Par Menthalo - Wall Street under cyber-attack?-
Menthalo émet des hypothèses, donne ses analyses. Je n’ai pas de contact direct à la CIA, au MI6 ou dans les services de contre-espionnage en Inde.
Mon article de ce week-end sur la cyber-guerre entre l’Inde et les USA ne pourra donc jamais être étayé de preuves ou d’aucune confirmation de quelque nature que ce soit. Ces affaires-là sont secrètes et le resteront. Je n’énonce donc en aucun cas des vérités absolues. Une vérité absolue est un fait avéré et reconnu par l’establishment, comme la création de virus informatique par Israël pour détruire les centrales nucléaires iraniennes. Je ne présente que des intuitions.
J’estime néanmoins avoir gagné mon pari “votre hot-dog contre mon curry d’agneau”, sur le fait que le programme de Knight Capital avait été écrit par un indien.
Les logiciels de KNIGHT Capital Corporation ont été réalisés par la société Tradeworx, firme fondée en 1999 par Manoj Narang, spécialiste reconnu du nanotrading.
Manoj est un prénom hindou provenant du sanscrit et plus précisément de l’expression “manasi jaatah it Manojah”, qui fait référence au Dieu de l’Amour, Kaandev, né de l’âme du Dieu Suprême.
Manoj Narang est un nom extrêmement répandu en Inde et dans la diaspora indienne aux Etats Unis.
Aujourd’hui à WS, 70% des échanges seraient réalisés en nanotrading. Les ordinateurs traitent plus d’un milliard d’ordre par jour.
De l’aveu même de Manoj Narang, les logiciels ne s’intéressent pas aux fondamentaux, ni à une perspective d’une action à 3 ans ou 10 ans. Ils cherchent à anticiper le mouvement de l’action dans les millisecondes qui suivent. Les hommes sont trop lents pour saisir une opportunité, qui ne durera qu’une fraction de secondes. Le nanotrading en 2005 ne représentait que 30% des transactions à Wall Street, contre 70% en 2010. (source cbsnews)
Autrement dit, dans le meilleur des cas, il n’y aurait que 30% d’ordres réellement donnés par des humains. Parmi ces 30%, il faut comptabiliser les ordres de la Fed via les PPT, cherchant à falsifier la perception de la réalité économique (MOPE) en faisant monter quelques titres choisis, qui entraineront l’ensemble de la bourse vers le haut.
Mais de temps à autres, un ordinateur va déraper et donner des ordres irrationnels faisant monter ou baisser un titre, les autres ordinateurs vont tous suivre le mouvement, créant des flash-krach.
—-
MANOJ NARANG recherché par les gendarmes …
Le 17 juillet, le gendarme de la bourse de NY, la SEC, a signé un contrat avec Tradeworx afin de suivre toutes les cotations et transactions en actions et en options sur les marchés américains (des Bourses aux Electronic Communications Networks, ces systèmes alternatifs de transactions). Depuis le Flash Krach du 6 mai 2010, la SEC se sentait dépassée par les traders à haute fréquence. Comme les études de Namex l’ont démontré, tous les jours, un épisode de quote stuffing affecte une valeur américaine. Le quote stuffing est cette pratique qui consiste à bourrer le carnet d’ordres de transactions à la hausse ou à la baisse, pour ensuite les annuler. Cela crée une fausse liquidité sur le titre et trompe les traders qui suivent ce mouvement. Bien sûr, cette pratique est illégale, mais elle est difficile à repérer sans un programme informatique adapté.
Manoj Narang est donc recherché par les gendarmes de la Bourse … non pas pour une éventuelle cyber-attack indienne subodorée par Menthalo, mais pour son savoir-faire en trading à haute fréquence AGORAVOX
Menthalo émet des hypothèses, donne ses analyses. Je n’ai pas de contact direct à la CIA, au MI6 ou dans les services de contre-espionnage en Inde.
Mon article de ce week-end sur la cyber-guerre entre l’Inde et les USA ne pourra donc jamais être étayé de preuves ou d’aucune confirmation de quelque nature que ce soit. Ces affaires-là sont secrètes et le resteront. Je n’énonce donc en aucun cas des vérités absolues. Une vérité absolue est un fait avéré et reconnu par l’establishment, comme la création de virus informatique par Israël pour détruire les centrales nucléaires iraniennes. Je ne présente que des intuitions.
J’estime néanmoins avoir gagné mon pari “votre hot-dog contre mon curry d’agneau”, sur le fait que le programme de Knight Capital avait été écrit par un indien.
Les logiciels de KNIGHT Capital Corporation ont été réalisés par la société Tradeworx, firme fondée en 1999 par Manoj Narang, spécialiste reconnu du nanotrading.
Manoj est un prénom hindou provenant du sanscrit et plus précisément de l’expression “manasi jaatah it Manojah”, qui fait référence au Dieu de l’Amour, Kaandev, né de l’âme du Dieu Suprême.
Manoj Narang est un nom extrêmement répandu en Inde et dans la diaspora indienne aux Etats Unis.
Aujourd’hui à WS, 70% des échanges seraient réalisés en nanotrading. Les ordinateurs traitent plus d’un milliard d’ordre par jour.
De l’aveu même de Manoj Narang, les logiciels ne s’intéressent pas aux fondamentaux, ni à une perspective d’une action à 3 ans ou 10 ans. Ils cherchent à anticiper le mouvement de l’action dans les millisecondes qui suivent. Les hommes sont trop lents pour saisir une opportunité, qui ne durera qu’une fraction de secondes. Le nanotrading en 2005 ne représentait que 30% des transactions à Wall Street, contre 70% en 2010. (source cbsnews)
Autrement dit, dans le meilleur des cas, il n’y aurait que 30% d’ordres réellement donnés par des humains. Parmi ces 30%, il faut comptabiliser les ordres de la Fed via les PPT, cherchant à falsifier la perception de la réalité économique (MOPE) en faisant monter quelques titres choisis, qui entraineront l’ensemble de la bourse vers le haut.
Mais de temps à autres, un ordinateur va déraper et donner des ordres irrationnels faisant monter ou baisser un titre, les autres ordinateurs vont tous suivre le mouvement, créant des flash-krach.
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MANOJ NARANG recherché par les gendarmes …
Le 17 juillet, le gendarme de la bourse de NY, la SEC, a signé un contrat avec Tradeworx afin de suivre toutes les cotations et transactions en actions et en options sur les marchés américains (des Bourses aux Electronic Communications Networks, ces systèmes alternatifs de transactions). Depuis le Flash Krach du 6 mai 2010, la SEC se sentait dépassée par les traders à haute fréquence. Comme les études de Namex l’ont démontré, tous les jours, un épisode de quote stuffing affecte une valeur américaine. Le quote stuffing est cette pratique qui consiste à bourrer le carnet d’ordres de transactions à la hausse ou à la baisse, pour ensuite les annuler. Cela crée une fausse liquidité sur le titre et trompe les traders qui suivent ce mouvement. Bien sûr, cette pratique est illégale, mais elle est difficile à repérer sans un programme informatique adapté.
Manoj Narang est donc recherché par les gendarmes de la Bourse … non pas pour une éventuelle cyber-attack indienne subodorée par Menthalo, mais pour son savoir-faire en trading à haute fréquence AGORAVOX
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