Le Wali d'Oran, Abdelmalek Boudiaf, a confirmé que le site prévu pour l'usine Renault en Algérie est bien celui de la zone industrielle de Oued Tlelat, près d'Oran, qui s'étend sur une superficie de 150 hectares. Dans une déclaration au journal El Khabar, le Wali d'Oran a indiqué que le PDG de la société française devrait "venir prochainement à Oran pour les dernières retouches du projet".
M.Abdelmalek Boudiaf s'est félicité du choix d'Oran qui est un "acquis" pour l'ensemble de la région en raison de son impact économique avec l'émergence d'un réseau de sous-traitance. Une équipe technique de Renault accompagnée de responsables du ministère de l'industrie et de la PME a visité un certain nombre d'infrastructures dont les ports d'Oran et d'Arzew pour avoir un aperçu sur les procédures de dédouanement des marchandises importées. Une question importante puisque la future usine devrait importer un bon nombre de pièces produites à l'étranger. Lors de son récent passage à Alger, dans un contexte marqué par le plan social de Peugeot prévoyant la suppression de 8000 emplois, le ministre français des affaires étrangères, Laurent Fabius a insisté sur le fait que l’investissement Renault en Algérie devrait exclusivement être orienté vers la satisfaction du marché local. Une option que ne partagent par les autorités algériennes qui veulent qu’une partie de la production de la future usine soit destinée à l’exportation et notamment vers l’Afrique. Une option qui peut paraitre en contradiction avec la vocation exportatrice de l’usine Renault de Tanger. "De ce que j'en sais, il est tourné vers le marché algérien. Il ne vient pas concurrencer l'industrie automobile en France. Si c'était le cas, je pense que l'Etat français dirait non" à ce projet, a déclaré, dimanche dernier r à Alger, le ministre français des affaires étrangères. Le projet d'une usine automobile Renault en discussion depuis plus de deux ans devrait atteindre, selon les projections algériennes, une capacité de 150.000 véhicules/an sur les modèles d'entrée et de moyenne gamme de Renault.maghrebemergent
M.Abdelmalek Boudiaf s'est félicité du choix d'Oran qui est un "acquis" pour l'ensemble de la région en raison de son impact économique avec l'émergence d'un réseau de sous-traitance. Une équipe technique de Renault accompagnée de responsables du ministère de l'industrie et de la PME a visité un certain nombre d'infrastructures dont les ports d'Oran et d'Arzew pour avoir un aperçu sur les procédures de dédouanement des marchandises importées. Une question importante puisque la future usine devrait importer un bon nombre de pièces produites à l'étranger. Lors de son récent passage à Alger, dans un contexte marqué par le plan social de Peugeot prévoyant la suppression de 8000 emplois, le ministre français des affaires étrangères, Laurent Fabius a insisté sur le fait que l’investissement Renault en Algérie devrait exclusivement être orienté vers la satisfaction du marché local. Une option que ne partagent par les autorités algériennes qui veulent qu’une partie de la production de la future usine soit destinée à l’exportation et notamment vers l’Afrique. Une option qui peut paraitre en contradiction avec la vocation exportatrice de l’usine Renault de Tanger. "De ce que j'en sais, il est tourné vers le marché algérien. Il ne vient pas concurrencer l'industrie automobile en France. Si c'était le cas, je pense que l'Etat français dirait non" à ce projet, a déclaré, dimanche dernier r à Alger, le ministre français des affaires étrangères. Le projet d'une usine automobile Renault en discussion depuis plus de deux ans devrait atteindre, selon les projections algériennes, une capacité de 150.000 véhicules/an sur les modèles d'entrée et de moyenne gamme de Renault.maghrebemergent
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