Nacer Boukharouba, le frère du défunt président Houari Boumediene, s'est violemment attaqué à l'homme d'affaires Isaad Rebrab dans une contribution publiée dans les colonnes du quotidien El Watan.
"Je me rappelle bien de ce que furent les membres de cette génération spontanée de nouveaux riches, bien avant qu’elle ne se métamorphose en self-made man. Par exemple, cet homme très médiatisé, qui aujourd’hui possède des monopoles nationaux très lucratifs, je me rappelle qu’il était comptable chez le père d’une de mes connaissances qui possédait à l’époque une usine du côté de Oued Smar ! Il se retrouve à la tête d’un méga-groupe économique très connu", dénonce ce professeur à l’université de Guelma.
"Par quel miracle un simple petit comptable se retrouve-t-il à la tête d’un tel empire économique en l’espace d’une vingtaine d’années ? Grâce aux crédits de l’Etat généreusement alloués dans les années 1980 tout simplement ! Ces crédits ne furent, bien sûr, jamais remboursés", accuse-t-il encore en assurant que "ce sont ces mêmes serpents qui crient le plus contre cet Etat qu’ils vont finir par bouffer".
elwatan
"Je me rappelle bien de ce que furent les membres de cette génération spontanée de nouveaux riches, bien avant qu’elle ne se métamorphose en self-made man. Par exemple, cet homme très médiatisé, qui aujourd’hui possède des monopoles nationaux très lucratifs, je me rappelle qu’il était comptable chez le père d’une de mes connaissances qui possédait à l’époque une usine du côté de Oued Smar ! Il se retrouve à la tête d’un méga-groupe économique très connu", dénonce ce professeur à l’université de Guelma.
"Par quel miracle un simple petit comptable se retrouve-t-il à la tête d’un tel empire économique en l’espace d’une vingtaine d’années ? Grâce aux crédits de l’Etat généreusement alloués dans les années 1980 tout simplement ! Ces crédits ne furent, bien sûr, jamais remboursés", accuse-t-il encore en assurant que "ce sont ces mêmes serpents qui crient le plus contre cet Etat qu’ils vont finir par bouffer".
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