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MARCHÉ DE L'AUTOMOBILE EN ALGÉRIE - Les importations doublent en six mois

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  • MARCHÉ DE L'AUTOMOBILE EN ALGÉRIE - Les importations doublent en six mois

    Alors qu'une crise sournoise mine encore les marchés à l'international, notamment au Vieux Continent, l'Algérie voit son marché automobile quasiment exploser. Les chiffres des ventes communiqués par les concessionnaires ainsi que les statistiques des Douanes algériennes attestent du boom remarquable des quatre roues dans notre pays. Ainsi, les importations de véhicules en Algérie au premier semestre 2012 ont littéralement doublé.

    L'Algérie a importé 263.787 véhicules, entre le 1er janvier et le 30 juin, contre 176.901 véhicules à la même période en 2011, soit une hausse de 49,12%, informent les Douanes algériennes. Ces importations se sont accompagnées d'une facture également en hausse de 48,15%, passant de 157,16 milliards de DA au 1er semestre 2011 à 233,55 milliards de DA au même semestre de 2012, soit plus de 3,15 milliards de dollars au taux de change fixé par la loi de finances de 2012. La valeur des importations des véhicules du tourisme, a, pour sa part, atteint 1,68 milliard Usd durant les six premiers mois 2012, précise le Centre national de l'informatique et des statistiques des Douanes (Cnis).
    La quarantaine de concessionnaires présents sur le marché algérien, particulièrement ceux qui sont les plus en vue, affichent une forme exceptionnelle et communiquent des résultats record.
    L'ensemble des représentants des constructeurs ont importé 248 833 véhicules durant les six premiers mois 2012 contre 164 138 véhicules, en hausse de 51,6%, pour une valeur de 209,74 milliards de DA (+52,12%), contre 137,8 milliards de DA à la même période en 2011, précise la même source. Ainsi et alors que le marché en Europe est en baisse de 7,2% au
    1er semestre, le marché algérien connaît un dynamisme qui rend euphorique tous les concessionnaires. Ces scores exceptionnels sont donc réalisés dans un marché automobile algérien particulièrement dynamique qui voit un regain d'intérêt des Algériens pour l'automobile, et ce suite aux rappels massifs consentis aux travailleurs dans plusieurs secteurs, dont la fonction publique, la santé, l'éducation, etc. Les voitures françaises occupent toujours la première place des importations de l'Algérie durant le premier semestre 2012. Ce classement s'est d'ailleurs reflété sur le podium des ventes sur le marché automobile national, toutes marques confondues. En effet, les marques françaises s'adjugent la part du lion.
    A titre d'illustration rappelons que le bilan communiqué par le premier responsable de Peugeot Algérie fait ressortir des chiffres en hausse. Soit 29.874 ventes pour le cumul des six premiers mois de l'année en cours contre 18.839 ventes pour le cumul du semestre 2011; ce qui se traduit par une évolution record de l'ordre de 59%, un taux qui dépasse de loin ceux réalisés par la concurrence. «Peugeot fait mieux que le marché!» commente à ce titre M.Foret, fier de la deuxième place qu'il occupe sur le podium des ventes. En 2011, l'Algérie a importé 390.140 véhicules en hausse de 36,73%, pour une valeur de 354 milliards de DA également en augmentation de 30,85% par rapport à 2010. Malgré les effets de la crise économique internationale, l'arrêt du crédit automobile et les taxes introduites depuis 2008 afin de réguler le marché de l'automobile, les importations ont repris leur tendance haussière dès 2010.

    l'Expression
    veni vidi vici .

  • #2
    On voit pas bien ou sont dépensées les augmentations salariales du secteur public...Pauvre Algérie.

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    • #3
      On voit pas bien ou sont dépensées les augmentations salariales du secteur public...Pauvre Algérie.
      pauvre de toi même
      chacun est libre de dépenser là ou il veut
      si j'ai assez d'argent pour m'acheter une voiture, ça ne veut pas dire que je suis stupide .

      ahh ces émigrés qui vivent à Londres ou à Paris et qui viennent nous traiter de pauvres ........
      veni vidi vici .

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      • #4
        Je ne plains ni Zirds ni des algériens comme toi...Je plains mon pays.
        Les augmentations sans contrepartie de productivité, ne sont permises que grâce aux recettes fiscales sur les HC...Donc, pas la peine de se réjouir...car tu n'as rien créé...3endhoum el haq ki yqoulou l'algérien n'est qu'un œsophage et un croupion: yhab yakoul, yaq3oud ou ya...ra.

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        • #5
          Les augmentations sans contrepartie de productivité, ne sont permises que grâce aux recettes fiscales sur les H
          donc on devrait interdire aux algériens d'acheter des voitures c'est ça ?
          déjà qu'ils ont supprimer le crédit pour l'achat d'un véhicule, toi tu veut carrément interdire la vente de véhicules

          Donc, pas la peine de se réjouir

          qui se réjouis ou se désole ?
          c'est une info comme tant d'autres

          endhoum el haq ki yqoulou l'algérien n'est qu'un œsophage et un croupion
          dans ton cas ... je confirme
          veni vidi vici .

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          • #6
            Vite les raccourcis...Ai-je prononcé le mot interdire ou interdiction?
            Pour le reste, sans commentaire...Le niveau est bas, pour te consacrer une seconde de plus...Rouh tel3ab b3id ya wled.

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            • #7
              Vite les raccourcis...Ai-je prononcé le mot interdire ou interdiction?
              écoute, pour faire simple voici la situation :

              les algériens achètent de plus en plus de voitures, il n'y a donc pas d'autres choix que d'importer ces dites voitures pour la consommation locale

              Pour le reste, sans commentaire...Le niveau est bas
              je te retourne le compliment ô grand Bahar
              veni vidi vici .

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              • #8
                On voit pas bien ou sont dépensées les augmentations salariales du secteur public...Pauvre Algérie.
                Bof! tu sais, les fameuses augmentations salariales ne sont qu'une simple mise à niveau voire une arnaque quand on vit les augmentations des prix. C'est loin d'être des extravagance financières... J'ai lu ici même un rapport, chiffres à l'appui, démontrant que rapporté à l'Euro, les prof de Mauritanie sont bien mieux payés que leurs homologues algériens...
                "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                • #9
                  On voit pas bien ou sont dépensées les augmentations salariales du secteur public...Pauvre Algérie.
                  tu l'as dis toi même il s'agit du secteur public, je ne vois pas comment un prof peut augmenter sa productivité pour mériter un meilleur salaire? tu vas me dire que la variation du niveau de productivité national ne justifie pas ces augmentation, je te repondrai qu'il s'agit d'une mise à niveau, les profs, les policiers et les médecins ont maintenant un vrai pouvoir d'achat, qui permettrait à l'état de fonder une politique de production ... toujours au conditionnel bien sur

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                  • #10
                    Si la productivité du secteur public (public ou autre) se faisait par des dépenses on l'aurait su.

                    Pour ce qu'est une production du secteur de l'éducation/enseignement (même si je n'ai pas parlé que des enseignants), je t'invite à lire les travaux des chercheurs comme Butaré ou même si tu es adepte des grands économistes, je t'inviterai à lire Adam Smith qui reconnaissait déjà l'importance de l'éducation dans la création de la richesse. Il se trouve qu'aujourd'hui, nos écoles et nos universités ne "produisent" souvent que des diplômés qui ne correspondent pas aux besoins du marchés algériens. De même que ce concept de productivité dans le secteur public pourrait aussi être analysé sous l'angle de l’efficacité de la dépense publique et là je te renvoie à la situation des effectifs pléthoriques dans les institutions publiques qu'elles soient productives ou de services publics.

                    Donc, en sommes, ces augmentations que vous appelez des corrections et des mises à niveau d'une situation aberrante n'est qu'un phénomène amplificateur des déséquilibres et générateur de plus d'inflation. Pourrais-tu me dire combien a augmenté l'inflation depuis ces augmentations?
                    Au final, elles sont complètement neutralisées et on trouve encore les salariés réclamant plus d'augmentations (cercle vicieux!!!).

                    Pire encore, étant donné que la production nationale est complètement inélastique à la demande nationale (les capacités de production sont limitées...même la traite de lala Mass3ouda)...Chaque augmentation est un appel d'air à plus d'importation...et qui est le bénéficiaire? Et oui, l'Algérié est là pour aider tous les pays en crise...quitte à ce qu'elle y demeure.

                    Commentaire


                    • #11
                      MARCHÉ DE L'AUTOMOBILE EN ALGÉRIE - Les importations doublent en six mois


                      ca serait quand meme bien si une Partie , meme 25%, de ces importations étaient fabriqués sur place .
                      " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                      • #12
                        elbahar

                        Si la productivité du secteur public (public ou autre) se faisait par des dépenses on l'aurait su.

                        Pour ce qu'est une production du secteur de l'éducation/enseignement (même si je n'ai pas parlé que des enseignants), je t'invite à lire les travaux des chercheurs comme Butaré ou même si tu es adepte des grands économistes, je t'inviterai à lire Adam Smith qui reconnaissait déjà l'importance de l'éducation dans la création de la richesse. Il se trouve qu'aujourd'hui, nos écoles et nos universités ne "produisent" souvent que des diplômés qui ne correspondent pas aux besoins du marchés algériens. De même que ce concept de productivité dans le secteur public pourrait aussi être analysé sous l'angle de l’efficacité de la dépense publique et là je te renvoie à la situation des effectifs pléthoriques dans les institutions publiques qu'elles soient productives ou de services publics.

                        Donc, en sommes, ces augmentations que vous appelez des corrections et des mises à niveau d'une situation aberrante n'est qu'un phénomène amplificateur des déséquilibres et générateur de plus d'inflation. Pourrais-tu me dire combien a augmenté l'inflation depuis ces augmentations?
                        Au final, elles sont complètement neutralisées et on trouve encore les salariés réclamant plus d'augmentations (cercle vicieux!!!).

                        Pire encore, étant donné que la production nationale est complètement inélastique à la demande nationale (les capacités de production sont limitées...même la traite de lala Mass3ouda)...Chaque augmentation est un appel d'air à plus d'importation...et qui est le bénéficiaire? Et oui, l'Algérié est là pour aider tous les pays en crise...quitte à ce qu'elle y demeure.
                        certes nos écoles et universités ne produisent pas des diplomés qui correspondent au marché et certes ces augmentations de salaires génèrent de l'inflation, mais selon d'autres économistes l'inflation pourrait constituer un facteur de développement, dans une économie productive bien sur, reste à l'état de se servir de ce pouvoir d'achat pour asseoir une économie solide et productive, l'état doit s'attaquer aux barrons de l'import import pour les inciter à se convertir en investisseurs ...

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                        • #13
                          Le marché algérien de l'automobile ne connaît pas la crise. Les importations de véhicules ont bondi de près 50% durant les six premiers mois de 2012.

                          Le parc automobile grossit chaque année
                          En 2011, l'Algérie avait importé 400.000 véhicules pour 3,3 milliards d'euros contre 300.000 unités en 2010. Selon l'association des concessionnaires automobiles algériens (AC2A), la hausse des importations de véhicules s'explique par la médiocrité des transports publics dans les grandes villes notamment à Alger, le renouvellement et le renforcement des parcs automobiles des entreprises et des collectivités locales et les aides importantes accordées par l'Etat aux jeunes pour créer de petites entreprises, avec des crédits bancaires à taux zéro et des réductions sur les prix des véhicules.
                          Cette demande est tirée vers le haut aussi par les particuliers dont les dépenses sont dopées par les hausses des salaires accordées en
                          2011 aux fonctionnaires avec des rappels de quatre ans, selon le premier ministre Ahmed Ouyahia.
                          En Algérie, en dépit de l'interdiction du crédit automobile depuis 2009, les importations de véhicules augmentent chaque année, et les clients attendent plusieurs mois pour recevoir leurs véhicules.

                          La Tribune.fr
                          veni vidi vici .

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                          • #14
                            ca serait quand meme bien si une Partie , meme 25%, de ces importations étaient fabriqués sur place (Cell)

                            On va vers le 1/2 million de véhicules importés pour 2012 donc il y a largement la place pour 2 usines de montage de 75000 véhicules chacune, par exemple Renault et VW

                            Commentaire


                            • #15
                              certes nos écoles et universités ne produisent pas des diplomés qui correspondent au marché et certes ces augmentations de salaires génèrent de l'inflation, mais selon d'autres économistes l'inflation pourrait constituer un facteur de développement, dans une économie productive bien sur, reste à l'état de se servir de ce pouvoir d'achat pour asseoir une économie solide et productive, l'état doit s'attaquer aux barrons de l'import import pour les inciter à se convertir en investisseurs ...
                              Ih loukan ta3ref wech rah sari...tqeta3 kmedjtek.

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