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De longues queues devant les boulangeries et les stations d'essence appartiennent désormais au quotidien des habitants de la capitale. Les ordures puantes augmentent de plus en plus dans les rues de Damas avec l'absence de l'État qui fait face à une guerre civile sans précédent. Les prix ont augmenté de plus de 60%.
«Je n'ai jamais pensé que je verrais des hommes armés dans des affrontements avec l'armée dans les rues de Damas, les gens fuient leurs maisons», a déclaré Nahed, un militant de la paix 32 ans à Damas. «C'est comme le Liban, mais en sens inverse," at-elle dit, se référant à la guerre de 2006 entre Israël et le Hezbollah, lorsque des milliers de Libanais venus en Syrie, en quête de sécurité.
Cette capitale touristique animée a été transformée en une zone de guerre entre les forces gouvernementales et les insurgés qui ont lancé leur opération "Volcan". Des hélicoptères de combat et des chars s'attaquent aux positions des rebelles dans les quartiers. Les batteries d'artillerie tirent sur la montagne surplombant Damas.
De longues lignes de voitures à la frontière avec le Liban remplies de familles et de leurs bagages. Ils fuient la guerre civile.
«Je me sens très mal en laissant Damas", a déclaré une femme du quartier haut de gamme Mazzeh, après son arrivée dans un taxi à la frontière Masnah lundi. «Je pleurais toute la nuit, hier, quand je l'ai dit au revoir à ma famille."
"Je n'ai jamais pensé que cela arriverait dans Mazzeh», dit-elle tranquillement. Portant une chemise et un jean bleu, elle tenait sa fille de 8 ans dans la main et a dit qu'elle allait passer une semaine au Liban jusqu'à ce que la situation soit plus claire. Elle, comme d'autres qui ont parlé aux journalistes, a refusé de donner son nom pour des raisons de sécurité.
Résumé
«Je n'ai jamais pensé que je verrais des hommes armés dans des affrontements avec l'armée dans les rues de Damas, les gens fuient leurs maisons», a déclaré Nahed, un militant de la paix 32 ans à Damas. «C'est comme le Liban, mais en sens inverse," at-elle dit, se référant à la guerre de 2006 entre Israël et le Hezbollah, lorsque des milliers de Libanais venus en Syrie, en quête de sécurité.
Cette capitale touristique animée a été transformée en une zone de guerre entre les forces gouvernementales et les insurgés qui ont lancé leur opération "Volcan". Des hélicoptères de combat et des chars s'attaquent aux positions des rebelles dans les quartiers. Les batteries d'artillerie tirent sur la montagne surplombant Damas.
De longues lignes de voitures à la frontière avec le Liban remplies de familles et de leurs bagages. Ils fuient la guerre civile.
«Je me sens très mal en laissant Damas", a déclaré une femme du quartier haut de gamme Mazzeh, après son arrivée dans un taxi à la frontière Masnah lundi. «Je pleurais toute la nuit, hier, quand je l'ai dit au revoir à ma famille."
"Je n'ai jamais pensé que cela arriverait dans Mazzeh», dit-elle tranquillement. Portant une chemise et un jean bleu, elle tenait sa fille de 8 ans dans la main et a dit qu'elle allait passer une semaine au Liban jusqu'à ce que la situation soit plus claire. Elle, comme d'autres qui ont parlé aux journalistes, a refusé de donner son nom pour des raisons de sécurité.
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