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Sécurité sociale: La carte à puce opérationnelle en 2007

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  • Sécurité sociale: La carte à puce opérationnelle en 2007

    Ce projet coûtera à la Cnas la bagatelle de près de 16 millions d’euros.

    Quelque 7 millions de travailleurs assurés à la Cnas auront leurs nouvelles cartes à puce à partir de 2007. Dénommée «Chifa», cette carte électronique intègre un microprocesseur ayant la capacité d’enregistrer et de stocker des données concernant l’assuré. La Caisse nationale des assurances sociales (Cnas) a signé, hier, le contrat de réalisation du projet avec l’entreprise française Gemalto. Leader mondial dans la production et la commercialisation, cet opérateur a été choisi sur les huit soumissionnaires qui ont répondu à l’appel d’offres international lancé à fin 2005. Le montant de ce projet ultramoderne est estimé à près de 16 millions d’euros. Ce budget d’une telle taille prouve que la direction de la Cnas a mis le paquet pour moderniser son système de remboursement. L’introduction de cette carte s’inscrit, rappelons-le, dans le cadre d’un vaste programme de modernisation du secteur de la sécurité sociale. En plus de l’amélioration de la qualité des services au profit des assurés sociaux, elle permettra de maîtriser les dépenses et de lutter contre toutes formes de fraude.
    S’exprimant lors de la signature du contrat, le directeur de la Cnas, M.Khenchoul, a déclaré que cette carte constitue un «outil et un support dans le sillage de la modernisation de la CNAS». La carte à puce constitue un outil performant pour l’assainissement du fichier Cnas, poursuit-il, en relevant toutefois que très peu de caisses d’assurances dans le monde ont développé un tel système. De son côté, le représentant de Gemalto s’est félicité de cette coopération avec la Cnas qui porte sur un transfert de technologie, en soulignant qu’elle est «la première du genre dans la région du Maghreb et en Afrique». Cette carte concernera dans une première étape les assurés de cinq wilayas pilotes à savoir: Annaba, Tlemcen, Oum El Bouaghi, Médéa et Boumerdès. Puis elle sera progressivement étendue à l’ensemble du territoire national. La carte à puce sera d’abord familiale et deviendra, par la suite, individuelle. Plus tard, elle sera remise à chaque bénéficiaire de la sécurité sociale, assuré ou ayant droit, ont affirmé des responsables de la Cnas en charge du projet. Au total, la carte à puce concernera 24 millions d’assurés et leurs ayants droit. Même les partenaires sociaux de la Cnas (médecins, pharmaciens, cliniques, hôpitaux) bénéficieront également des prestations de cette carte à puce. Il faut reconnaître que le système de remboursement s’est nettement amélioré ces derniers temps. Les réformes opérées au sein du secteur commencent à porter leurs fruits. La preuve, malgré les dépenses importantes, la Cnas maintient toujours son équilibre financier.

    - L'Expression

  • #2
    Donnons nous rendez vous en 2007 et après pour regarder de très près cet investissement qui aà mon sens est inutile et portera le chapeau sur la tête des officines de pharmacie.

    Si les marocains et les tunisiens ne l'ont pas adpoté c'est qu'il y a des contraintes techniques telles, qu'il est impossible dans l'état actuel d'utiliser un tel procédé pour résoudre les problèmes du tiers payant.

    Ils vont s'en mordre les doigts les responsables de la CNAS.

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    • #3
      @citoyen

      >> Si les marocains et les tunisiens ne l'ont pas adpoté c'est qu'il y a des contraintes techniques telles, qu'il est impossible dans l'état actuel d'utiliser un tel procédé pour résoudre les problèmes du tiers payant.

      Je ne connais pas très bien ce genre de technologies, mais les marocains et les tunisiens ne sont pas une référence dans ce domaine. Il faut voir dans les autres pays occidentaux qui utilisent ce procédé. Je sais par exemple qu'au Canada la carte d'assurance maladie (carte soleil) fonctionne bien. En plus la CNAS va tester ce procédé sur des sites pilotes avant d'être généralisée. Il faudra juste que la CNAS puisse mettre en place une bonne organisation et les bonnes ressources humaines pour assurer la gestion d'une telle infrastructure.

      Peut être que l'Algérie sera une référence pour le Maroc et la Tunisie dans ce domaine comme ils sont eux une référence pour nous en matière de monétique.
      Dernière modification par shadok, 06 juillet 2006, 00h15.
      Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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      • #4
        Bonjour citoyen

        Donnons nous rendez vous en 2007 et après pour regarder de très près cet investissement qui aà mon sens est inutile et portera le chapeau sur la tête des officines de pharmacie.
        Bonjour citoyen qu'es ce qui te fait dire cela ?

        Si les marocains et les tunisiens ne l'ont pas adpoté c'est qu'il y a des contraintes techniques telles, qu'il est impossible dans l'état actuel d'utiliser un tel procédé pour résoudre les problèmes du tiers payant.

        Ils vont s'en mordre les doigts les responsables de la CNAS.
        Pour la Tunisie je ne sais pas trop mais pour le Maroc je sais que ce pays est trés en retard en matiére de couverture sociale. Donc je ne pense pas que le Maroc puisse servir pour argumenter.

        Perso je pense que c'est une trés bonne chose cela va permettre de forcer la modernisation de la CNAS et stimuler les transactions bancaires pour les remboursements et permettre d'augmenter le nombre de compte bancaire. Moi je vois bien la mise en place d'un tel dispositif pour des test localisés et ensuite une généralisation. En plus bon nombre de pays utilisent déjà ce procédé et ça marche.

        Cordialement Walid.

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        • #5
          Bonjour Shadock

          Peut être que l'Algérie sera une référence pour le Maroc et la Tunisie dans ce domaine comme ils sont eux une référence pour nous en matière de monétique.
          Oui c'est vrai j'estime que ce n'est juste qu'une question de travail et de volonté, si le projet est réalisé sérieusement, la pays peut devenir un exemple dans ce domaine.

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          • #6
            Walid,

            L'infrastructure permettant un fonctionnement et un usage correcte d'une carte est relativement cher et au dessus des bourses de pharmaciens au regard de leur coût de fonctionnement notamment une liaison directe avec la CNAS.

            Par ailleurs un vrai fonctionnement de cette carte implique la disponiblité d'un système d'information très performant chez la CNAS permettant de prendre en charge les opérations d'identification, de transactions et des réponses...

            Le fait d'installer un lecteur de cartes et un logiciel chez le pharmacien (un non averti) implique une faille dans le système et au détriment du seul pharmacien..

            Il ne faut pas oublier que la CNAS est l'opérateur de la carte et non le pharmacien ou le médecin conventionné..par ailleurs j'ai lu la cahier des charges de la CNAS qui m'a été fourni par un ami responsable dans une boîte algérienne ayant soumissioné à l'appel d'offre y a de quoi rire mon pôte...

            Je te livre un petit apeçu :
            Les terminaux de lecture sont connectés à des PC aussi bien dans les structures de la CNAS que chez les prescripteurs.

            - Le modèle et l’architecture de la carte proposée doivent pouvoir être lus par des terminaux existant sur le marché ;
            A ce titre énumérer les marques, modèles et types de lecteurs pouvant être utilisés sans modification ainsi que les standards retenus dans la solution proposée ( PC/SC , OFC , STIP …..Etc. ….)
            Enfin c'est trop technique mais un averti pourra admirer la compétence des ingénieurs en charge du projet... un projet qui va coûter beaucoup plus que 16 millions de dollars...c'est plus que sûr..
            Gemalto doivent bien se frotter les mains...

            Commentaire


            • #7
              c'est tout a fait jouable, techniquement ça ne devrait pas être difficile a faire,si les bons choix sont faits au départ.

              ils devront peut être essayer d'utiliser des cartes multi applicatives comme la global plattform de visa pour pouvoir y mettre après d'autres applications dessus.

              ils devront essayer d'utiliser pour leur back office des logiciels open source pour optimiser les couts.il n'ya aucune raison de payer des licences exorbitantes pour des middelware qu'on trouve maintenant partout.

              au niveau de l'architecture ,ils devront essayer d'opter pour une architecture flexible et evolutive,pour avoir des possibilités d'interconnexion dans le futur avec les systèmes bancaires,ou le réseau des médecins etc etc..

              Commentaire


              • #8
                >>>ils devront essayer d'utiliser pour leur back office des logiciels open source pour optimiser les couts.il n'ya aucune raison de payer des licences exorbitantes pour des middelware qu'on trouve maintenant partout.


                Il n'y a pas de back office à vrai dire...

                De plus ce genre de projet réussi lorsque on monte une expérimantation et non un déploiment de 10% de la soulution à travers le territoire national. Une telle apparoche donne l'impression au prestatire d'avoir gagné le marché, réussi le projet et bonjour le transfert techno...

                Ya si Ismail la techno n'est pas le problème, c'est l'usage, l'infrastructure et l'organisation qui ne sont pas maîtrisés. L'expérmimentation permet de détecter les écueils et les difficultés.

                Le maroc et la tunisie ont déjà déployé des cartes bancaires, mais ils connaisaient déjà la problématique car l'usage est universel. ce n'est pas le cas des assurances maladies....

                Commentaire


                • #9
                  Il n'y a pas de back office à vrai dire...

                  ah bon,et ils vont faire comment pour rembourser les patients,faire payer les médecins et les hôpitaux?,ça doit être bien centralise quelque part toutes les données et les opérations?


                  Ya si Ismail la techno n'est pas le problème, c'est l'usage, l'infrastructure et l'organisation qui ne sont pas maîtrisés. L'expérmimentation permet de détecter les écueils et les difficultés.


                  bien sur,il y'a aussi le cote organisationnel et juridique qui est important

                  Le maroc et la tunisie ont déjà déployé des cartes bancaires, mais ils connaisaient déjà la problématique car l'usage est universel. ce n'est pas le cas des assurances maladies..

                  il y'a eu les premières cartes a puce 100% EMV qui ont été émises par une filiale de la BNP au maroc en 2006,pour lutter contre la fraude,mais il est vrai qu'on a pas toujours entendu parler d'une carte a puce pour la santé au maroc je pense que ca viendra certainement,car déjà on prévoit de lancer en 2007 une carte d'identité a puce et un permis a conduire.

                  Commentaire


                  • #10
                    >>>ah bon,et ils vont faire comment pour rembourser les patients,faire payer les médecins et les hôpitaux?,ça doit être bien centralise quelque part toutes les données et les opérations?


                    C'est un système décentralisé fonctionnant sur la base des réplications avec une période recouvrement aléatoire (24h-72h je crois). Ceci concerne les référentiels data. Mais le back office est plus gros que çà en réalité et englobe normalement des applications métiers...

                    Par exemple l'identification des assurés, l'identification des médecins, des pharmaciens des hopitaux en gros un annuaire des professionels de santé...

                    S'agissant de l'infrastructure ce Back office a besoin de réseau pour collecter et distribuer l'information. Les déboires des banques algériennes sont là pour rappeler ce qu'est un réseau (ce n'est pas simplement de la fibre optique avec des routeurs). Aujourd'hui les 3 pays sont confrontés à ces problématiques, chacun analyse des portes de sortie et évalue les coûts et ce n'est pas simple...

                    Partant de là, la carte à puce en algérie est une approche trop avant-gadiste dans la mesure ou toutes ces réserves n'ont pas été levées pour passer à la vitesse supérieure. Ce n'est pas l'avis des décideurs cehz nous alors qu'ils prennent les responsablités...

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                    • #11
                      Pour Citoyen

                      Walid,

                      L'infrastructure permettant un fonctionnement et un usage correcte d'une carte est relativement cher et au dessus des bourses de pharmaciens au regard de leur coût de fonctionnement notamment une liaison directe avec la CNAS.
                      Bonjour Citoyen au niveau coût pour l’acquisition des terminaux par les pharmaciens et les médecins j'imagine que cela doit être cher mais je pense que de ce coté la l'état ou la CNAS devront mettre la main à la poche pour aider les pharmaciens et les médecins à s'équiper.

                      Par ailleurs un vrai fonctionnement de cette carte implique la disponiblité d'un système d'information très performant chez la CNAS permettant de prendre en charge les opérations d'identification, de transactions et des réponses...
                      Ou mais justement au niveau système d'information je ne sais pas si le pays dispose d'ingénieur capable de le faire je pense que oui. Mais pour le géant Gemalto, ça ne doit pas être un problème on connecte plusieurs ordinateurs entre eux en cluster, on installe un paquet de disque dur en cascade et un SGBD de type Sybase, ou Oracle pourrait faire l'affaire pour gérer l’information et une batterie de programmeurs pour la conception des requêtes d’extractions de données. C’est vrai que c’est facile à dire mais je pense que nous avons les gens capable de faire ce travail.

                      Le fait d'installer un lecteur de cartes et un logiciel chez le pharmacien (un non averti) implique une faille dans le système et au détriment du seul pharmacien..
                      Oui mais je ne pense pas que ce soit un obstacle le pharmacien héberge seulement la machine. Il aura une petite formation d'une heure ou deux avec un fascicule juste pour apprendre à manipuler la carte et tout ce qui est technique ou logiciel cela ne le regarde pas en cas de problème il appel la CNAS et le technicien arrive. Sinon au niveau du fonctionnement pour ce qui est de la France l’utilisation du système et très simple tu introduis ta carte la machine dispose de 5 ou 6 boutons même un gamin de 10, 12 ans pourrait s'en servir parfaitement donc je ne pense pas que ce soit hors de porté de nos pharmaciens.

                      Il ne faut pas oublier que la CNAS est l'opérateur de la carte et non le pharmacien ou le médecin conventionné..par ailleurs j'ai lu la cahier des charges de la CNAS qui m'a été fourni par un ami responsable dans une boîte algérienne ayant soumissioné à l'appel d'offre y a de quoi rire mon pôte...

                      Je te livre un petit apeçu :

                      Citation:
                      Les terminaux de lecture sont connectés à des PC aussi bien dans les structures de la CNAS que chez les prescripteurs.

                      - Le modèle et l’architecture de la carte proposée doivent pouvoir être lus par des terminaux existant sur le marché ;
                      A ce titre énumérer les marques, modèles et types de lecteurs pouvant être utilisés sans modification ainsi que les standards retenus dans la solution proposée ( PC/SC , OFC , STIP …..Etc. ….)



                      Enfin c'est trop technique mais un averti pourra admirer la compétence des ingénieurs en charge du projet... un projet qui va coûter beaucoup plus que 16 millions de dollars...c'est plus que sûr..
                      Gemalto doivent bien se frotter les mains...
                      Franchement je n'y connais pas grand chose au niveau technique, c'est pour cela que je me demandais si nous avions les compétences fonctionnelles pour gérer et les compétences techniques pour participer à la conception et prendre en charge la maintenance.

                      cordialement Walid

                      Commentaire


                      • #12
                        citoyen >> Par ailleurs un vrai fonctionnement de cette carte implique la disponiblité d'un système d'information très performant chez la CNAS permettant de prendre en charge les opérations d'identification, de transactions et des réponses...

                        walid_dz >> Franchement je n'y connais pas grand chose au niveau technique, c'est pour cela que je me demandais si nous avions les compétences fonctionnelles pour gérer et les compétences techniques pour participer à la conception et prendre en charge la maintenance.


                        Le problème pour un tel système ne réside pas au niveau technique. C’est un système classique de terminaux connectés à un ou plusieurs serveurs abritants des BDD qui se trouvent dans ce qu’on appel un centre de données (Data Center). Les centre de données nécessitent biensure une haute disponibilité. Tous les opérateurs de télécoms et les banques algériennes disposent de centre de données dont la gestion nécessitent plusieurs ressources : administrateurs de systèmes, administrateurs de bases de données (DBA), ingénieurs réseaux et sécurité, administrateurs applicatifs et fonctionnels. Les ressources techniques existent évidemment en Algérie sinon comment vous croyez que les opérateurs de télécoms et les banques fonctionnent ? La CNAS pourra même s’appuyer sur des ingénieurs débutants qu’elle formera. Le problème pour la CNAS comme pour toute autre entreprise public algérienne réside au niveau organisationnel et gestion des ressources humaines. Il faudra mettre des équipes qui tournent en H24 avec un support technique efficace aux utilisateurs. Pour cela il faudra investir au niveau des salaires et des formations sinon les meilleures ressources partiront aux privés notamment chez les opérateurs de télécoms ou les banques qui offrent en ce moment les meilleures conditions de travail. Il faudra aussi que la CNAS met en face du fournisseur Gemalto des chefs de projet compétents et très exigeants.
                        Dernière modification par shadok, 07 juillet 2006, 00h35.
                        Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                        • #13
                          Bonjour walid et Shadock

                          L'écueil principal concernant un bon usage de cette carte concerne le réseau de santé inéxistant ni sur le plan organisationnel (problème intrinsèque à la profession) ni sur le plan technique (réseau de transmission de données). Les cûts d'abonnement sont tels que personne ne pourra les prendre en charge. Selon mes connaissances les ingénieurs et les décideurs de la CNAS étaient consients du problème d'où la solution retenue --> Usage de la carte en Stand Alone. Or tout le monde sait qu'un tel usage est sujet aux risques induits par le transfert et l'intégrité des données confiés à des non professionels en l'occurrence les seuls pharmaciens. Cela suppose bien entendu qu'ils doivent faire confiance d'une part aux logiciel qui leur sera fourni par la CNAS et d'autre part à la fiabilité de la carte. Techniquement de telles garanties ne sont pas réalisables dans ces conditions.

                          Je vous donne un exemple très simple : si le driver installé sur le PC d'un pharmacien est compromis, toute transaction est falsifiable à volonté, de même si les données de la carte (puisque c'est de çà qu'il s'agit) sont accessible je dis bon courage à ceux qui ont retenu une telle solution en prétendant qu'elle va garantir la fiabilité des transactions...

                          Ceci est une partie de mes inquiétudes concernant ce projet, mais je peux en citer d'autres mais les 2 que je viens de citer suffisent amplement à revoir la démarches adoptée par la CNAS.

                          Commentaire


                          • #14
                            Je vous donne un exemple très simple : si le driver installé sur le PC d'un pharmacien est compromis, toute transaction est falsifiable à volonté, de même si les données de la carte (puisque c'est de çà qu'il s'agit) sont accessible je dis bon courage à ceux qui ont retenu une telle solution en prétendant qu'elle va garantir la fiabilité des transactions...

                            l'intérêt justement des cartes a puces c'est de fournir des solutions contre la fraude,cela m'étonnerait fort que cela soit facile a ce point,l'utilisation des techniques de cryptographie asymétrique,donc le stockage dans la carte d'une clé PKI devrait garantir que les données proviennent effectivement de la carte et du terminal.
                            par exemple pour les cartes EMV avec un coprocesseur de calcul cryptographique,le risque de fraude est null

                            Commentaire


                            • #15
                              >>>donc le stockage dans la carte d'une clé PKI devrait garantir que les données proviennent effectivement de la carte et du terminal.

                              Je ne voulais pas évoquer ce problème, mais puisque tu en parles je te renvoi vers le premier obstacle que j'ai cité
                              le plan organisationnel
                              .

                              La PKI est un problème parmi d'autres qui nécessite une organisation proche du parfait. L'opérateur de la PKI n'existe pas en algérie et je ne suis pas sûr que les CNASSIENS sâchent opérer une PKI...
                              Par ailleurs, permet moi de te corriger concernant EMV qui relève plus du protocole sécurisé que de la PKI.
                              Les cartes EMV ne sont pas utilisées dans des PC et portent comme toute carte personnalisée ce qu'on appelle un secret déblocable à l'aide d'un code PIN...Etc...
                              La distribution de ces cartes va engendrer des problèmes tels que j'ose même pas y penser...

                              Ismail souviens-toi tout simplement comment tu as reçu ta carte Master ou Visa et comment on t'a délivré ton code PIN et tu comprendras la complexité que je t'ai décris succintement...

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