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Une équipe de chercheurs de l’université de Californie du sud a développé un système de transmission des données capable de transférer l’équivalent de pas moins de 70 DVD en une seconde. Effectivement, ça donne envie.
Dirigé par Alan Willner, un professeur de l’USC spécialisé dans le domaine du génie électrique, une équipe de chercheurs a réussi à améliorer la technologie de « twisted light » déjà existante, pour atteindre des vitesses de transfert tout simplement bluffantes. Ainsi, on parle ici de vitesses flirtant avec les 2.56 terabits per second, et ce à 1.5 mètres distance. C’est limité, mais il faudra garder en tête qu’il s’agit avant tout d’une expérience réalisée dans des conditions optimales.
Plutôt content de sa prouesse, Willner a laissé entendre à The Bunsen Burner que s’il n’avait pas inventé le concept de « twisted light », il avait, avec son équipe, réussi à l’améliorer au point de permettre des vitesses de transfert dépassant le terabit-per-second. Rassurant, le même Willner annonce que ce qu’il est possible de faire avec une technologie basée sur de la lumière, il est également possible de le produire avec de l’électricité. De son avis, son avancée est d’ailleurs ce qui donne cette beauté à la lumière : « c’est un amas de protons que vous allez pouvoir manipuler de différentes façons, pour atteindre de très grandes vitesses. »
Enfin, Willner nous informe que l’implantation de cette technologie a intégré de manipuler des hologrammes de phase, pour organiser 8 faisceaux lumineux en un hélice, à la manière de l’ADN. L’hologramme en résultant étant en mesure de bouger des données, des zéros et des uns, à une vitesse incroyable. De l’avis des chercheurs impliqués sur ce projet, cette technologie pourrait être potentiellement appliquée sur les satelites de communication très rapides, sur les liens terrestes courts, et sur les câbles optiques par exemple utilisés par l’opérateur Verizon, à travers les FiOS.
GIZMODO
Dirigé par Alan Willner, un professeur de l’USC spécialisé dans le domaine du génie électrique, une équipe de chercheurs a réussi à améliorer la technologie de « twisted light » déjà existante, pour atteindre des vitesses de transfert tout simplement bluffantes. Ainsi, on parle ici de vitesses flirtant avec les 2.56 terabits per second, et ce à 1.5 mètres distance. C’est limité, mais il faudra garder en tête qu’il s’agit avant tout d’une expérience réalisée dans des conditions optimales.
Plutôt content de sa prouesse, Willner a laissé entendre à The Bunsen Burner que s’il n’avait pas inventé le concept de « twisted light », il avait, avec son équipe, réussi à l’améliorer au point de permettre des vitesses de transfert dépassant le terabit-per-second. Rassurant, le même Willner annonce que ce qu’il est possible de faire avec une technologie basée sur de la lumière, il est également possible de le produire avec de l’électricité. De son avis, son avancée est d’ailleurs ce qui donne cette beauté à la lumière : « c’est un amas de protons que vous allez pouvoir manipuler de différentes façons, pour atteindre de très grandes vitesses. »
Enfin, Willner nous informe que l’implantation de cette technologie a intégré de manipuler des hologrammes de phase, pour organiser 8 faisceaux lumineux en un hélice, à la manière de l’ADN. L’hologramme en résultant étant en mesure de bouger des données, des zéros et des uns, à une vitesse incroyable. De l’avis des chercheurs impliqués sur ce projet, cette technologie pourrait être potentiellement appliquée sur les satelites de communication très rapides, sur les liens terrestes courts, et sur les câbles optiques par exemple utilisés par l’opérateur Verizon, à travers les FiOS.
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