Les biens wakfs appartenant au ministère des Affaires religieuses et desWakfs font l’objet d’un pillage organisé et d’une exploitation anarchique sans aucun droit.
Le pillage et l’exploitation de ces biens wakfs appartenant à tous les Algériens se passe d’une manière illégale et ce en dépit de la promulgation en 1991 d’un texte de loi qui régit les biens des wakfs musulmans et non musulmans en 1991. Le comble dans cette grave affaire, c’est la manière vraiment mystérieuse avec laquelle des étrangers ont pu s’emparer de vastes assiettes foncières dans le plus «chic» quartier d’Algérie, à savoir le quartier Sidi Yahia au cœur d’Hydra (Alger). Il n’est secret pour personne que le M² de terre dans cette région dépasse les 50 millions de centimes.
Des documents obtenus par Echorouk montrent comment des sociétés libanaises et algériennes, qui se cachent derrière des investissements et la promotion immobilière, ont pu s’emparer d’une assiette foncière d’une superficie totale dépassant les 12 000 M² à Sidi Yahia, commune de Bir Mourad Raїs dans la wilaya d’Alger. Cette très importante assiette foncière est un bien wakf appartenant au ministère des Affaires religieuses et des Wakfs comme l’atteste un acte de possession publié le 19 avril 2004 sous le n° 78, volume 389.
La confiscation de cette assiette a eu lieu le 6 septembre 2006 par l’arrêté ministériel n° 278. Ce dernier a accordé l’usufruit de ce bien wakf prétendant d’y investir. Cette «confiscation» a été faite avec un acte notarié datant du 9 janvier 2007, sous le n° 58, volume 450. Le vrai prix de ce terrain confisqué dépassé les 600 milliards de centimes. Or, la partie ou les parties ayant «cédé ce trésor» à la personne morale dénommée «Promotion immobilière Kortobia», s’était ou s’étaient contentée(s) du prix très symbolique d’un milliard de centimes.
Juste après son obtention, cette assiette foncière considérée comme étant la plus grande assiette libre au niveau d’Alger, a été morcelée le 20 janvier 2008 en petites parcelles destinées à la construction.
Echourok
Le pillage et l’exploitation de ces biens wakfs appartenant à tous les Algériens se passe d’une manière illégale et ce en dépit de la promulgation en 1991 d’un texte de loi qui régit les biens des wakfs musulmans et non musulmans en 1991. Le comble dans cette grave affaire, c’est la manière vraiment mystérieuse avec laquelle des étrangers ont pu s’emparer de vastes assiettes foncières dans le plus «chic» quartier d’Algérie, à savoir le quartier Sidi Yahia au cœur d’Hydra (Alger). Il n’est secret pour personne que le M² de terre dans cette région dépasse les 50 millions de centimes.
Des documents obtenus par Echorouk montrent comment des sociétés libanaises et algériennes, qui se cachent derrière des investissements et la promotion immobilière, ont pu s’emparer d’une assiette foncière d’une superficie totale dépassant les 12 000 M² à Sidi Yahia, commune de Bir Mourad Raїs dans la wilaya d’Alger. Cette très importante assiette foncière est un bien wakf appartenant au ministère des Affaires religieuses et des Wakfs comme l’atteste un acte de possession publié le 19 avril 2004 sous le n° 78, volume 389.
La confiscation de cette assiette a eu lieu le 6 septembre 2006 par l’arrêté ministériel n° 278. Ce dernier a accordé l’usufruit de ce bien wakf prétendant d’y investir. Cette «confiscation» a été faite avec un acte notarié datant du 9 janvier 2007, sous le n° 58, volume 450. Le vrai prix de ce terrain confisqué dépassé les 600 milliards de centimes. Or, la partie ou les parties ayant «cédé ce trésor» à la personne morale dénommée «Promotion immobilière Kortobia», s’était ou s’étaient contentée(s) du prix très symbolique d’un milliard de centimes.
Juste après son obtention, cette assiette foncière considérée comme étant la plus grande assiette libre au niveau d’Alger, a été morcelée le 20 janvier 2008 en petites parcelles destinées à la construction.
Echourok
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