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Mohamed Boudiaf

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  • Mohamed Boudiaf

    en regardant a 19H les info sur canal algerie j ai ete choque de voir de la façon dans la quelle la seul tele national a couvert la ceremonie. il y avait tout juste 20 persone en ne distingue meme pas qui ete present

    je voulais juste signale cela parceque j ai souvent entendu notre president denonce le manque de repere de la jeunesse algerienne je trouve scandaleux qu il n y ai pas d hommage officiele a un homme comme Mohamed Boudiaf.
    desole je ne trouve pas les mots pour montre mon indignation c est un scandal
    "Penser globalement, agir localement" Jacques Ellul

  • #2
    beh rendant lui , a ce grand homme, nous meme les hommages qu'il merite !!

    Quand a Boutef il ne fait que parler pour ne rien dire !! pour lui c'est ca la politique et c'est a ca que ca sert son pouvoir de president !!!
    Et puis il n'a jamais ete un Moujahid pour compendre ce que cela veut dire !!!

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    • #3
      Boudiaf allah yarahmou est un homme que je n'oublierai
      jamais.il aime beaucoup son pays et pour cela,il n'avait
      guére peur de mourir pour lui.son passage aussi court soit-il
      a marqué tous les Algériens dignes de ce nom.
      un pays qui ne veut pas de la trompe de BOUDIAF?ou va t'il?

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      • #4
        Boudiaf, le saint-just de la révolution algérienne. Le pere du 1er Novembre, le millitants incorruptible. On peut lui repprocher certaines choses, mais il a toujours placé l'Algérie avant tout. Ses années de clandéstinité ont forgé don caractère et son mépris pour les quètes matériels. Il a d'ailleurs payé de sa vie son mépris pour ceux qui voyaient l'Algérie comme une poule aux oeufs d'or.

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        • #5
          Historienne, militante anticolonialiste et pour l’indépendance de l’Algérie, Annie Rey Goldzeiguer brosse le portrait, « un portrait à plusieurs facettes » de Mohamed Boudiaf, auquel elle était liée par une profonde amitié, avant même de le connaître physiquement, alors qu’il était en prison.A son sens, s’il est un homme qui incarne le 1er Novembre 1954, c’est bien Mohamed Boudiaf.

          Mohamed Boudiaf était un grand seigneur. Il avait un port d’aristocrate, une intelligence très fine. Il lisait énormément. Mohamed était un homme intègre, vertueux. Un homme très structuré, un organisateur né. Mohamed Boudiaf était animé d’une volonté de démocratie réelle. Il avait beaucoup souffert du manque de démocratie du PPA, des cooptations. Il pensait que c’était au contraire, en laissant s’épanouir la démocratie, que le peuple algérien avancerait.

          Il voulait que l’Algérie intègre la modernité

          Notre groupe, qui s’est formé fin 1955, était constitué d’anciens communistes qui avaient peu à peu pris des distances avec le parti. On était des porteurs de valises. Nous avions des contacts très étroits avec certains des nationalistes algériens emprisonnés. C’est dans ces conditions que nous avons eu un dialogue avec Mohamed Boudiaf. Mohamed Boudiaf, c’est d’abord l’interlocuteur que je ne connaissais pas, et avec qui j’ai dialogué à travers les murs de la prison

          . On s’est connus sans se connaître. On se connaissait d’autant que Gérard Spietzer, qui faisait partie du groupe, a été arrêté et placé en détention avec Boudiaf. Pendant la période précédant le 1er Novembre 1954, Mohamed Boudiaf a joué un rôle essentiel et a continuellement œuvré à l’unité du mouvement nationaliste. Gilbert Meynier (historien) affirme que Mohamed Boudiaf a été centraliste, ce n’est pas vrai. Boudiaf ne pouvait pas être centraliste, il était pour l’unité. Il a créé le CRUA qui a échoué, puis les 22. C’est à partir de là qu’a été décidé le recours à la lutte armée, avec l’idée qu’il fallait la lancer et que le peuple suivrait. Il y a tout l’apport de Mohamed Boudiaf, en particulier dans l’OS, au sein de laquelle il a joué un rôle très important. Il s’était même entraîné à devenir un militaire clandestin.

          Les membres de l’OS éprouvaient pour Boudiaf un attachement filial. Il ne les a pas abandonnés, il les a soutenus. Les activistes ont lancé le 1er Novembre 1954 en sachant qu’il n’y aurait pas d’alternative, qu’il n’y aurait pas de négociations de troisième force. C’est Mohamed qui est chargé de la logistique. Il avait déjà prévu les voies d’acheminement des armes et des munitions. Le 1er Novembre 1954, j’étais catastrophée. Je me suis dit, ils vont dans le mur. Cela va recommencer, comme au 8 mai 1945. Lancer l’insurrection dans l’état de décomposition du PPA, c’était, à mon sens, de la folie. A Niort, il y avait Messali, à Alger, le comité central. Deux congrès se sont tenus, l’un au Hamma, l’autre à Hornu. Ce n’était pas une explosion, comme le 8 mai 1945, le 1er Novembre 1954, c’était plus limité. Les Français, au début, n’y ont pas cru. C’est ce qui a peut-être permis la lente ruralisation du mouvement de Libération. A partir du moment où les masses ont été jetées en 1955 dans la lutte, celle-ci prenait une autre tournure. Zighout avait fait du bon travail, militairement parlant, lui qui n’avait rien de militaire.

          Suite et source

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          • #6
            Allah yarham echchouhada.

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            • #7
              quel grand homme !!!!




              allah yarahmou !

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              • #8
                Un rêve qui s'applelé l'Algérie

                Boudiaf était un juste parmi les justes il avait un rêve qu'il s'appelé l’Algérie. Mais à cause de notre pouvoir barbare et sanguinaire ce rêve c’est arrêté net à Annaba. Ce n’est pas un hasard si son assassin n’a jamais était vraiment connu et qu’aucune enquête n’a jamais était faite. Les assassins de Boudiaf Allah y Rahmou son toujours à la tête de notre pays.

                Que Dieu l’accueil dans son paradis amine.

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                • #9
                  Mohamed Boudiaf

                  Bonjour,
                  Mohamed Boudiaf a été assurément le seul président réellement représentatif de l'Algérie authentique même si on ne lui a malheuereusemwent pas laisser le temps de se faire légitimement élire par son peuple pour lequel il n'a jamais hésité à accepter le sacrifice suprême.
                  En quelques mois ,il a su redonner confiance à la majorité des Algériens grace à son language vrai venant du fond des tripes et transpirant l'amour de la patrie et de la justice . Son parler franc a résonné dans les plaines. les villes et les montagnes d'Algérie , meme ceux et celles qui ne comprennent que le Tamazight, comme ma mère qui disait de lui "D Adziri n tidet yerna d argaz d wawal !"(1) ont tout de suite senti en lui le vrai patriote qui allait sortir notre Algérie des ténébres. C'était malheureusement trop beau pour que les fossoyeurs le laissent faire.
                  Gloire et honneur à Tayeb El Watani et souvenons nous surtout de son slogan favori:"L'ALGÉRIE AVANT TOUT!"
                  Oumerri
                  (1) en arabe algérien : Dziri taa Esseh' U Radjel âlih leklam!
                  Ledzayer tezdegh ul-iw
                  Dzayer sakna fi qelbi

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                  • #10
                    Mohamed Boudiaf

                    Très jeune , je me rappelle de ces balles assassines qui ont touchés une fleur de notre Algérie .
                    Une fleur qui pour son jardin avait accepté de rayonner par son rose écarlate .

                    La force du rose pendant une période pourtant bien sombre .

                    J’ai passé quelques heures cette nuit à lire quelques biographies sur lui .

                    Allah Yrahmou ou Wassi Alih Inchallah

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                    • #11
                      J'ai regretté hier l'absence de la classe "politique", aucun n'est venu se recueillir devant sa tombe.

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                      • #12
                        Kayfa anssa??

                        Kayfa anssa ? Je me rappellerai toute ma vie..... Je croyais ke tout allait redevenir normal en sa présence....Mais non ce n'était ke le début du commencement :22:
                        Ellah yerham tout ceux ki ont une mort injuste.....

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                        • #13
                          Boudiaf (allah ya rahmou) est le seul président algérien qui était sincère dans sa volonté de changer le pays. Ils ont abusés de son amour pour l’Algérie, de sa notoriété et de sa naïveté dans un contexte très difficile à l’époque. Son assassinat reste toujours un mystère.
                          Dernière modification par shadok, 30 juin 2006, 19h53.
                          Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                          • #14
                            le feu boudiaf était un espoir pour nous aussi au maroc,il a vécu entre nous a kénitra ou il a reussi entant qu'homme d'affaire, sa présence en algérie aurait donné un grand soufle à notre relation de voisinage,du respect,de l'amour et d'échange économique..
                            dommage,on a vraiment pas de chance en perdant une grande personnalité comme boudiaf

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                            • #15
                              Boudiaf, un grand homme et résistant de la première heure, de la toute première, quand j'aurais un peut de temps j'essayerai un ecris !

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