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Maroc :L’instruction qui a mené Alioua et ses cousins en prison

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  • Maroc :L’instruction qui a mené Alioua et ses cousins en prison

    Maroc : L’instruction qui a mené Alioua et ses cousins en prison


    1 juillet 2012 .Akhbar al youm



    Après plus de sept mois de navettes entre son domicile et les locaux de la Brigade nationale de la Police judiciaire (BNPJ), l’ancien PDG du CIH, Khalid Alioua, a été présenté vendredi dernier au juge d’instruction chargé de l’affaire, qui lui a lu les chefs d’inculpation qui pesaient contre lui, et qui a entendu, 20 minutes durant, Alioua nier le tout. Puis le juge d’instruction lui a signifié qu’il était désormais poursuivi en état d’arrestation.
    Alioua, qui s’était présenté à la BNPJ à neuf heures du matin, a attendu, en compagnie de deux de ses proches, eux aussi poursuivis dans le cadre de la même affaire, jusqu’à 16 heures, avant de passer devant le juge. Cette fois, il était apparu abattu et inquiet, comme s’il savait déjà que cette fois, il resterait entre les mains de la justice. Les deux autres personnes qui l’accompagnaient et qui ont été aussi à leur tour placées en détention sont ses deux cousins, le premier ayant bénéficié d’un appartement acquis auprès du CIH pour un prix largement inférieur à sa valeur réelle, le second pour avoir reconnu que dans le cadre de ses activités de chef-cuisinier dans un restaurant appartenant au CIH, il gardait pour lui les bénéfices engrangés.
    Quant à la sœur d’Alioua, dont on avait annoncé l’arrestation, elle est également poursuivie, mais laissée en liberté. On lui reproche d’avoir fait financer les funérailles de son époux, à hauteur de 130.000 DH, par l’hôtel Riad Salam, appartenant au CIH ; mais la dame a tout nié en bloc, de même que son frère Khalid. Or, le directeur de l’hôtel a bien confirmé avoir reçu l’ordre, verbal, du PDG du CIH pour régler le traiteur.
    L’enquête a également établi que Khalid Alioua a acquis un logement qui est le produit de la fusion de deux appartements, d’une superficie totale de 394 m², situés au boulevard Rachidi à Casablanca, que la banque avait récupéré en 1997 pour 1.695.802 DH et que le président de la banque a racheté, en 2006, sans l’accord de son Conseil d’administration, à 1.705.000 DH, soit 3.458 DH/m² à un moment où le m² dans cette zone valait 20.000 DH (soit une valeur totale, évaluée par la Cour des Comptes, à 8.000.000 DH). De plus, la banque, avant la vente, avait engagé des dépenses de réfection et d’aménagement à hauteur de près de 2 millions de DH. Plus tard, le Conseil de surveillance du CIH a réévalué le prix de l’appartement à 3.888.000 DH, montant approuvé par l’Assemblée générale, mais malgré cela, Khalid Alioua ne s’est acquitté de la différence qu’un an après, après avoir reçu l’indemnité de son départ de la banque, en 2009. Plus important encore est que cette affaire risque d’éclabousser Mustapha Bakkoury, l’ancien PDG de la CDG, qui a signé le document de vente définitive du bien en question.
    Autres dysfonctionnements
    Une autre affaire est celle d’un appartement, là encore, à Hay Riad à Rabat, d’une superficie de 157 m², vendu en 2005 à 863.500 DH, soit 5.500 DH/m², alors que le prix réel était à cette époque de 15.000 DH/m². Même chose pour l’immeuble inachevé City One, à Marrakech, contenant galerie commerciale et d’une superficie totale de 1.872 m², que le CIH a acheté en 2002 pour une somme globale de 27.280.335 DH, avant de le vendre, treize mois après, pour un prix de 14.000.000 DH, soit une perte sèche de 13.000.000 DH, ce qui conduit à se poser des questions sur les véritables bénéficiaires de cette vente.
    Il y a aussi le cas de cet immeuble inachevé, à Kenitra, se composant de 58 fonds de commerce et 88 appartements, acheté par voie judiciaire par le CIH en 2006 pour un montant total de 18.851.506 DH et vendu dix mois après pour 23,5 millions de DH, alors que l’estimation proposée par une expertise évalue le bien à 38.049.625 DH, soit une perte, encore, de 14,5 millions de DH.
    L’arrestation de Khalid Alioua paraît différente de celle des deux autres hauts fonctionnaires, actuellement en prison, l’ancien directeur de l’Office des aéroports, Abdelhanine Benallou, arrêté au début de l’instruction de son affaire, ou Taoufik Ibrahimi, interpellé en pleine rue par la BNPJ. Pour l’avocat de l’ancien patron du CIH, son maintien sous mandat de dépôt à Oukacha est « un acte illégal car il dispose de toutes les garanties juridiques et parce que son affaire est encore étudiée par les magistrats de la Cour des Comptes ». Pour l’avocat, il n’est pas normal d’avoir conduit un dossier pénal contre Alioua alors que la même affaire est encore jugée par la Cour des Comptes, à laquelle personne n’a rien demandé, ce qui éveille les soupçons du défenseur.

  • #2
    Et dire que ce socialiste (et ex ministre du temps de Abderrahmane El Youssoufi) prônait l'equité et la lutte contre la corruption quant il était dans l'opposition .

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    • #3
      donc en somme , des voleurs ne se sont pas entendus avec d'autres voleurs , et ont décidés de faire payer les voleurs .......
      " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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      • #4
        donc en somme , des voleurs ne se sont pas entendus avec d'autres voleurs , et ont décidés de faire payer les voleurs .......

        Cell
        Je crois plutôt que le PJD ( avec le sulfureux Ramid comme ministre de la justice)regle des comptes en attendant que l'un des siens soit pris la main dans le sac car tout le monde sait que le pouvoir corrompt ..

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        • #5
          la reforme

          et pourquoi vous pensez pas que le chantier de la reforme est ouvert sérieusement
          a marrakech par exemple l'été est deja signalé brulant pour la bande des élus voleurs,ils sont tous condamner a rester chez eux en attendant leur procés ...

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          • #6
            Dommage on n’aura pas droit de voir des tètes de l’istiqlal tomber pendant ces 5 ans puisqu’ils sont toujours au gouvernement, ce que a fait alioua c’est juste un micro échantillon de la corruption généralisé des hauts responsables depuis l’époque H2 et M6 a continuer cette politique. Maintenant le régime sacrifie quelques tètes des USFP pour faire croire au changement de sidna … des tètes qui étaient choisit par ce même sidna a la tète de ces postes (alioua, ibrahimi) et qui étaient même décorés par ce sidna comme s’ils avaient accomplis de superbe boulot a l’époque !

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            • #7
              soufiane oujda

              abderrazaq afilal ex patron du syndicat istiqlalienne UGTM est demandé en justice a casa et lui est une grande personnalité historique mm de l'istiqlal.
              abdouh aussi parlementaire et membre du secretariat general du mm parti est convoqué aussi a marrakech et interdit de quitter le pays...donc il n'y a pas de distinction entre les voleurs

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              • #8
                on verra bien si les dossiers sont traité avec impartialité et bonne gestion .

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                • #9
                  marrakech

                  Aucun fassi fihri ne posera son Q a oukacha avec cette reforme constitutionnelle de maquillage, l'ancien ministre des affaires étrangères après avoir dilapidé le fric du ministère en finançant amadeus un caprice de son fils s'est fait remercier en devenant conseiller royale ... donc intouchable par la justice marocaine ...

                  Le système est entrain de sacrifier de tètes, 10 ou 20 tètes qui tomberons pour faire croire a la réforme … mais rien ne changera dans le fond, sachant que ces pourris tous étaient désignés et couverts et décorés par M6.

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                  • #10
                    soufiane

                    on condamne pas un ministe sans preuve,personnelement je suis contre l'existance de cette famille dans plusieurs secteurs mais j'aime bien voir des documents avant de traiter quelqu'un de tricheur.

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                    • #11
                      marrakech

                      Les preuves existent, le truc c'est que on n'ose pas le chercher et ouvrir une enquête ... l'abus de la tribu fassi, enquêter dans les dossiers de l’OCP et afficher ce qui s’est passer, la ram et mettre en taule bnhima il a mis la ram en faillite et il est toujours a son poste, enquêter sur les dilapidations dans la caisse de retraite pour que cette caisse soit a bout de faillite même pas 10 ans après la première vague des retraités etc etc!!!!!!!!!!
                      Une dilapidation de deniers publics a grande échelle, la monarchie toujours derrière … elle donnera quelques oses alioua+ibrahimi au peuple pour qu’il se calme pendant qu’elle continue a lui sucer du sang sans être dérangée.

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                      • #12
                        Soufiane
                        je suis avec toi mais je suis aussi avec Marrackech aussi.

                        à toute chose il y a un debut.
                        Le PDJ connaissant leur limite vont pas attaquer tout le monde.
                        y a des petit requins et des gros.
                        dans le passé ni les petits ni les gros n'étaient même pas pointus du doigt.
                        Donc psychologiquement on en arrive à un ceratin point de non retour.

                        Aucun clan ne peut resister à une machine bien roder.
                        En attendant qu'elle soit bien rodée, du moins esperons qu'elle le soit dans 5 ans.
                        La haine aveugle

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                        • #13
                          soufiane la famille ben hima n'est pas une famille fassi mais elle est de safi au sud. et abass el fassi n'est pas un fassi mais un oujdi marie avec la fille de Abbass el fassi et change son nom de famille........

                          un voleur n'a pas de nationalite. il est tous simpelement un voleur. il peut etre chinois comme oujdi comme fassi......

                          et pour les preuves, on vois bien comment c'etais difficile de trouver quelqueshose contre ce monsieur. maintenant on l'acuse parccequ'il a donne du travaille a 2 cousins. une appart que le CIH a acheter pour 1.6 million de DH a casa et que ce directeur a achete pour 1.7 million de dh...... ou sont les milliards de $ dont il a ete accuser par les journaux. ils n'ont qu'a donne les preuves. le monsieur est arrete et le maroc a besoin de ces milliards.

                          on attend des preuves.
                          Dernière modification par auscasa, 02 juillet 2012, 17h17.

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                          • #14
                            Dans toutes les démocraties en devenir , il faut un temps de transition ou le nettoyage se fait petit a petit


                            c'est le cas en espagne , en grèce, au Portugal dans les pays de l'est

                            lors de la periode de transition qui peut durer des decennies il y a des procès qui annonce à tous le changement des regles du jeux

                            Donc Soufiane laisse le temps faire son travail

                            A te lire on serait tenté de faire de la gestapo et mettre tous ceux qui s'appelle Fassi fihri dans des guetto
                            .
                            .
                            ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
                            Napoléon III

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                            • #15
                              Il n'y a pas que les fassis ( et Alioua qui est un R'bati) car une autre affaire risque de retenir l'attention car elle ne se limite pas seulement à la corruption mais au sabotage de l’économie nationale

                              MAROC : Un futur procès retentissant au Maroc

                              MAROC LE 1ER JUILLET 2012 - Le Maroc pourrait connaître dans un futur proche un nouveau procès qui fera date dans son histoire judiciaire.
                              Ce procès retiendra sans nul doute toute l’attention du peuple marocain mais également celle de la presse nationale et internationale vu le statut des personnes impliquées, la gravité des charges qui pèsent contre elles ainsi que les très probables connexions de ces individus avec une ou plusieurs puissances étrangères.
                              Ce prochain dossier qu’aura à traiter la justice marocaine n’est autre que celui de l’ex-patron de la COMANAV, la compagnie marocaine de navigation, et anciennement directeur des Pêches Maritimes au sein du Ministère de tutelle, Taoufik Ibrahimi, ainsi que de ses complices, dont d’anciens responsables, cadres, fonctionnaires, responsables syndicaux, marins et dockers.
                              Si l’on se réfère à un communiqué publié par la Cour d’Appel de Salé, ces personnes sont poursuivies pour constitution d’une bande criminelle et divulgation de secret professionnel.
                              En effet, ce même communiqué fait état d’informations selon lesquelles ces individus ont perpétré des actes illégaux de nature à porter atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat et aux intérêts économiques nationaux, à endommager des structures, des ports et des bateaux et à entraver la liberté du travail au port Tanger-Med, une artère économique vitale du Royaume du Maroc qui fait face à une concurrence farouche des ports étrangers voisins.
                              Le complot a été éventé par les services de sécurité marocains après que les protestations, au tout début du mois de mai, aient atteint leur point culminant avec l’occupation de la direction de la marine marchande, ainsi que celle de l’ancien siège de la COMANAV à Casablanca et que les mis en cause aient tenté de faire échouer les efforts du gouvernement marocain visant à trouver une solution à la crise des ferries de la compagnie maritime, saisis au port de Sète (France) pour non-paiement de créances estimées à près de 400 millions de dirhams détenues par différents opérateurs étrangers envers l’armateur de Tanger.
                              S’agissant de l’endettement de la COMANAV auprès des banques marocaines, celui-ci est estimé à près de 2 milliards de DH et une mise en faillite du Groupe Comarit-Comanav Ferry, dont les 5 bateaux avaient été immobilisés au Port de Sète et celui d’Algesiras, aurait été envisagée.
                              Une faillite qui aurait coûté chère pour la ville de Tanger si jamais cette faillite du groupe avait été confirmée avec la perte certaine de plus de 1.800 emplois directs et près de 1.000 autres emplois indirects liés à l’activité du groupe.
                              Auraient également été menacés le Conseil de la Région Tanger-Tétouan (nord) et le Conseil de la ville de Tanger qui font également parties des victimes collatérales, puisque bénéficiant d’une partie des taxes et impôts (IR, IS, TVA) que reversaient le groupe à l’Etat marocain.
                              Dans ce contexte, et suite aux investigations menées par les différents services de sécurité marocains, les officiers de la Brigades de la Police Nationale Judiciaire ont interpellé ces personnes afin de faire toute la lumière sur cette affaire.
                              Les premiers éléments de l’enquête et des interrogatoires auraient apporté toutes les preuves matériels, techniques et physiques d’anomalies, d’infractions financières dans la gestion de la compagnie maritime, du pourquoi de la recrudescence des protestations des anciens salariés et cadres de la COMANAV qui auraient été incitées par des parties concernées dans cette affaire, et dont Ibrahimi ferait partie.
                              Ces mêmes enquêteurs auraient mis en évidence le fait que les conflits sociaux qui ont secoué le port tangérois depuis plusieurs mois auraient profité à Taoufik Ibrahimi et les autres personnes inculpées en tirant avantage de cette situation et en portant atteinte à l’activité du port.
                              En effet, au cours du mois de mai, les choses se seraient envenimées à un tel point que des employés du port ont immobilisé deux navires à l’aide de grues, dont certains à bord ont recouru à la force et à la menace. Même l’italien GNV, qui remplace actuellement la COMANAV-COMARIT sur les liaisons du Maroc avec la France, a vu ses bateaux bloqués lors de ces mouvements de protestation.
                              Des actions qui auraient eu pour but de saboter l’économie du Maroc et de porter atteinte à la sécurité intérieure et extérieure de l’Etat.
                              De plus, plusieurs faisceaux d’indices en possession de la justice et des enquêteurs confirment qu’une ou plusieurs puissances étrangères ne seraient impliquées dans cette affaire.
                              A souligner que le port de Tanger-Med a été perçu par certains pays comme une grave menace pour leur économie, notamment pour leurs activités portuaires.
                              Il est vrai qu’un de ces pays a enregistré la perte de centaines d’emplois ainsi qu’un manque à gagner en matière de chiffre d’affaires annuel s’élevant à plus de 200 millions d’euros, l’amenant à s’évertuer à miner la nouvelle structure portuaire tangéroise en vue de récupérer ses parts de marchés perdues.
                              D’ailleurs, l’une des pistes prospectée par le juge d’instruction Abdelkader Chentouf, spécialisé dans les affaires de terrorisme et de la grande criminalité financière, chargé de l’affaire COMANAV, mettant en cause son ex directeur Taoufik Ibrahimi, qui fut également directeur du port Tanger Med, écroué pour cette affaire avec d’autres responsables dont des syndicalistes, seraient la mise en évidence des possibles connexions étrangères de Taoufik Ibrahimi, suite à l’analyse de l’archive de ses appels téléphoniques.
                              Aussi, pour l’heure, tous les prévenus ont été accusés d’avoir sciemment provoqué des grèves et des immobilisations d’embarcations, faisant ainsi fuir les investisseurs et les clients du port., d’actes de sabotages portant menace à une infrastructure économique nationale et à la sécurité interne de l’Etat. Une atteinte visant à priver le Maroc de son plein potentiel stratégique que lui offre sa rive nord contrôlant le détroit de Gibraltar.
                              Il est acquis que si les chefs d’accusation pour sabotages en connivence avec une ou plusieurs puissances étrangères des projets économiques du Maroc, menés sous la conduite du Roi du Maroc, et de trahison de la confiance Royale qui leur a été accordée sont confirmés les prévenus risqueraient de lourdes peine.
                              D’ailleurs, le parquet aurait estimé que ces actes ont été commis pour servir des intérêts personnels, ceux de personnes et entreprises étrangères concurrentes.
                              Pour rappel; la seule accusation pour atteinte à la sécurité de l’Etat est passible de la peine de mort selon les articles 201, 202 et 203 du code pénal, tandis que l’article 241 prévoit une peine de 5 à 20 ans d'emprisonnement assortie d’une amende de 5 000 à 100 000 DH. Concernant la constitution d'une bande criminelle, celle-ci pourrait être associée aux articles 293 et 294 passible d’une peine de 5 à 10 ans de réclusion.
                              Quoi qu’il en soit, cette affaire explique à elle seule le fait que le Maroc n'ait pu avancer normalement vers le progrès et la raison en est imputable à la présence au niveau de certains leviers économiques de traitres et d’opportunistes avides de s’enrichir par tous moyens.
                              En conclusion, cette affaire apparaît d'ores et déjà comme l'une des plus importantes du genre depuis plus d’une décennie au Maroc et la justice se doit d’être impitoyable envers ces voleurs et mécréants de leur religion et traitres de leur patrie.
                              Farid Mnebhi.

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