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Saison estivale : Si Béjaïa m’était contée...

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  • Saison estivale : Si Béjaïa m’était contée...

    La période estivale bat son plein avec une forte affluence des estivants. En ce mois de juillet, Béjaïa est prise d’assaut par des milliers de visiteurs, venus des quatre coins du pays et de l’autre côté de la Méditerranée, pour découvrir la beauté de ses merveilleux sites et atouts qui subjuguent les plus curieux.


    La période estivale bat son plein avec une forte affluence des estivants. En ce mois de juillet, Béjaïa est prise d’assaut par des milliers de visiteurs, venus des quatre coins du pays et de l’autre côté de la Méditerranée, pour découvrir la beauté de ses merveilleux sites et atouts qui subjuguent les plus curieux.

    Ainsi, passer ses vacances à Béjaïa est le rêve de tout un chacun, un rêve pourtant réalisable car l’hospitalité de Béjaïa est omniprésente. En effet, la beauté des sites de la ville de « Yemma Gouraya » fait de cette belle ville le paradis verdoyant des visiteurs. Alors allons à la découverte de cette beauté naturelle de la perle de l’Afrique du Nord.
    Bougie, Béjaïa, Begayeth ou capitale des Hammadides sont les noms donnés à cette ville merveilleuse perchée sur le flanc de la colline de Yemma Gouraya où la nuit, cette petite montagne avec ses maisons éclairées ressemblent à une poignée de perles luisantes parsemées sur une étoffe de satin. Trois routes nationales vous permettent d’accéder à Béjaïa.
    La RN12, Béjaïa - Alger en traversant la vallée de la Soummam, la RN9 Béjaïa - Sétif via les gorges de Kherrata et les plages du littoral est, et enfin la RN24 Béjaïa - Tizi Ouzou, via Azzefoun, en longeant la côte ouest avec les plages de Boulimat, Saket et le grand phare de cap Sigli. Pour cet été 2012 coïncidant avec le cinquantième anniversaire de l’indépendance, la ville est illuminée aux mille et un feux et pavoisée aux couleurs nationales. Certes, Béjaïa a totalement changé avec l’élargissement des routes, les réalisations de plusieurs projets, un port et un aéroport aux dimensions internationales, des immeubles qui ont poussé un peu partout et beaucoup d’autres choses qui vous charment. Certes, toute cette métamorphose a fait de Béjaïa le pôle d’attraction d’un grand nombre de touristes. Le pèlerinage commencera évidemment, et tradition oblige, par ce haut lieu saint « Yemma Gouraya » situé sur une altitude de 660 M du niveau de la mer surplombant toute la ville.
    Certes, la densité et le nombre important de visiteurs et habitants rendent la circulation automobile difficile en ville. Mais parcourir la ville à pied est une chose idéale et vous serez enchanté. Le visiteur s’étonne en effet, en écoutant les Béjaouis dire que la ville comporte trois zones. La porte d’entrée, la plaine et la ville. Aujourd’hui, il est impossible de scinder cette ville en trois.
    De Bir Essalem à Gouraya et de l’aéroport à Mezzaia, rien ne sépare Béjaïa. Allons-y toujours à pied vers la place du Premier novembre (ex-place Gueydon) pour admirer la belle vue sur le port marchand et la brise de mer. Une vue panoramique pour voir les bateaux en rade et toute la jetée. Au dessous, l’ancien musée Emyle- Aubry s’est transformé en cinémathèque et siège de la radio locale Soummam. En descendant vers la rue Si El Haoues (ex-Trézel) qui donne sur l’ancienne mairie, vous découvrez Bab El Bahr, plus connue sous le nom de la porte Sarrazine, et qui a servi jadis de lieu d’accès des bateaux sur le port de Béjaïa. Plus loin, se dresse le mausolée Sidi Abdelkader, qui se transforme tous les mercredis en lieu de pèlerinage des familles béjaouies. La route mène aussi vers La Casbah, endroit qui mérite d’être visité et voilà que vous êtes sur la place de la Grande Poste face au café Cintra et le Théâtre régional de la ville. Une virée par la place Philippe, puis la mosquée Sidi Souffi qui côtoie Bâb El Fouka (Porte Fouka) et vous accédez plus haut vers l’esplanade de Bordj Moussa (Fort Moussa) construit au XVIe siècle par Pedro Navarro et qui aujourd’hui abrite le plus vieux musée du pays. De là les visiteurs peuvent utiliser leurs véhicules pour poursuivre la promenade. En remontant vers le tombeau Sidi Touati, puis la forêt des oliviers, les Aiguades et le pic des Singes, lieux de rencontre de la mer, du soleil et de la montagne, vous découvrirez une richesse naturelle inestimable qui vous guide droit vers le cap Carbon. Là les voitures sont garées et la promenade se fera encore à pied en traversant le tunnel et en longeant un étroit chemin menant jusqu’au cap avec ses 230 M d’altitude. Ce sont les merveilles de Dame Nature. Ensuite redescendre vers la ville et son littoral pour goûter aux plaisirs des plages. Dans cette ville où un accueil chaleureux vous sera réservé, vous aurez tout le plaisir d’accéder aux plages de la côte est avec leur sable fin qui s’étalent jusqu'à Melbou en passant par Tichy, Aokas et Souk El Tenine, avec toutes les infrastructures hôtelières de haut standing, restaurants, hôtels, cafés, places publiques d’animation et camps de vacances. Sur la côte ouest, les plages de Boulimat et Saket vous séduisent encore davantage avec leurs galets dorés et la tranquillité des lieux sous l’ombre des pins. Ainsi, en ce mois de juillet, les centres de vacances sont déjà installés, les estivants ont déjà goûté aux plaisirs de la mer et la joie de vivre vous la trouvez sur les visages de ces petits enfants torse nu et ces fillettes en maillot venus de différents coins du pays, dans le cadre de la solidarité nationale, et qui vous invitent à travers leur sourire à vivre les meilleurs moments de l’année. Avec cette créature naturelle, Béjaïa me semble être contée. Cette créature que l’éminent poète Moufdi Zakaria a décrite à travers ses vers : «Glorieuse Béjaïa, source de beauté, lieu où souffle l’esprit berceau de Sa Majesté. Béjaïa, tout ce que j’ai dit pour te chanter est loin d’être digne de ta beauté. Car ta gloire elle-même est un vaste univers. Les mots pour te décrire ne peuvent satisfaire.»
    M. LAOUER
    elmoudjahid
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2


    Béjaïa (en arabe : بجاية ; en kabyle : Vgayet ou Bgayet, anciennement Bougie, est une commune algérienne située en bordure de la mer Méditerranée, à 180 km à l'est d'Alger, dans la wilaya de Béjaïa et la région de Kabylie. Elle est aussi souvent désignée sous son nom francisé de Bougie, nom officiel durant la période de la colonisation. Elle est le chef-lieu éponyme de la wilaya de Béjaïa et de la daïra de Béjaïa.
    Connue à l'époque romaine sous le nom de Saldae, elle devient au Moyen Âge l'une des cités les plus prospères de la côte méditerranéenne, capitale de grandes dynasties musulmanes notamment les Hammadides et une branche des Hafsides. D'abord connue en Europe grâce à la qualité de ses chandelles faites de cire d'abeille auxquelles elle a donné son nom, les bougies, Béjaïa a également joué un rôle important dans la diffusion des chiffres arabes en Occident.
    Avec ses 177 988 habitants au dernier recensement de 2008, Béjaïa est en termes de population la plus grande ville de Kabylie. Elle est aussi, grâce à sa situation géographique, le plus important pôle industriel de la région, notamment par la concentration de nombreuses industries et la présence d'un des plus grands ports pétroliers et commerciaux de Méditerranée. Elle est dotée d'un aéroport international.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #3
      C'est une belle region mais c'est un enfer en été, trop de monde, de circulation et d'anarchie. Je prefere y aller avant ou apres le deferlement des masses.
      "When I saw the Hoggar Mountains, my jaw dropped. If you think of Bryce, or Canyonlands National Park, you're close, but the Hoggar Mountains are more spectacular." David Ball, Empire of sands

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      • #4
        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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        • #5
          y a trop de monde à Bejaia en été .. je suis aller à tichy il y a 3 ans, et la nuit labas tu peut pas dormir tellement il y a de monde dehors
          veni vidi vici .

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          • #6
            Béjaïa, du haut du pic des singes un balcon sur la grande bleue

            La saison estivale sort Béjaïa de sa torpeur. Des vacanciers, venus des quatre coins du pays, et des émigrés gagnés par la douce mélancolie du pays natal, ont décidé d’arpenter ses chemins. Le voyage se décline en plusieurs temps. Déambulation de goûts et de couleurs entre Yemma Gouraya et la place Gueydon.


            Béjaïa de notre envoyé spécial

            Ce site est un véritable balcon sur la Méditerranée. On y vient pour contempler un coucher de soleil ou voir les bateaux s’éloigner au large. Des jeunes viennent pour rassembler les morceaux du puzzle des rêves brisés. Les éclats de rire des enfants rythment les après-midi. On a senti le souffle tiède de la brise marine. Les plages, immenses, magnifiques, mais hélas d’une propreté très relative, sont le théâtre de défoulement de nombreux locaux : les uns, les jeunes, jouent au foot comme des Brésiliens, tandis que les autres, les femmes, nous éloignent radicalement du Brésil, eu égard à leurs tenues de plage plutôt couvertes. Les vagues, fortes en certains endroits, attirent les adeptes de surf et de planches à voile. On est constamment à la recherche de rencontres, de moments inattendus ou de regards décalés sur ce que l’on voit.

            «Son charme irrésistible, fruit des noces joyeuses et minérales de la montagne et de la Méditerranée, n’a pas laissé indifférents les Phéniciens, Carthaginois, Andalous, Turcs, Espagnols puis Français qui y ont laissé une histoire, des vestiges et une manière atypique d’être et de vivre», lit-on dans une brochure éditée par la direction du tourisme de la wilaya. Mais si tous sont unanimes à dire que tous les ingrédients concourent à faire de Béjaïa une destination incontournable en Méditerranée, Hamou Ahmed Touhami, wali de Béjaïa, a reconnu que le tourisme est «en perte de vitesse», lors d’une journée d’étude organisée par la Chambre du commerce et d’industrie de Béjaïa.

            Selon lui, les coupures de routes répétitives, devenues en vogue, et les dos-d’âne érigés sur toutes les routes de la wilaya – il citera le cas des 108 dos-d’âne érigés sur la RN 26 – ne sont pas faits pour booster l’investissement dans le secteur. L’infrastructure hôtelière est loin de répondre à la forte demande qui s’exprime en cette période. L’hôtel Hammadite ne répond pas aux normes internationales, il a besoin d’une réhabilitation urgente. Il existe 59 hôtels en activité, avec une capacité de 3415 lits et 1749 chambres. 33 plages sont autorisées à la baignade, et 12 autres non autorisées par absence de poste de secours et accès dégradés. 5 plages seulement ont été données en concession.

            Eldorado pour les touristes et les investisseurs, Béjaïa veut croire que le tourisme aura un avenir prometteur. Le parc national de Gouraya est l’endroit par excellence pour la détente, le pique-nique et les randonnées pédestres.
            Si Béjaïa est assurément une ville kabyle et berbère, son ancien statut de capitale maghrébine et de centre de savoir méditerranéen ont en fait d’elle une ville ouverte où l’on parle kabyle, arabe et français sans complexe. Le chemin pédestre menant vers le Cap Carbon est une randonnée inoubliable. Le Pic des singes est l’un des sites phares de Béjaïa. A priori, les visiteurs sont séduits. L’ambiance est propice à la méditation. Il est connu pour sa table d’orientation dont la lecture permet au visiteur de situer avec exactitude les villages et les monts qui font face au site.

            C’est l’endroit idéal pour vider le stress et se remplir les poumons avec un grand bol d’air frais et marin. Avec notre appareil photo, on capture des morceaux de lumière qui nous permettront de ressentir les impressions de voyage. Aujourd’hui, les vacances sont liées à l’affectif (la famille ou les amis) et à la quête de sens, et Béjaïa offre un excellent décor…

            Les illustres visiteurs de la ville

            -Ibn Khaldoun, historien et penseur universel, né en Tunisie en 1332, a longuement vécu à Béjaïa, où il a eu des maîtres et des élèves. En 1365, il quitte l’Andalousie et revient à Béjaïa où il exerce la fonction de Hadjeb (Premier ministre). Il s’est chargé de dispenser des cours de jurisprudence à la mosquée de la citadelle (La Casbah).

            -En 1925, Manuel Texeira Gomes démissionne du poste de président de la République portugaise et quitte le Portugal. Il voyage à travers la Méditerranée et arrive en Algérie, à Bougie (Béjaïa), en septembre 1931. Il avait envisagé d’y passer quelques jours, mais le destin en décida autrement puisqu’il y est resté jusqu’à sa mort. Il disait : «Le panorama qui s’offre à mes yeux depuis le balcon de ma chambre est magnifique et je ne me rappelle pas d’autres qui puissent le surpasser en beauté. L’enchantement de la mer est pour moi chaque fois plus intense et je ne peux me faire à l’idée de vivre loin d’elle.»

            -Sidi Boumediène, de son vrai nom Choâïb Ibn Al Hussain Al Andaloussi, s’est installé à Béjaïa, où il a enseigné. Il a été entouré d’élèves qu’il initie au soufisme, mais un soufisme adapté à la mentalité maghrébine. Car en Orient, le soufisme était plutôt réservé à une élite de lettrés.
            Monuments historiques
            On cite le fort Gouraya, le fort Moussa, le fort Abdelkader, Bab El Bahr et la muraille Hammadite. Les sites ont beaucoup souffert. La restauration ne s’est pas faite toujours dans les règles de l’art.


            Kamel Benelkadi-elwatan
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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            • #7
              «Béjaïa est la côte d’Azur du sud de la Méditerranée»

              Kuldeep S. Bhardwaj. Ambassadeur d’Inde en Algérie


              SEM l’ambassadeur Kuldeep S. Bhardwaj hôte du village...

              L’ambassadeur de l’Inde à Alger, Kuldeep S. Bhardwaj, s’est rendu à Béjaïa pour une visite de trois jours, le 18 juillet, en compagnie de son épouse et de sa fille. Pour sa première visite dans la wilaya, l’ambassadeur s’est montré charmé par les endroits touristiques qu’il a pu découvrir. Au village touristique Capritour, où il a séjourné, nous l’avons rencontré pour un entretien qu’il a bien voulu donner à El Watan, au sortir d’une sieste qui n’a cependant pas eu raison de l’effet d’enchantement.


              -C’est la première fois que vous venez à Béjaïa...

              J’ai déjà visité des villes algériennes comme Skikda, Annaba, mais malheureusement pas Béjaïa. C’est ma première visite dans cette région. Je découvre une jolie ville avec de belles plages, des montagnes, une histoire et un patrimoine très riches. Des gens m’avaient dit que Béjaïa c’est la côte d’Azur du sud de la Méditerranée et je trouve que c’est vrai.

              -Quels sont les endroits qui vous avez visités ?

              Il faut dire que grâce à Nouredine Leklak (NDLR, directeur de Capritour), nous sommes dans un village touristique où nous avons la mer juste à côté. Nous avons séjourné trois jours dans de bonnes conditions. Nous sommes allés jusque dans la montagne Gouraya qui offre une vue sur la mer et la ville ; nous avons fait une randonnée pédestre, visité le musée, le cap Carbon, les Aiguades, le fort de Gouraya, le centre-ville… Mercredi, nous avons aussi été à l’usine Cevital. Nous avons également visité la Casbah où nous avons eu l’occasion de voir une exposition sur les relations entre Tlemcen et Béjaïa. Nos cultures se ressemblent, c’est pour cela que je ne me sens pas étranger ici, je suis comme un Algérien.

              -Quel est l’endroit qui vous a le plus captivé ?

              Le Parc national de Gouraya. La vue est imprenable. On a d’un côté la couleur verte de la montagne et de la forêt, de l’autre, une mer turquoise, bleue. C’est très beau à voir. On a aussi rencontré beaucoup de singes dans la région.

              -Vous joignez donc l’utile à l’agréable…

              Oui. C’est une visite de travail et touristique à la fois. Nous avons été à la plage et fait une bonne baignade. C’est d’ailleurs une très belle plage où il y avait beaucoup de baigneurs.

              -Vous convenez donc que Béjaïa dispose d’un potentiel touristique inestimable ?

              Béjaïa est la côte d’Azur algérienne et c’est très joli à voir. Touristiquement, je pense qu’il y a beaucoup à faire ici. Je trouve que Béjaïa est l’une des plus jolies villes d’Algérie.

              -Pensez-vous qu’avec tous ces atouts, l’Algérie peut aspirer à devenir une destination touristique de choix dans la région ?

              Il y a en tout cas beaucoup de choses à offrir. Vous avez les plages, les montagnes, les plateaux, le Sahara, vraiment beaucoup de choses à voir.

              -Y a-t-il une place pour le tourisme dans la coopération entre nos deux pays ?

              Il y a un potentiel immense de coopération entre votre pays, qui est le plus grand d’Afrique, et l’Inde qui est aussi d’une grande superficie du continent asiatique. Des possibilités existent et permettent une coopération dans le domaine touristique. L’Algérie et l’Inde ont beaucoup à offrir dans ce domaine. Mais de façon globale, la coopération reste continuelle entre nos deux pays. Vous célébrez le cinquantenaire de l’indépendance, mais aussi le cinquantième anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre nos deux pays. Quand l’Algérie a eu son indépendance en 1962, nous étions là dans les trois mois qui ont suivi en septembre, nous avons ouvert l’ambassade. Sur le plan culturel, nous avons participé aux festivités de «Tlemcen capitale islamique» avec quatre troupes folkloriques qui se sont produites dans d’autres villes comme Skikda et Oran.

              Désormais, nous ajoutons Béjaïa comme prochaine destination de ces troupes, dont une se produira ici, à Capritour, prochainement. Chaque année, nous programmons la venue de troupes culturelles indiennes en Algérie. Nous avons transmis une demande au ministre de la Culture pour aller au-delà de quatre troupes. Sur un autre plan, un club de football indien pourra peut-être participer à un tournoi qui sera organisé ici.

              Kamel Medjdoub-elwatan
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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              • #8
                j'veux y retourner.......................
                on fait avec..........

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                • #9
                  avec maissa
                  j espere et que du bonheur pour la petite
                  je leve un verre a sa sante
                  The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                  • #10
                    Mon endroit préféré c'était le club Alloui à Tichy. Je ne sais pas ce qu'il devient..cela fait longtemps que je n'y suis pas allé.

                    Commentaire


                    • #11
                      avec maissa
                      j espere et que du bonheur pour la petite
                      je leve un verre a sa sante
                      c'est sur!!!!!!!!on fera des chateaux de sable a Saket!
                      on fait avec..........

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                      • #12
                        Gar-anegh/Binatna/entre-nous.

                        Solas,
                        Le quotidien "El Moudjahid" est encore en vie? :22:
                        Pour le lire, tu te shootes à quoi? Aller, raconte.
                        Pour le site, y a rien à dire:c'est beau (si on fait abstraction de l'incivisme ambiant qui gangrène la nature et les paysages).
                        "Si loin que nous portent nos pas, ils nous ramènent toujours à nous-mêmes" (Proverbe Twareg).

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                        • #13
                          Envoyé par momo
                          c'est sur!!!!!!!!on fera des chateaux de sable a Saket!
                          Tu réveilles en moi de beaux souvenirs.
                          "Si loin que nous portent nos pas, ils nous ramènent toujours à nous-mêmes" (Proverbe Twareg).

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                          • #14
                            Pour le lire, tu te shootes à quoi? Aller, raconte.
                            au pastis
                            plus serieusement c le moins insipide des journaux algeriens
                            d ailleurs ils reprennent tous ces articles a une virgule pres
                            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                            • #15
                              Envoyé par Solas
                              au pastis
                              Bonne solution, effectivement.
                              plus serieusement c le moins insipide des journaux algeriens
                              d ailleurs ils reprennent tous ces articles a une virgule pres
                              Le fait d'être la voix docile de son maître me répugne.
                              "Si loin que nous portent nos pas, ils nous ramènent toujours à nous-mêmes" (Proverbe Twareg).

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