Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Pour booster l'investissement boursier: L'autorisation pour les étrangers non résidents à l'étude

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Pour booster l'investissement boursier: L'autorisation pour les étrangers non résidents à l'étude

    Encore à la traîne, l'option d'autoriser les étrangers non résidents à investir en bourse a été formulée dans le cadre de la réforme du marché financier, engagée par les pouvoirs publics pour doper un segment de financement de l'économie.
    A ce propos, le ministère de l'Industrie, des PME et de l'investissement, selon une source citée par l'APS, étudie la possibilité d'autoriser des étrangers non résidents à racheter des actions émises par des entreprises algériennes en bourse. En dépit d'un règlement de la Banque d'Algérie autorisant en principe l'investissement étranger dans les valeurs mobilières, les étrangers ne peuvent souscrire des actions d'entreprises algériennes en bourse, indique la même source qui n'en fournit pas les raisons. L'option d'autoriser les étrangers non résidents à investir en bourse a été formulée dans le cadre de la réforme du marché financier, engagée par les pouvoirs publics pour doper un segment de financement de l'économie, encore à la traîne, relève la même source. Actuellement, le financement de l'économie est supporté essentiellement par les banques, le budget de l'Etat et le recours aux avoirs du Fonds de régulation des recettes (FRR), alimenté par les recettes supplémentaires de pétrole. L'autre axe de la réforme du marché financier examiné par le MIPI est la cession au grand public du droit de préemption revenant à l'Etat dans le cas de cession en bourse des participations des actionnaires étrangers, précise également la même source. Cette dernière souligne que la proposition déjà avancée en 2011 dans la foulée de la présentation des premiers résultats de la réforme du marché financier par la Cosob, fait encore débat au sein du milieu financier, mais le dernier mot revient au MIPI. La suppression de l'exercice de ce droit dans ce cas précis, a été présentée par la Cosob comme une piste importante qui va ouvrir la voie à l'introduction en bourse de plusieurs entreprises étrangères. Si ce droit a été instauré en 2009 par le gouvernement en réponse à la revente et dans la plus grande discrétion, des cimenteries d'Orascom Construction au français Lafarge, sa généralisation sur toutes les cessions des participations étrangères s'avère actuellement insensée, estime la source qui relève également que si la mesure ne fait pas d'exception c'est parce qu'elle a été légiférée à la hâte pour répon-dre au plus pressé, qui était alors de stopper la spéculation dans la vente d'actifs d'étrangers à d'autres étrangers.

    Le Jour d'Algérie
Chargement...
X