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Des représentants de Renault à Oran et Mostaganem

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  • Des représentants de Renault à Oran et Mostaganem

    Le constructeur automobile français Renault prospecte à Oran et Mostaganem pour implanter son usine. Dans la capitale de l'Ouest, la zone d'activité de Oued Tlélat pourrait accueillir cette usine, vu les multiples avantages qu'elle présente. Selon une source bien informée, contactée ce lundi, le projet est en bonne voie pour sa concrétisation dans la wilaya d'Oran qui semble la plus privilégiée par le constructeur français.

    Deux experts de la maison Renault sont, depuis lundi, à Oran pour une inspection du site proposé s'étalant sur une superficie de 150 ha extensibles et visiter les ports d'Oran et d'Arzew et le port sec de Hassi Ameur, avant la finalisation de ce dossier qui a fait couler beaucoup d'encre, durant ces 15 derniers mois de négociations entre les deux parties.

    Après la wilaya d'Oran, les experts français, accompagnés de représentants du ministère de l'Industrie et des petites et moyennes Entreprises feront escale, aujourd'hui, dans la wilaya de Mostaganem, proposée, elle aussi, par le gouvernement pour accueillir l'usine Renault.

    Selon une source autorisée, la délégation se rendra en premier lieu, au port où elle aura droit à un exposé sur les capacités réelles de l'infrastructure portuaire et aussi sur les facilités accordées dans l'accostage des navires.

    La délégation se rendra ensuite à Aïn Nouissy, dans la zone de Bourdjia s'étalant sur une superficie de 10.000 ha dont 200 ha seront proposés à l' éventuelle implantation de l'usine Renault.

    La zone de Boudjia est située entre les wilayas d'Oran Mascara et Relizane, et est à 15 km de l'autoroute Est-0uest et à 20 km du port de Mostaganem.

    Mostaganem peut offrir d'autres avantages, notamment une main-d'œuvre qualifiée. Le port présente aussi un grand avantage du fait que plus que 50% des véhicules importés transitent par Mostaganem.

    Rappelons qu'au départ, la zone industrielle de Bellara, dans la wilaya de Jijel, a été proposée pour accueillir l'usine Renault mais après plusieurs négociations, le site a été abandonné car considéré comme inapproprié par le constructeur français. Le gouvernement algérien a ensuite proposé les deux sites dans la région ouest, à Oran et Mostaganem. Sur l'avancement de ce projet, rappelons que le ministre algérien de l'Industrie, Mohamed Benmeradi, a annoncé, au mois de juin dernier, que le pacte des actionnaires entre la partie algérienne et le constructeur français, sera signé au plus tard, début août prochain. La création de la société joint-venture entre les deux parties est prévue au mois d'octobre 2012, conformément au protocole d'accord qu'elles ont signé le 25 mai dernier. Assurant la poursuite des négociations dans de bonnes conditions, il a déclaré, lundi à l'APS, que toutes les conditions étaient réunies pour lancer la fabrication de véhicules en Algérie, affirmant également que « le travail est déjà entamé avec Renault sur le terrain pour le développement d'un réseau de sous-traitants locaux performants (privés et publics) qui constitue un passage obligé pour le développement d'une industrie automobile viable. » Une mise à niveau permettra, à terme, d'atteindre des niveaux d'intégration des véhicules particuliers dans ce partenariat de 60%.

    Le Quotidien d'Oran

  • #2
    et le feuilleton continue.

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    • #3
      et le feuilleton continue.
      si tu veut tu peut leur prêter ta baguette magique !
      en attendant, le travail se fait sur les terrains .
      veni vidi vici .

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      • #4
        Je pense que vous ne réalisez pas la force symbolique de l'implantation d'une usine renault en Algérie alors qu'en France la tendance est à la désindustrialisation et à la crise.
        Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

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        • #5
          oh tu sais mkh en fin de compte elle va assembler au début des véhicules qui ne sont plus fabriquer en france comme la clio tri-corps, logan...etc.

          ce qui est incroyable c'est l'algérie peut négocier quelque chose de bien plus grand avec d'autres constructeurs, elle est en position de force avec son marché domestique et le contexte économique mondial, mais ca joue à gagne petit.

          et qui ne dit pas que l'accord avec renault n'oblige pas ce gouvernement à importer à des conditions favorables d'autres véhicules de cette marque à des conditions avantageuses, du maroc compris.

          ce qu'il aurait fallut c'est un big accord avec VW, augmenter les taxes pour les importations des autres marques et là nous tenions une revanche sur l'histoire avec renault qui avait fuit l'algérie au début des années 70 malgré une importante usine de construction automobile qu'elle avait sur ruiba.
          "Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre."
          W.C

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          • #6
            et qui ne dit pas que l'accord avec renault n'oblige pas ce gouvernement à importer à des conditions favorables d'autres véhicules de cette marque à des conditions avantageuses, du maroc compris.
            c´est sure l´ami.
            on nous a annoncé une usine de 150000 V/an ce qui couvre largement leur vente en algerie, puis on nous a dit que ce serait 75000, ce qui était pas mal, et on nous informe a la fin que la production ne sera ce ne sera que de 25000 qui pourrait augmenter au future, bien qu´ils vendent plus de 100000 V/an, les 75000 qui restent viendront d´ou a ton avis.
            tout le monde savait que Renault ne voulait pas investir en algerie, surtout apres avoir investit dans une usine de 400000 V/an au maroc. Et que ca serait un non-sens tout simplement.
            au lieu de chercher ailleurs, malheureusement, les illuminés qui nous dirigent, ne pouvant s´en passer de l´emprise de leur maitres a paris ont vus autrement.


            ce qu'il aurait fallut c'est un big accord avec VW, augmenter les taxes pour les importations des autres marques et là nous tenions une revanche sur l'histoire avec renault qui avait fuit l'algérie au début des années 70 malgré une importante usine de construction automobile qu'elle avait sur ruiba.

            pour ca il faut avoir les couilles assez solides, boutef and consorts en manquent terriblement.

            Commentaire


            • #7
              c´est sure l´ami.
              on nous a annoncé une usine de 150000 V/an ce qui couvre largement leur vente en algerie, puis on nous a dit que ce serait 75000, ce qui était pas mal, et on nous informe a la fin que la production ne sera ce ne sera que de 25000 qui pourrait augmenter au future, bien qu´ils vendent plus de 100000 V/an, les 75000 qui restent viendront d´ou a ton avis.
              tout le monde savait que Renault ne voulait pas investir en algerie, surtout apres avoir investit dans une usine de 400000 V/an au maroc. Et que ca serait un non-sens tout simplement.
              au lieu de chercher ailleurs, malheureusement, les illuminés qui nous dirigent, ne pouvant s´en passer de l´emprise de leur maitres a paris ont vus autrement.
              et attends amicalement, c'est pas fini, ils vont demander d'expédier depuis tanger le matos des équipementiers vers oran, ahahahahaha ils se sont rapproché des sous traitants qui y viennent de s'y installer.

              enfin attendons la fin d'année pour savoir comme nos chouakars vont se bouffer quant à VW et surtout si rabrab et sa hyundai va baisser pavillon aussi facilement.

              ce faire tapiner par renault comme ca, c'est terrible quand même
              "Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre."
              W.C

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              • #8
                Et pendant ce temps le marché automobile va mal :

                PSA va supprimer 8.000 emplois et fermer l'usine d'Aulnay


                PARIS - PSA Peugeot Citroën a annoncé jeudi son intention de supprimer 8.000 postes supplémentaires sur ses sites français face à la dégradation du marché automobile européen, et de fermer en 2014 son usine d'assemblage d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).
                Le premier groupe automobile français, qui réunit ce matin un comité central d'entreprise extraordinaire à son siège parisien, a prévenu qu'il accuserait au premier semestre une perte opérationnelle courante de l'ordre de 700 millions d'euros dans sa division automobile.
                "Pour faire face à (la) réduction durable d'activité en Europe, un projet de réorganisation des activités industrielles et de redéploiement des effectifs est présenté ce jour afin de restaurer la compétitivité du groupe et d'assurer son avenir", a déclaré dans un communiqué Philippe Varin, président du directoire de PSA.
                On peut dire sans se tromper que Les nôtres ont des boules atrophiées dans le pantalon, ils essaient de couvrir la gaffe de l'installation de Renault au Maroc.
                Peut-être des éléments possèdent quelques actions de ce constructeur! mettre de l'avant les intérêts de Renault avant ceux de l'Algérie devient très suspect.
                وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                • #9
                  okba30
                  On peut dire sans se tromper que Les nôtres ont des boules atrophiées dans le pantalon, ils essaient de couvrir la gaffe de l'installation de Renault au Maroc.

                  hassa2006
                  et attends amicalement, c'est pas fini, ils vont demander d'expédier depuis tanger le matos des équipementiers vers oran, ahahahahaha ils se sont rapproché des sous traitants qui y viennent de s'y installer.
                  enfin attendons la fin d'année pour savoir comme nos chouakars vont se bouffer quant à VW et surtout si rabrab et sa hyundai va baisser pavillon aussi facilement.


                  Si le Quo d'Oran était le porte parole du gouvernement,peut être. ? Mais ..............
                  1 )Benmradi selon TSA Sur l'industrie Automobile en Algerie


                  « Toutes les conditions sont réunies ou en cours de mise en œuvre » pour lancer la construction de voitures en Algérie, a affirmé ce lundi 9 juillet, Mohamed Benmeradi, ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, dans un entretien à l'agence APS. Le ministre fixe à la fin 2012 le délai de « démarrage effectif », de cette industrie.

                  Selon M. Benmeradi, l'Algérie ne se contentera pas seulement de produire des véhicules destinés à la consommation locale. Elle envisage aussi d'exporter une partie de sa production, qui se fera en partenariat avec « un grand constructeur » dont il n’a pas précisé l’identité. Le ministre a déploré le fait que l'Algérie importait annuellement plus de 400 000 véhicules de marques différentes, d'un coût global supérieur à 4 milliards de dollars, sans que cela n’engendre un quelconque impact économique pour le pays. Le ministre estime qu’une production nationale automobile réduirait la facture des importations et permettrait la création de 15 000 à 20 000 emplois en amont et en aval.

                  Concernant le projet de fabrication de véhicules en négociation depuis quinze mois avec le constructeur français Renault, le ministre a fait savoir que celui‑ci « ne portera aucunement sur une activité de montage en tant que finalité ». Selon lui, il s’agit d’un « projet véhicules particuliers intégré qui permettra une intégration au niveau du site de production (intégration verticale), mais aussi une intégration à l'extérieur du site de production (intégration horizontale) de pièces et de composants divers au niveau du réseau de sous‑traitants locaux (privés et publics) à développer ».


                  2 )Benmradi Sur Maghrebemergeant Renault Algerie

                  20 % de la production destinée au marché africain
                  Le ministre a par ailleurs indiqué, selon l’accord-cadre signé entre les deux parties, que la mise en production de l’usine, qui sera créée dans les mois prochains, interviendra une année après la signature du pacte des actionnaires, soit avant la fin de 2013. Après deux ans du lancement de la production avec une capacité annuelle de 25.000 voitures comme première étape, le nombre passera à 75.000 voitures pour deux ou trois modèles en deuxième phase, a indiqué le ministre, précisant que l’investissement prévoit une capacité de 150.000 voitures annuellement, à atteindre dans la phase ultime du projet.
                  Concernant le taux d’intégration nationale, il atteindra probablement les 50 %. La voiture produite sera à 40 % algérienne au moins,
                  a-t-il ajouté. Il a estimé que la demande sur le marché de l’automobile algérien est très forte. Cependant, le ministre a promis de réorganiser l’importation des véhicules dès le lancement du projet pour donner, a-t-il dit, ses chances pour l’usine Renault.
                  Parmi les clauses de l’accord conclu avec le constructeur français, Mohamed Benmeradi a révélé que 20 % de la production sera destinée au marché de l’exportation, notamment sur le marché africain.


                  Pour le moment avant la signature du contrat wait and see !!!!
                  Dernière modification par AARROU, 12 juillet 2012, 13h11.
                  "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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