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La liste des écoles privées agrées a été rendue publiques par le minsitère de léducation nationale et c'est Alger qui se taille la part du lion avec 69 établissements agrées sur un total de 108 établissements privées répartis sur 14 Wilayas , puis loin loin derrière en deuxième position c'est Tizi Ouzou avec 10 établissements agrées. Oran en a 5 , Tlemcen 3, Chlef et Mascara 4. P Béjaïa 4, Jijel 1, Skikda 1, Constantine 3, Sétif 2, Annaba 4.
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La liste des établissements scolaires privés agréés sur l’ensemble des wilayas du pays a enfin été rendue publique par le ministère de l’Education nationale. Avec cette démarche, les parents ne risqueront plus d’avoir de mauvaise surprise au milieu de l’année scolaire, comme cela a été le cas en février dernier.
Sur les 139 établissements à s’être déclarés auprès du ministère pour régulariser leur situation, et ce, depuis 2004, 108 ont été agréés et autorisés à recevoir les élèves en septembre prochain. Les autres écoles n’ont, quant à elles, aucun droit d’ouvrir leurs portes et de prendre en charge des élèves.
Pour lever, à l’adresse des parents, toute ambiguïté, le ministère donne moult informations et renseignements (adresse des écoles, numéros de téléphone, types de formation...). Les parents sont, ainsi, appelés à ne pas inscrire leurs enfants dans les écoles ne figurant pas sur cette liste officielle.
En tout état de cause, c’est à eux qu’incombe la responsabilité dans le cas d’une inscription dans une école non agréée. Sur l’ensemble du territoire national, seules treize wilayas comptent des établissements agréés, à savoir Alger, Tizi Ouzou, Béjaïa, Blida, Constantine, Sétif, Skikda, Oran, Annaba, Tlemcen, El-Oued, Chlef et Mascara.
En matière de chiffres, c’est évidemment la capitale qui vient en première position avec 69 écoles agréées, suivie de la wilaya de Tizi Ouzou avec 10 écoles et celle de Béjaïa avec 4 établissements. S’agissant des cycles d’enseignement, c’est celui du préscolaire qui prédomine.
Au total, on compte 86 écoles préscolaires, 83 primaires, 59 d’enseignement moyen et 42 lycées. Mais le ministère n’en a pas encore fini avec ces établissements agréés. Le communiqué du ministère de l’Education nationale, rendu public ce week-end, fait, en effet, savoir que ces écoles feront l’objet, à la rentrée scolaire 2006/07, de visites d’inspection destinées à s’assurer de la conformité des programmes pédagogiques, de la langue d’enseignement, des activités optionnelles et de l’évaluation pédagogique par rapport aux textes législatifs et réglementaires en vigueur.
Cette démarche permettra au ministère de vérifier la conformité de ces établissements aux dispositions du cahier des charges. Des écoles privées qui ne répondaient pas aux exigences du ministère de l’Education risquaient, faut-il le rappeler, de mettre la clef sous le paillasson.
Elles se disaient alors victimes d’une concurrence déloyale de la part d’autres écoles, souvent agréées, qui défient le ministère en dispensant des programmes en français. Le ministre a tranché en annonçant des sanctions à l’encontre des responsables des écoles qui continueraient de dispenser un enseignement en français.
Notons, enfin, que la délivrance de l’agrément à ce type d’établissement est réglementée par l’ordonnance n° 07-05 du 23 août 2005.
Le Jeune Indépendant
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La liste des établissements scolaires privés agréés sur l’ensemble des wilayas du pays a enfin été rendue publique par le ministère de l’Education nationale. Avec cette démarche, les parents ne risqueront plus d’avoir de mauvaise surprise au milieu de l’année scolaire, comme cela a été le cas en février dernier.
Sur les 139 établissements à s’être déclarés auprès du ministère pour régulariser leur situation, et ce, depuis 2004, 108 ont été agréés et autorisés à recevoir les élèves en septembre prochain. Les autres écoles n’ont, quant à elles, aucun droit d’ouvrir leurs portes et de prendre en charge des élèves.
Pour lever, à l’adresse des parents, toute ambiguïté, le ministère donne moult informations et renseignements (adresse des écoles, numéros de téléphone, types de formation...). Les parents sont, ainsi, appelés à ne pas inscrire leurs enfants dans les écoles ne figurant pas sur cette liste officielle.
En tout état de cause, c’est à eux qu’incombe la responsabilité dans le cas d’une inscription dans une école non agréée. Sur l’ensemble du territoire national, seules treize wilayas comptent des établissements agréés, à savoir Alger, Tizi Ouzou, Béjaïa, Blida, Constantine, Sétif, Skikda, Oran, Annaba, Tlemcen, El-Oued, Chlef et Mascara.
En matière de chiffres, c’est évidemment la capitale qui vient en première position avec 69 écoles agréées, suivie de la wilaya de Tizi Ouzou avec 10 écoles et celle de Béjaïa avec 4 établissements. S’agissant des cycles d’enseignement, c’est celui du préscolaire qui prédomine.
Au total, on compte 86 écoles préscolaires, 83 primaires, 59 d’enseignement moyen et 42 lycées. Mais le ministère n’en a pas encore fini avec ces établissements agréés. Le communiqué du ministère de l’Education nationale, rendu public ce week-end, fait, en effet, savoir que ces écoles feront l’objet, à la rentrée scolaire 2006/07, de visites d’inspection destinées à s’assurer de la conformité des programmes pédagogiques, de la langue d’enseignement, des activités optionnelles et de l’évaluation pédagogique par rapport aux textes législatifs et réglementaires en vigueur.
Cette démarche permettra au ministère de vérifier la conformité de ces établissements aux dispositions du cahier des charges. Des écoles privées qui ne répondaient pas aux exigences du ministère de l’Education risquaient, faut-il le rappeler, de mettre la clef sous le paillasson.
Elles se disaient alors victimes d’une concurrence déloyale de la part d’autres écoles, souvent agréées, qui défient le ministère en dispensant des programmes en français. Le ministre a tranché en annonçant des sanctions à l’encontre des responsables des écoles qui continueraient de dispenser un enseignement en français.
Notons, enfin, que la délivrance de l’agrément à ce type d’établissement est réglementée par l’ordonnance n° 07-05 du 23 août 2005.
Le Jeune Indépendant
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