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affaire nezzar:Qu’attend-on en haut lieu ?

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  • affaire nezzar:Qu’attend-on en haut lieu ?

    En décidant de juger le général-major à la retraite Khaled Nezzar pour de soi-disant «crimes de guerre», la justice suisse s’en prend à notre armée et lui en veut d’avoir défendu la République contre le terrorisme. Tous l’auront noté, c’est une ingérence inadmissible et intolérable dans les affaires de notre pays. La lecture du document du tribunal fédéral pénal (TFP) qui expose cette décision montre clairement qu’il s’agit d’une intrusion de la justice suisse dans les affaires internes de l’Algérie sur des aspects qui relèvent de sa souveraineté nationale. Le TFP conteste à notre pays le droit de choisir sa démarche pour régler ses problèmes internes. Il a sans doute été encouragé, dans cette voie, par le contexte difficile - le «printemps occidental», car c’est le leur - que traverse la région dont fait partie l’Algérie, elle-même ciblée par cette vague agressive. La justice suisse ne reconnaît pas le dispositif juridique mis en place par la Charte sur la réconciliation nationale et la paix et veut carrément se substituer à la justice algérienne. Cette situation a provoqué la colère au sein de la société civile qui a commencé à réagir. Car les faits pour lesquels la justice suisse s’acharne à poursuivre l’ex-membre du Haut comité d’Etat relèvent d’une lutte antiterroriste qui a mobilisé non seulement les forces armées mais aussi la société civile (journalistes en tête) et toutes les institutions de l’Etat. La démarche de la justice suisse qui vise en réalité l’Algérie et ses institutions, doit être clairement rejetée par les plus hautes autorités de notre pays.
    Lazhar Houari
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Le TPF insulte les institutions algériennes et bafoue les lois internationales

    Philip Grant, directeur de Trial et avocat du FIS. D. R.
    Deux éléments clés ressortent du «verdict» de la justice suisse dans l’affaire introduite par l’ONG Trial qui se fait l’avocat des intégristes du FIS dissous hébergés par la Confédération helvétique : incompétence et ingérence. En lieu et place d’un texte exclusivement juridique, c’est à un discours éminemment politique condamnant les décisions prises par les instances dirigeantes algériennes à une période donnée, que se sont livrés les rédacteurs de la très controversée décision du tribunal de Genève. En outre, la justice suisse commet un grave impair en voulant substituer ses propres lois au droit international, ce qui peut conduire l’Algérie à recourir à la Cour internationale de justice, selon un avocat international contacté par ******************. C’est donc un véritable procès politique que la justice suisse s’acharne à vouloir préparer contre le général Khaled Nezzar et, à travers lui, contre l’Algérie, qui a combattu et vaincu le terrorisme islamiste. L’information a été accueillie avec surprise en Algérie : la justice suisse considère que l’ancien membre du Haut Comité d’Etat (HCE) et ministre de la Défense nationale «ne peut bénéficier» de l’immunité prévue par le Droit international appliqué en Suisse. Pourtant, le général Khaled Nezzar était, au moment des faits, membre du HCE, c'est-à-dire une instance collégiale qui disposait de «tous les pouvoirs et attributs dévolus par la Constitution au président de la République». Une convention internationale accorde l’immunité et protège «chaque membre d’un organe collégial remplissant en vertu de la Constitution de l’Etat considéré les fonctions de chef d’Etat ». C’est le cas, justement, de l'ancien ministre de la Défense nationale qui, en vertu de la Constitution algérienne, remplissait, en tant que membre du HCE, les fonctions de chef de l’Etat. Or, visiblement, selon la justice suisse, le HCE algérien fait exception à cette disposition. C’est ce qui ressort, en tout cas, de la décision du tribunal pénal fédéral (TPF). Le document du TPF est plein d’indications qui prouvent qu’il place l’affaire sur le terrain politique et non juridique. Dès l’énoncé des faits, la justice suisse qualifie la lutte antiterroriste menée par l’Etat algérien de «conflit interne armé» et inscrit les «crimes de guerre» dans ce cadre. Elle porte un jugement sur le HCE désigné comme «junte au pouvoir» – en a-t-elle le droit ? – et fait sienne la version qui qualifie de «coup d’Etat» la décision prise par le HCE de suspendre le processus électoral après constatation de la vacance institutionnelle créée, le 11 janvier 1992, par la démission du chef de l’Etat alors que le Parlement était déjà dissous. La clôture du mandat ayant eu lieu le lundi 30 décembre 1991 et annoncée officiellement par Abdelaziz Belkhadem, alors président sortant de l’APN. En fait, à la lecture du document, on constate que la justice suisse s’octroie le droit de ne pas reconnaître le HCE qui n’est pas considéré comme institution ayant dirigé l’Algérie durant une période transitoire. C’est la formule «pouvoir en place» qui est utilisée. Plus grave, dans sa présentation du général Khaled Nezzar, le document ne mentionne pas sa qualité de membre de cette instance officielle. Les éléments d’un procès politique du général Nezzar, et donc de l’Algérie, sautent aux yeux à la lecture du document du TPF. La justice suisse tourne le dos à la réalité. Elle ne veut pas admettre, par exemple, qu’il existe, en Algérie, des jugements condamnant des membres des forces armées lors de dépassements. Elle dénie à l’Algérie le droit de légiférer en fonction de ses besoins et de sa réalité. Dans un acte d’ingérence flagrant, la justice suisse s’octroie le droit de critiquer l’ordonnance portant Charte pour la paix et la réconciliation nationale parce que ce texte juridique salue le patriotisme des citoyens qui se sont opposés au terrorisme, interdit toute poursuite contre les éléments des forces de sécurité pour des actions menées dans le cadre de la lutte antiterroriste et punit quiconque cherche à «nuire à l’honorabilité de ses agents qui l’ont dignement servie ou ternir l’image de l’Algérie sur le plan international». L’interprétation qu’en donne le TPF s’appelle, tout simplement, une atteinte à la souveraineté de l’Algérie.
    Ramdane Ouahdi
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #3
      Heure des comptes à sonner !

      Il a fait un coup d'état, suspendre en catimini tous les articles de la constitution qui s'opposent à sa volonté de commandement, décréter des lois martiales, importer un président et lui tailler de jolis oeils de gruyère quelques mois plus tard, créer des camps de concentration et parquer des milliers de citoyens, sans jugement, annoncer des sentences criminelles par des juges cagoulés, faire "démissionnés" les récalcitrants, et si suspectés plus dangereux(haut gradés et responsables) les faire "accidentés, au mieux les muter loin de leur affairisme et leur sinistres méfaits, bâillonner et assassiner la presse libre et donner de la voix à des plumitifs complices(rappelons-nous atmosphère funeste digne Orson Welles propagée par les futurs éradicateurs quelques jours avant de passer à leur aventure de triste mémoire), torturer, faire disparaître et kidnapper plusieurs milliers, zigouiller des centaines de milliers d'innoncents, assassiner sa propre femme...
      Et de ce temps là à aujourd'hui lui et ses affidés tentent de mettre la lumière sous le boisseau
      Lui et ses compères, il est temps qu'ils répondent de leur crimes que ça soit en suisse ou en Israel; là bas au moins ils arrivent à trainer leur presidents, premier ministres et chefs des armées devant des tribunaux et les condamnés le cas échéant pour des affaires plus que banales à nos yeux: affaire de moeurs, de trafics d'influence; voire pour simples mensonges la rue a exigé et obtenu leur démission !
      Dernière modification par pioto, 07 août 2012, 19h56.

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      • #4
        En décidant de juger le général-major à la retraite Khaled Nezzar pour de soi-disant «crimes de guerre»
        ce n'est pas de soi-disant, arretez de vous foutre de notre gueule, il a bien ordonné le massacre de centaines de jeunes un certain mois d'octobre 88
        tout le monde le sait.
        la justice suisse s’en prend à notre armée et lui en veut d’avoir défendu la République contre le terrorisme.
        la suisse s'en prend a des criminels sanguinaires pas a l'armée, parceque nezzar n'est pas l'ANP
        ... La lecture du document du tribunal fédéral pénal (TFP) qui expose cette décision montre clairement qu’il s’agit d’une intrusion de la justice suisse dans les affaires internes de l’Algérie sur des aspects qui relèvent de sa souveraineté nationale.
        hahaha laisser moi rire, la souveraineté d'exterminer impunément trois millions d'algeriens parce qu'ils ont voulu changer l'ordre établit
        Dernière modification par DocRemady, 04 août 2012, 18h50.
        أصبحنا أمة طاردة للعلماء مطبلة للزعماء

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        • #5
          La lecture du document du tribunal fédéral pénal (TFP) qui expose cette décision montre clairement qu’il s’agit d’une intrusion de la justice suisse dans les affaires internes de l’Algérie sur des aspects qui relèvent de sa souveraineté nationale.
          ...tain, ils croient vraiment que leurs salades vont encore duper!!! Faut se réveiller là! Même Moubarak a été balayé!
          "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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          • #6
            Faut se réveiller là! Même Moubarak a été balayé!
            Moubarak en plus, c'est un pharaon, 30 ans de règne ya mhaynek, il a presque égaler Hassan II dommage qu'on l'est pas laisser
            veni vidi vici .

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            • #7
              reelement et je peux te le prouver tous les pays arabes doivent être gouverner par des dictateurs, sinon c'est le chaos


              c'est vrai qu'avec les dictateurs, c'est la joie et la bonne humeur ! la belle vie !

              roh roh, avec des gens comme toi on mérite que fér3oun en personne nous gouverne .
              veni vidi vici .

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              • #8
                mais réveille toi stp , reelement et je peux te le prouver tous les pays arabes doivent être gouverner par des dictateurs, sinon c'est le chaos, il n'y a pas de démocratie
                Le pire c'est de s'habituer au joug et de refuser de s'en départir!:22:
                "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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