qui ont «fait leurs preuves».
Il s’agira concrètement de la mise en place de cages flottantes, « une méthode peu couteuse par rapport à l’élevage en bassin, qui est beaucoup plus cher et avec des délais de réalisation trop long », précise le ministre.
« Nous sommes en train d’appliquer les recommandations de la FAO qui encourage les pays à investir dans l’aquaculture et notre expérience dans ce domaine a été prouvée, puisque des opérateurs locaux ont réussi l’élevage de certaines espèces de poissons dans différents sites d’élevage », a expliqué Abdallah Khanafou.
En effet, la ferme d’Azeffoun, dans la wilaya de Tizi-Ouzou, est entrée en production avec une capacité annuelle de 1250 tonnes de loup de mer et de daurade, en plus de deux autres fermes de conchyliculture marine d’une capacité de production de 100 tonnes d’huîtres et de moules par an.
Le ministre n’a pas manqué de signaler que «les moyens financiers pour la réalisation de tous ces projets sont présents, mais l’absence d’un dispositif pour l’utilisation de ce fonds au profit du développement de ces projets reste un problème qui doit être réglé par une révision des textes de loi », a-t-il indiqué.
Nabil Mansouri
Il s’agira concrètement de la mise en place de cages flottantes, « une méthode peu couteuse par rapport à l’élevage en bassin, qui est beaucoup plus cher et avec des délais de réalisation trop long », précise le ministre.
« Nous sommes en train d’appliquer les recommandations de la FAO qui encourage les pays à investir dans l’aquaculture et notre expérience dans ce domaine a été prouvée, puisque des opérateurs locaux ont réussi l’élevage de certaines espèces de poissons dans différents sites d’élevage », a expliqué Abdallah Khanafou.
En effet, la ferme d’Azeffoun, dans la wilaya de Tizi-Ouzou, est entrée en production avec une capacité annuelle de 1250 tonnes de loup de mer et de daurade, en plus de deux autres fermes de conchyliculture marine d’une capacité de production de 100 tonnes d’huîtres et de moules par an.
Le ministre n’a pas manqué de signaler que «les moyens financiers pour la réalisation de tous ces projets sont présents, mais l’absence d’un dispositif pour l’utilisation de ce fonds au profit du développement de ces projets reste un problème qui doit être réglé par une révision des textes de loi », a-t-il indiqué.
Nabil Mansouri
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