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The New War in the Middle East: Turkey's War against the Kurdistan Workers Party (PKK)

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  • The New War in the Middle East: Turkey's War against the Kurdistan Workers Party (PKK)

    Obama and his British masters' war against the Syrian government of Bashar Assad has spawned a new war in the Middle East, this time where its "sub-contractor" Turkey finds itself battling the Kurdistan Workers Party (PKK). The latter has now launched a major offensive inside Turkey, where in the last two weeks government troops have killed 115 PKK members according to Interior Minister Idris Naim Sahin. Battles are taking place in Semdini in Hakkari province on the border with Iraq. There are as many as 10,000 Turkish troops involved in the bloodiest fighting in years.

    The Turkish opposition Republican Peoples Party (CHP) sent a delegation to the region and demanded more transparency on what is actually happening. The operation has been going on for three weeks. The CHP members went to Semdini, the capital of the region, where the operation is taking place. While the city itself was calm, one could hear sounds of military operations. The PKK had claimed they captured the town, which was obviously untrue.

    The Turkish press across the political spectrum is filled with editorials and commentaries critical of the government's policy. One example is a commentary in Today's Zaman by Omer Taspinar, who writes under the headline "Syria Lessons for Turkey," that the ruling Justice and Development Party policy of trying to be the "most important central player" in the region is "now history" as a result of events in Syria. He writes that it was "naive" and "absurd to believe that Turkey could replace Iran's influence over Syria." Another lesson was a failure to see the relationship between the Turkey's backing of the Saudi-financed Syrian opposition, and the Kurdish problem inside Turkey itself, which has now led not only to the prospect of a PKK-controlled region within Syria bordering Turkey, but also to the current upsurge of attacks by the PKK within Turkey itself.

    Yet another failure is to see the that the Sunni-Alawite conflict, between the Muslim Brotherhood-controlled Sunni opposition and the Alawite minority that is part of the current Syrian government, will blow back against Turkey itself. Indeed Turkey has 15-20 million Alawite citizens who now fear that sectarian violence will spread from Syria to Turkey itself. He writes that it is disturbing to see that today "Turkey is perceived in the region and by its own population as a Sunni actor that is particularly close to the Muslim Brotherhood."

    This commentary should be seen as particularly biting since Today's Zaman is itself linked to Turkish Fethullah Gulen, a moderate Islamic movement close to the AKP party.

    Turkish Prime Minister Recep Tayyip Erdogan has responded with a flight forward that promises to bring even greater disasters. Speaking on Turkish television, he blamed the Syrian government, claiming that it is supporting the PKK, and warning that Turkey could launch military attacks against the PKK inside Syria to stop its alleged infiltration into Turkey from Syrian territory. These allegations have been coordinated with the Turkish- and Saudi-backed Syrian opposition. Khaled Abu Saleh, spokesman of the so-called Homs Revolutionary Council, claimed that Damascus released 1,200 PKK terrorists from Syrian jails.

    Traduction Google

    Obama et la guerre à ses maîtres britanniques contre le gouvernement syrien de Bachar al-Assad a donné naissance à une nouvelle guerre au Moyen-Orient, cette fois où son «sous-traitant" La Turquie se trouve aux prises avec des travailleurs du Kurdistan (PKK). Celui-ci a maintenant lancé une offensive majeure à l'intérieur de la Turquie, où, dans les dernières troupes de deux semaines du gouvernement ont tué 115 membres du PKK en fonction de ministre de l'Intérieur Idris Sahin Naim. Les batailles sont en cours dans la province de Hakkari dans Semdini sur la frontière avec l'Irak. Il ya autant de 10.000 soldats turcs impliqués dans le combats les plus sanglants depuis des années.

    Le turc d'opposition des peuples du Parti républicain (CHP) a envoyé une délégation dans la région et a exigé plus de transparence sur ce qui se passe réellement. L'opération a duré pendant trois semaines. Les membres de cogénération allé à Semdini, la capitale de la région, où l'opération se déroule. Alors que la ville elle-même était calme, on pouvait entendre les sons des opérations militaires. Le PKK avait revendiqué ils ont capturé la ville, qui était évidemment faux.

    La presse turque à travers le spectre politique est rempli avec des éditoriaux et des commentaires critiques de la politique du gouvernement. Un exemple en est un commentaire publié dans Zaman aujourd'hui par Omer Taspinar, qui écrit sous le titre «Leçons Syrie pour la Turquie," que la justice et du politique du Parti du développement d'essayer d'être le «joueur le plus important centre" dans la région est «désormais de l'histoire "à la suite des événements en Syrie. Il écrit qu'il était «naïf» et «absurde de croire que la Turquie pourrait remplacer l'influence de l'Iran sur la Syrie." Une autre leçon a été un échec pour voir la relation entre le soutien de la Turquie de l'opposition saoudienne financé par la Syrie, et le problème kurde à l'intérieur de la Turquie elle-même, qui a maintenant conduit non seulement à la perspective d'une région du PKK-contrôlée en Turquie la Syrie limitrophe, mais également à la recrudescence actuelle des attaques du PKK en Turquie elle-même.

    Pourtant, un autre échec, c'est de voir de ce que le conflit entre sunnites et alaouites, entre les Frères musulmans-contrôlée opposition sunnite et la minorité alaouite, qui fait partie du gouvernement syrien actuel, va souffler le dos contre la Turquie elle-même. En effet la Turquie a 15-20 millions de citoyens qui alaouites craignent maintenant que la violence sectaire se propage de la Syrie à la Turquie elle-même. Il écrit qu'il est troublant de constater qu '"aujourd'hui la Turquie est perçue dans la région et par sa propre population comme un acteur sunnite qui est particulièrement proche de la Fraternité musulmane."

    Ce commentaire doit être considérée comme particulièrement mordant depuis Zaman aujourd'hui est elle-même liée à la Turquie de Fethullah Gülen, un mouvement islamique modéré proche du parti AKP.

    Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a réagi avec un vol vers l'avant qui promet d'apporter des catastrophes plus grandes encore. S'exprimant à la télévision turque, il a blâmé le gouvernement syrien, affirmant qu'il soutient le PKK, et l'alerte que la Turquie pourrait lancer des attaques militaires contre le PKK à l'intérieur de la Syrie à cesser son infiltration supposée dans la Turquie à partir du territoire syrien. Ces allégations ont été coordonnés avec l'opposition turque et l'Arabie, soutenu par la Syrie. Khaled Abu Saleh, porte-parole du Conseil soi-disant révolutionnaire Homs, a affirmé que Damas a publié 1.200 terroristes du PKK dans les prisons syriennes.

    Larouche PAC
    "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."
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