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Les investissements en hausse
En valeur, les investissements nationaux ont totalisé 963 289 millions de dinars, soit 70% du total des investissements. Les 30% restant représentent les investissements étrangers qui, en valeur, participent avec 414 888 millions de dinars.
Selon le premier responsable de l’ANDI, les projets d’investissement déclarés au terme du premier semestre de cette année sont en nette évolution de 9% par rapport à ceux enregistrés en 2011. A noter que cette amélioration équivaut au triple du volume des investissements de 2010, mettant fin à la polémique engagée ces dernières années quant à la fiabilité de la règle des 49/51% qui donne la majorité au partenaire national.
Les partenaires étrangers sont l’Espagne et la France avec deux projets chacune, la Finlande et le Liban avec un projet pour chaque pays. A noter également l’attrait des mesures fiscales accordées à l’investissement dans les zones jusque-là peu sollicitées. L’ANDI note que 1 731 projets déclarés sont localisés dans les zones à développer dont 795 au niveau du Sud et 936 autres dans les Hauts Plateaux.
Cette évolution est qualifiée de «remarquable» de l’attractivité des zones à développer par le directeur général de l’Agence, M. Mansouri, qui souligne l’impact positif «du nouveau dispositif mis en place depuis décembre 2011 par le Conseil des ministres». Les opérateurs investisseurs dans ces zones bénéficient, dans ce cadre, de l’exonération de l’IBS et de la TAP pour une durée de 10 ans, en plus du système de concession du foncier industriel au dinar symbolique.
Bien entendu, l’autre impact sur le volet social est visible puisque, par secteur d’activité, l’Agence montre que le secteur des transports représente 52% des déclarations durant les six premiers mois de 2012 pour 34 milliards de dinars en termes de montant, le secteur industriel représente 54% avec 608 projets et une part de 37% en termes d’emploi. Ces investissements devaient générer 140 110 emplois directs en 2011 contre 75 492 en 2009, soit presque deux fois plus. Les investisseurs nationaux arrivent en tête avec 7 780 projets d’investissements, soit 99,71% de l’ensemble des projets, alors que les investissements en partenariat avec des étrangers sont au nombre de 23 projets.
Mourad Allal
Selon le premier responsable de l’ANDI, les projets d’investissement déclarés au terme du premier semestre de cette année sont en nette évolution de 9% par rapport à ceux enregistrés en 2011. A noter que cette amélioration équivaut au triple du volume des investissements de 2010, mettant fin à la polémique engagée ces dernières années quant à la fiabilité de la règle des 49/51% qui donne la majorité au partenaire national.
Les partenaires étrangers sont l’Espagne et la France avec deux projets chacune, la Finlande et le Liban avec un projet pour chaque pays. A noter également l’attrait des mesures fiscales accordées à l’investissement dans les zones jusque-là peu sollicitées. L’ANDI note que 1 731 projets déclarés sont localisés dans les zones à développer dont 795 au niveau du Sud et 936 autres dans les Hauts Plateaux.
Cette évolution est qualifiée de «remarquable» de l’attractivité des zones à développer par le directeur général de l’Agence, M. Mansouri, qui souligne l’impact positif «du nouveau dispositif mis en place depuis décembre 2011 par le Conseil des ministres». Les opérateurs investisseurs dans ces zones bénéficient, dans ce cadre, de l’exonération de l’IBS et de la TAP pour une durée de 10 ans, en plus du système de concession du foncier industriel au dinar symbolique.
Bien entendu, l’autre impact sur le volet social est visible puisque, par secteur d’activité, l’Agence montre que le secteur des transports représente 52% des déclarations durant les six premiers mois de 2012 pour 34 milliards de dinars en termes de montant, le secteur industriel représente 54% avec 608 projets et une part de 37% en termes d’emploi. Ces investissements devaient générer 140 110 emplois directs en 2011 contre 75 492 en 2009, soit presque deux fois plus. Les investisseurs nationaux arrivent en tête avec 7 780 projets d’investissements, soit 99,71% de l’ensemble des projets, alors que les investissements en partenariat avec des étrangers sont au nombre de 23 projets.
Mourad Allal