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Pour la prise en charge des réfugiés syriens en Algérie
Samira Belâameri/version française : M.K
Le gouvernement algérien a décidé de prendre en charge les réfugiés syriens qui sont entrés au pays à des nombres importants, en les hébergeant et leur assurer de meilleures conditions de vie jusqu’à leur retour dans leur pays, et en réduisant, en revanche,le nombre important de Syriens rentrées dans le pays.
En plus de la prise en charge des syriens ayant fui leur pays, l’appareil exécutif a décidé, en revanche, de prendre une série de mesures en vue d’arrêter ce massif afflux de syriens ayant fui leur pays pour l’Algérie, dont leur nombre a atteint les 12 mille syriens pendant le mois de dernier, dont 3 400 se trouvant dans des situations irrégulières.
Echorouk a appris de sources concordantes que des rapports bien détaillés sur la situation des réfugiés syriens en Algérie seraient au bureau du ministère algérien des Affaires étrangères qui devrait les examiner. Il a été noté dans ces rapports que pas moins de 12 mille réfugiés syriens sont rentrés en Algérie, en raison de la situation qui prévaut dans leur pays, dont ce nombre important a été expliqué par les rédacteurs de ces rapports par les conventions bilatérales signées entre les deux pays ainsi que les facilitations données aux Syriens de voyager sans visa de et vers l’Algérie.
Dans ce contexte, les ministères de l’Intérieur et celui de la Solidarité nationale ont conjointement décidé d’œuvrer afin de prendre des mesures pour prendre en charge les réfugiés syriens qui n'ont trouvé d'autres refuges que les rues.
D’ici-là, le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales étudie la possibilité de les loger dans des établissements scolaires et d’autres sièges, sachant que ces établissements ne s’ouvrent qu’à la rentrée scolaire.
Pour des raisons purement humanitaires, le ministère de la Solidarité nationale devra lui aussi offrir à ces syriens de la nourriture, des habits et des médicaments, dont bon nombre d’enfants et de femmes se trouvent actuellement à la rue Port Saîd à Alger dans des conditions déplorables.
Ces réfugiés syriens ont fui leur pays qui se trouve en plein combats meurtriers entre l’armée régulière syrienne et l’Opposition.
En revanche, le gouvernement algérien a décidé de prendre des procédures devant réduire le nombre important de syriens rentrés dans le pays, en recommandant à Air-Algérie, à titre d’exemple, de procéder à la réduction de 3 à 2 voire à un vol seulement par semaine, tout en exigent des syriens désireux venir en Algérie de présenter des billets d’avion aller/retour ainsi que un certificat d’hébergement.
Il est utile de rappeler que l’Algérie et la Syrie ont conclu des conventions relatives à la circulation des personnes, en n’exigeant pas des syriens de visa pour rentrer dans le sol algérien, mais exigent d’eux de le quitter une fois leur période de séjour terminée ( trois mois), sauf pour les cas des études, du travail ou d’autres raisons autorisées par la loi.
Echorouk
Le gouvernement algérien a décidé de prendre en charge les réfugiés syriens qui sont entrés au pays à des nombres importants, en les hébergeant et leur assurer de meilleures conditions de vie jusqu’à leur retour dans leur pays, et en réduisant, en revanche,le nombre important de Syriens rentrées dans le pays.
En plus de la prise en charge des syriens ayant fui leur pays, l’appareil exécutif a décidé, en revanche, de prendre une série de mesures en vue d’arrêter ce massif afflux de syriens ayant fui leur pays pour l’Algérie, dont leur nombre a atteint les 12 mille syriens pendant le mois de dernier, dont 3 400 se trouvant dans des situations irrégulières.
Echorouk a appris de sources concordantes que des rapports bien détaillés sur la situation des réfugiés syriens en Algérie seraient au bureau du ministère algérien des Affaires étrangères qui devrait les examiner. Il a été noté dans ces rapports que pas moins de 12 mille réfugiés syriens sont rentrés en Algérie, en raison de la situation qui prévaut dans leur pays, dont ce nombre important a été expliqué par les rédacteurs de ces rapports par les conventions bilatérales signées entre les deux pays ainsi que les facilitations données aux Syriens de voyager sans visa de et vers l’Algérie.
Dans ce contexte, les ministères de l’Intérieur et celui de la Solidarité nationale ont conjointement décidé d’œuvrer afin de prendre des mesures pour prendre en charge les réfugiés syriens qui n'ont trouvé d'autres refuges que les rues.
D’ici-là, le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales étudie la possibilité de les loger dans des établissements scolaires et d’autres sièges, sachant que ces établissements ne s’ouvrent qu’à la rentrée scolaire.
Pour des raisons purement humanitaires, le ministère de la Solidarité nationale devra lui aussi offrir à ces syriens de la nourriture, des habits et des médicaments, dont bon nombre d’enfants et de femmes se trouvent actuellement à la rue Port Saîd à Alger dans des conditions déplorables.
Ces réfugiés syriens ont fui leur pays qui se trouve en plein combats meurtriers entre l’armée régulière syrienne et l’Opposition.
En revanche, le gouvernement algérien a décidé de prendre des procédures devant réduire le nombre important de syriens rentrés dans le pays, en recommandant à Air-Algérie, à titre d’exemple, de procéder à la réduction de 3 à 2 voire à un vol seulement par semaine, tout en exigent des syriens désireux venir en Algérie de présenter des billets d’avion aller/retour ainsi que un certificat d’hébergement.
Il est utile de rappeler que l’Algérie et la Syrie ont conclu des conventions relatives à la circulation des personnes, en n’exigeant pas des syriens de visa pour rentrer dans le sol algérien, mais exigent d’eux de le quitter une fois leur période de séjour terminée ( trois mois), sauf pour les cas des études, du travail ou d’autres raisons autorisées par la loi.
Echorouk