Le Maroc s'est fixé comme objectif de former 10.000 ingénieurs par an à l'horizon 2010 afin d'accompagner le décollage économique que connaît le Royaume, a-t-on indiqué lors d'une réunion tenue, jeudi à Rabat, sur "Initiative Emploi, 10.000 Ingénieurs", sous la présidence du Premier ministre.
Les participants à cette rencontre, dont des ministres et des responsables universitaires, ont mis en exergue l'essor économique que connaît le Maroc, notamment à travers les grands chantiers ouverts, le programme "Emergence", l'aménagement de nouvelles zones franches et technopoles, affirmant qu'un réel besoin en ressources humaines qualifiées se fait de plus en plus ressentir.
Pour accompagner ces mutations, il devient nécessaire de former des cadres qualifiés, dont les ingénieurs, a-t-on relevé, soulignant que toutes les écoles publiques et privées de formation d'ingénieurs et les facultés des sciences et techniques sont appelées à s'impliquer dans la réalisation des objectifs de ce projet.
Le Maroc est engagé dans un vaste programme de réforme et de chantiers structurants au niveau de l'infrastructure et ceci nécessite des mesures d'accompagnement notamment en matière de la formation qui est la clé de réussite, a indiqué à la presse, le directeur général de l'Agence nationale de régulation des télécommunications (ANRT), Mohamed Benchaâboun.
S'agissant des ingénieurs, le Maroc a besoin d'accélérer la cadence de la formation pour passer de 4.000 ingénieurs formés annuellement à 10.000, a-t-il ajouté. Pour sa part, le ministre de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur, de la Formation des cadres et de la Recherche scientifique, Habib El Malki, a affirmé que ce programme vient en réponse aux nouveaux besoins, surtout dans le domaine des nouvelles technologies.
Le matin
30.06.2006 | 16h16
Les participants à cette rencontre, dont des ministres et des responsables universitaires, ont mis en exergue l'essor économique que connaît le Maroc, notamment à travers les grands chantiers ouverts, le programme "Emergence", l'aménagement de nouvelles zones franches et technopoles, affirmant qu'un réel besoin en ressources humaines qualifiées se fait de plus en plus ressentir.
Pour accompagner ces mutations, il devient nécessaire de former des cadres qualifiés, dont les ingénieurs, a-t-on relevé, soulignant que toutes les écoles publiques et privées de formation d'ingénieurs et les facultés des sciences et techniques sont appelées à s'impliquer dans la réalisation des objectifs de ce projet.
Le Maroc est engagé dans un vaste programme de réforme et de chantiers structurants au niveau de l'infrastructure et ceci nécessite des mesures d'accompagnement notamment en matière de la formation qui est la clé de réussite, a indiqué à la presse, le directeur général de l'Agence nationale de régulation des télécommunications (ANRT), Mohamed Benchaâboun.
S'agissant des ingénieurs, le Maroc a besoin d'accélérer la cadence de la formation pour passer de 4.000 ingénieurs formés annuellement à 10.000, a-t-il ajouté. Pour sa part, le ministre de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur, de la Formation des cadres et de la Recherche scientifique, Habib El Malki, a affirmé que ce programme vient en réponse aux nouveaux besoins, surtout dans le domaine des nouvelles technologies.
Le matin
30.06.2006 | 16h16
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