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Bonjour, pour rappel le contrat Miksa de surveillance des frontières saoudiennes entre l'Arabie et Thales était évaluée à 7 milliards d'euros, sans transfert de technologie, ce contrat n'a pas été signé et un nouvel appel d'offre a été lancé par les autorités saoudiennes.
Conmbien coûtera le contrat entre le Brésil et l'Algérie ? Surement bien moins cher avec un transfert technologique et un partenariat qui est à prendre en compte.
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Le marché algérien d'armement est de plus en plus prometteur, à l'époque de la hausse des prix d'hydrocarbures. Il ne cesse d'attirer les grands producteurs, de la Russie à la Chine en passant par l'Afrique du Sud. La nouvelle puissance émergente qui compte entrer sur ce marché n'est autre que le Brésil.
Le pays de Lula tente de vendre des radars très développés à Alger. En effet Brazilia, qui a conçu et développé un système d'observation de la forêt amazonienne, cherche à démontrer que cette surveillance s'adapte aux besoins de l'Algérie pour le contrôle de ses vastes frontières et du grand désert du Sud. Ce dernier représente 80 % de la superficie du territoire national.
Pour rendre son offre alléchante, le gouvernement brésilien garantit le groupe Atech pour vendre ce système de contrôle de navigation aérienne et des frontières, la couverture par radars, ainsi que pour assurer le transfert de technologie en favorisant l'établisement d'un partenariat industriel.
1 juillet 2006
Source Arabies
Conmbien coûtera le contrat entre le Brésil et l'Algérie ? Surement bien moins cher avec un transfert technologique et un partenariat qui est à prendre en compte.
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Le marché algérien d'armement est de plus en plus prometteur, à l'époque de la hausse des prix d'hydrocarbures. Il ne cesse d'attirer les grands producteurs, de la Russie à la Chine en passant par l'Afrique du Sud. La nouvelle puissance émergente qui compte entrer sur ce marché n'est autre que le Brésil.
Le pays de Lula tente de vendre des radars très développés à Alger. En effet Brazilia, qui a conçu et développé un système d'observation de la forêt amazonienne, cherche à démontrer que cette surveillance s'adapte aux besoins de l'Algérie pour le contrôle de ses vastes frontières et du grand désert du Sud. Ce dernier représente 80 % de la superficie du territoire national.
Pour rendre son offre alléchante, le gouvernement brésilien garantit le groupe Atech pour vendre ce système de contrôle de navigation aérienne et des frontières, la couverture par radars, ainsi que pour assurer le transfert de technologie en favorisant l'établisement d'un partenariat industriel.
1 juillet 2006
Source Arabies
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