Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Bataille de Salaheddine : 5 chars ont fait fuir les miliciens L’équipe du site L'armée syrienne dans les rues

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Bataille de Salaheddine : 5 chars ont fait fuir les miliciens L’équipe du site L'armée syrienne dans les rues

    Bataille de Salaheddine : 5 chars ont fait fuir les miliciens L’équipe Bataille de Salaheddine : 5 chars ont fait fuir les miliciens L’équipe du site
    La bataille de Salaheddine révèle ses secrets. Selon le correspondant du journal britannique The Independant, Kim Sengupta ce sont 5 chars de l’armée syrienne qui ont fait fuir les miliciens de ce quartier voire de tout Alep.
    « Ces chars de type T72 et T80 qui sont inébranlables face aux missiles anti-char » explique-t-il, rapportant les témoignages de miliciens selon lesquels 12 obus lancés contre l’un d’entre eux se sont fondus avant même de toucher la carapace de ce véhicule qui constitue l’une des énigmes de l’industrie militaire russe.
    Sengupta estime que l’armée régulière en contrôlant le quartier Salaheddine a brisé la ligne de défense la plus importante pour les miliciens, « ce qui lui permettra d’acheminer des renforts du quartier Hamadaniyyé qu’elle contrôle déjà, et relier ce quartier aux autres régions qu’elle contrôle, notamment la citadelle et l’aéroport ».

    Le correspondant rapporte que les combattants islamistes de Jabhat Nusrta d’al-Qaida étaient les premiers à s’enfuir de ce quartier, lorsqu’il était en proie à un pilonnage aérien et terrestre.
    Sengupta a également nié les allégations des insurgés qui font état d’accrochages qui ont repris dans ce quartier, et de récupération de points stratégiques. Il a affirmé avoir effectué une tournée dans ce quartier et assuré qu’il n’y reste plus aucune trace des miliciens.
    La correspondante de la télévision Mayadine a elle aussi effectué une tournée dans ce quartier, en compagnie d’une unité de l’armée syrienne. Le quartier est désertique et certaines de ses rues sont dévastées. Certains bâtiments à l’entrée du quartier piégés par les miliciens avaient explosé dès l’entrée des soldats réguliers. Un habitant du quartier venu s’enquérir de ses biens lui a confié avoir également trouvé son appartement piégé, d’une charge explosive reliée à une bombonne de gaz. Elle a signalé que parmi les miliciens tués figurent des saoudiens, des yéménites et des libyens. Au cours de sa tournée, un soldat a été blessé à la jambe par un sniper milicien.
    La correspondante de Mayadine a toutefois signalé que des affrontements ont lieu ce samedi dans les quartiers avoisinants de Salaheddine, surtout à Seif-EdDawlé, Aazamiyyé, Annsaré, Machhadé.
    Elle a fait état d’une attaque avortée contre une caserne de l’armée syrienne, aux confins de Salaheddine au cours de laquelle des miliciens ont été tués et d’une autre attaque d’une grande ampleur, également avortée, contre le bâtiment de la radio et télévision. Des tirs snipers y ont également été signalés.
    Elle a également assuré que les forces gouvernementales contrôlent la prison centrale d’Alep. Dans la nuit de vendredi à samedi, celle-ci devait faire l’objet d’une attaque à partir d’une ferme avoisinante. Les miliciens ont été repérés et ont essuyé des tirs d’obus au cours desquels des dizaines d’entre eux ont péri.
    Selon Taht-l-mijhar, c’est la troisième fois en 12 heures que les miliciens tentent de s’emparer de cette prison. 3 véhicules équipés de mitrailleuses et transportant des miliciens ont été détruits. Et la prison se trouve entièrement sous le contrôle des forces régulières.

    Pour sa part, la milice du régiment Tawhid de l’ASL a affirmé avoir détruit avec l’assistance de Jabhat-Nusrat une brigade électronique de l’armée syrienne dans la région Tel Chaghib dans la province sud d’Alep. Selon l’agence Anatolie, à la foi d’un chef de cette milice Abou Hamza 25 militaires syriens ont été abattus dans les accrochages au site de la base électronique, après un siège de 24 heures. Cette base reviendrait à une brigade électronique chargée de détecter les datas des sites pour guider les bombardements des avions militaires, dit Abou Hamza selon lequel 4 véhicules des forces gouvernementales ont été détruits et d’autres dont le nombre n’a pas été signalé ont été dérobés.
    Cette information n’a pas été confirmée de source indépendante. Aucune image ne l’a étayée, alors que ce genre d’opération est généralement filmé par les insurgés.


    A cause d’Al-Jazeera
    Dans une interview pour Arab Press, un chef des brigades ASL a accusé le correspondant de la chaine qatarie AlJazeera d’avoir causee expres ou involontairement le mort des dizaines de ses miliciens durant les dernieres heures de la bataille a Salaheddine.
    « Le régime Assad a coupé les communications de tous les quartiers d’Alep durant les deux jours qui ont précédé la bataille ce qui a semé la confusion au sein des groupes armés qui ont perdu tout lien entre eux, par la suite nous avons décidé de suivre les reportages du correspondant de la chaine de télévision AlJazeera pour savoir ce qui se passe. Dans la nuit de mercredi à jeudi, les medias officiels diffusaient l’information que l’ASL opérait un repli tactique ce que le correspondant a complètent nié, assurant que l’ASL contrôle toujours le quartier et que le régiment Tawhid a détruit trois chars et empêché l’armée d’avancer », explique ce commandant milicien.
    Selon lui, en se fiant aux propos de Zaydane, les miliciens sont restés dans le quartier et ont fait le jeudi l’objet d’une embuscade de l’armée au cours de laquelle des dizaines d’entre eux ont été abattus, alors qu’ils tentaient de sortir du quartier, lorsque les tirs de feu se sont arrêtés..
    Selon ce chef milicien, les jours de Zaydane pourraient très bien être en danger sachant que de nombreux miliciens lui en veulent et ont juré de l’abattre. Selon le site Syria Truth, un officier du Conseil militaire a décidé de l’exécuter parce qu’il assume la responsabilité de la mort de dizaines de miliciens.
    Les reportages de Zaydane ont fait l’objet de discussions orageuses au sein de la cellule de communications de l’ASL dont le siège se trouve à Antioche.
    Scission CM-ASL??
    Des observateurs ont perçu les prémisses d’une scission, voire d’un divorce entre le Conseil militaire (CM) qui supervise les combats en Syrie et le commandement de l’armée syrienne libre (ASL) qui siège dans les camps des refugiés syriens à Hatay.
    Vendredi, le CM avait publié un communiqué signé par son chef le colonel pilote Kassem Saad-Eddine dans lequel il affirme que le conseil est la seule « ombrelle révolutionnaire qui garantit les objectifs de la révolution » et insiste sur « la nécessité de l’action commune entre toutes les brigades dans le cadre du Conseil militaire pour faire face aux opportunistes qui tentent de confisquer la révolution après la chute du régime ».
    Une source proche du CM à Homs a signalé pour le site Arab Press que les membres du CM ont exprimé leur colère pour le rôle négatif joué par le commandant de l’ASL, Riad Assaad qui « n’a rien offert à la révolution syrienne que de rester dans les camps en Turquie et de faire ses apparitions médiatiques ». Selon cette source, Assaad qui en est arrivé a fustiger les dissidents qui sont hiérarchiquement plus hauts que lui voudrait que les soldats exclusivement fassent défection pour qu’ils les commandent. « Ce qui constitue une erreur stratégique. S’il veut que la révolution sorte victorieuse, il ne doit pas réfléchir sur celui devrait commander l’armée ou l’opposition, mais devrait être à nos côtés pour que nous unissions nos objectifs ».
    Al-Qaida plus percutant que l’ASL
    Des responsables américains assurent que la nébuleuse d’Al- Qaïda a élargi ses activités en Syrie et tente de mettre en place des unités disposant d’importantes capacités d’organisation.
    Se confiant pour l’agence Associeted Press, ces responsables qui ont refusé d’être identifiés indiquent que près de 200 membres d’Al-Qaida se trouvent d’ors et déjà sur le sol syrien.
    Cette information a été confirmée par Merhef Jweyjati, membre du Conseil national syrien, coalition de certaines factions de l’opposition syrienne reconnus par les occidentaux et les monarchies du Golfe, et selon lequel « les extrémistes qui débarquent en Syrie détiennent des armements plus sophistiqués et des fonds plus importants que les combattants de l’Armée syrienne libre » et précisant qu’ils ont des mortiers, des missiles anti chars et des RPG venant des anciens dépôts d’armements irakiens .
    Rumeurs et défections: un million de dollars pour la défection d'un ambassadeur
    Le vice-président syrien Farouk Charea a nié pour la télévision AlManar avoir fait défection, démentant une rumeur répandue par des chaines satellitaires avoir fait défection et s’être rendu en Jordanie.
    il en est de même pour Oussam Ouday , membre du commandement régional du parti Baas et directeur du bureau des ouvriers et des agriculteurs qui a lui aussi nié avoir fait défection, comme l’ont déclaré des sites de réseaux sociaux.
    Des sources spéciales ont révélé pour le site aleppin Taht-l-mijhar que l’ambassadeur syrien en Mauritanie a rejeté une suggestion de défection proposée par l’ambassade du Qatar à Nouakchott. En échange, le diplomate syrien Mohammad Said Bunni devait toucher cash la somme d’un million de dollars, à laquelle s’ajoute un salaire mensuel de 20.000$ pour une durée de vingt ans et la possibilité de résider à Doha.

  • #2
    Nouvel enlèvement
    Dans la province de Damas, un quatrième enlèvement des journalistes a été perpétré vendredi. Ses victimes sont cette fois-ci une équipe de la télévision Ikhbariyya composée de la correspondante Yara Saleh, du cameraman et son assistant et du chauffeur. Ils voulaient couvrir les affrontements qui avaient lieu dans la région Tel entre l’armée régulière et les milices.
    du site
    La bataille de Salaheddine révèle ses secrets. Selon le correspondant du journal britannique The Independant, Kim Sengupta ce sont 5 chars de l’armée syrienne qui ont fait fuir les miliciens de ce quartier voire de tout Alep.
    « Ces chars de type T72 et T80 qui sont inébranlables face aux missiles anti-char » explique-t-il, rapportant les témoignages de miliciens selon lesquels 12 obus lancés contre l’un d’entre eux se sont fondus avant même de toucher la carapace de ce véhicule qui constitue l’une des énigmes de l’industrie militaire russe.
    Sengupta estime que l’armée régulière en contrôlant le quartier Salaheddine a brisé la ligne de défense la plus importante pour les miliciens, « ce qui lui permettra d’acheminer des renforts du quartier Hamadaniyyé qu’elle contrôle déjà, et relier ce quartier aux autres régions qu’elle contrôle, notamment la citadelle et l’aéroport ».

    Le correspondant rapporte que les combattants islamistes de Jabhat Nusrta d’al-Qaida étaient les premiers à s’enfuir de ce quartier, lorsqu’il était en proie à un pilonnage aérien et terrestre.
    Sengupta a également nié les allégations des insurgés qui font état d’accrochages qui ont repris dans ce quartier, et de récupération de points stratégiques. Il a affirmé avoir effectué une tournée dans ce quartier et assuré qu’il n’y reste plus aucune trace des miliciens.
    La correspondante de la télévision Mayadine a elle aussi effectué une tournée dans ce quartier, en compagnie d’une unité de l’armée syrienne. Le quartier est désertique et certaines de ses rues sont dévastées. Certains bâtiments à l’entrée du quartier piégés par les miliciens avaient explosé dès l’entrée des soldats réguliers. Un habitant du quartier venu s’enquérir de ses biens lui a confié avoir également trouvé son appartement piégé, d’une charge explosive reliée à une bombonne de gaz. Elle a signalé que parmi les miliciens tués figurent des saoudiens, des yéménites et des libyens. Au cours de sa tournée, un soldat a été blessé à la jambe par un sniper milicien.
    La correspondante de Mayadine a toutefois signalé que des affrontements ont lieu ce samedi dans les quartiers avoisinants de Salaheddine, surtout à Seif-EdDawlé, Aazamiyyé, Annsaré, Machhadé.
    Elle a fait état d’une attaque avortée contre une caserne de l’armée syrienne, aux confins de Salaheddine au cours de laquelle des miliciens ont été tués et d’une autre attaque d’une grande ampleur, également avortée, contre le bâtiment de la radio et télévision. Des tirs snipers y ont également été signalés.
    Elle a également assuré que les forces gouvernementales contrôlent la prison centrale d’Alep. Dans la nuit de vendredi à samedi, celle-ci devait faire l’objet d’une attaque à partir d’une ferme avoisinante. Les miliciens ont été repérés et ont essuyé des tirs d’obus au cours desquels des dizaines d’entre eux ont péri.
    Selon Taht-l-mijhar, c’est la troisième fois en 12 heures que les miliciens tentent de s’emparer de cette prison. 3 véhicules équipés de mitrailleuses et transportant des miliciens ont été détruits. Et la prison se trouve entièrement sous le contrôle des forces régulières.

    Pour sa part, la milice du régiment Tawhid de l’ASL a affirmé avoir détruit avec l’assistance de Jabhat-Nusrat une brigade électronique de l’armée syrienne dans la région Tel Chaghib dans la province sud d’Alep. Selon l’agence Anatolie, à la foi d’un chef de cette milice Abou Hamza 25 militaires syriens ont été abattus dans les accrochages au site de la base électronique, après un siège de 24 heures. Cette base reviendrait à une brigade électronique chargée de détecter les datas des sites pour guider les bombardements des avions militaires, dit Abou Hamza selon lequel 4 véhicules des forces gouvernementales ont été détruits et d’autres dont le nombre n’a pas été signalé ont été dérobés.
    Cette information n’a pas été confirmée de source indépendante. Aucune image ne l’a étayée, alors que ce genre d’opération est généralement filmé par les insurgés.


    A cause d’Al-Jazeera
    Dans une interview pour Arab Press, un chef des brigades ASL a accusé le correspondant de la chaine qatarie AlJazeera d’avoir causee expres ou involontairement le mort des dizaines de ses miliciens durant les dernieres heures de la bataille a Salaheddine.
    « Le régime Assad a coupé les communications de tous les quartiers d’Alep durant les deux jours qui ont précédé la bataille ce qui a semé la confusion au sein des groupes armés qui ont perdu tout lien entre eux, par la suite nous avons décidé de suivre les reportages du correspondant de la chaine de télévision AlJazeera pour savoir ce qui se passe. Dans la nuit de mercredi à jeudi, les medias officiels diffusaient l’information que l’ASL opérait un repli tactique ce que le correspondant a complètent nié, assurant que l’ASL contrôle toujours le quartier et que le régiment Tawhid a détruit trois chars et empêché l’armée d’avancer », explique ce commandant milicien.
    Selon lui, en se fiant aux propos de Zaydane, les miliciens sont restés dans le quartier et ont fait le jeudi l’objet d’une embuscade de l’armée au cours de laquelle des dizaines d’entre eux ont été abattus, alors qu’ils tentaient de sortir du quartier, lorsque les tirs de feu se sont arrêtés..
    Selon ce chef milicien, les jours de Zaydane pourraient très bien être en danger sachant que de nombreux miliciens lui en veulent et ont juré de l’abattre. Selon le site Syria Truth, un officier du Conseil militaire a décidé de l’exécuter parce qu’il assume la responsabilité de la mort de dizaines de miliciens.
    Les reportages de Zaydane ont fait l’objet de discussions orageuses au sein de la cellule de communications de l’ASL dont le siège se trouve à Antioche.
    Scission CM-ASL??
    Des observateurs ont perçu les prémisses d’une scission, voire d’un divorce entre le Conseil militaire (CM) qui supervise les combats en Syrie et le commandement de l’armée syrienne libre (ASL) qui siège dans les camps des refugiés syriens à Hatay.
    Vendredi, le CM avait publié un communiqué signé par son chef le colonel pilote Kassem Saad-Eddine dans lequel il affirme que le conseil est la seule « ombrelle révolutionnaire qui garantit les objectifs de la révolution » et insiste sur « la nécessité de l’action commune entre toutes les brigades dans le cadre du Conseil militaire pour faire face aux opportunistes qui tentent de confisquer la révolution après la chute du régime ».
    Une source proche du CM à Homs a signalé pour le site Arab Press que les membres du CM ont exprimé leur colère pour le rôle négatif joué par le commandant de l’ASL, Riad Assaad qui « n’a rien offert à la révolution syrienne que de rester dans les camps en Turquie et de faire ses apparitions médiatiques ». Selon cette source, Assaad qui en est arrivé a fustiger les dissidents qui sont hiérarchiquement plus hauts que lui voudrait que les soldats exclusivement fassent défection pour qu’ils les commandent. « Ce qui constitue une erreur stratégique. S’il veut que la révolution sorte victorieuse, il ne doit pas réfléchir sur celui devrait commander l’armée ou l’opposition, mais devrait être à nos côtés pour que nous unissions nos objectifs ».
    Al-Qaida plus percutant que l’ASL
    Des responsables américains assurent que la nébuleuse d’Al- Qaïda a élargi ses activités en Syrie et tente de mettre en place des unités disposant d’importantes capacités d’organisation.
    Se confiant pour l’agence Associeted Press, ces responsables qui ont refusé d’être identifiés indiquent que près de 200 membres d’Al-Qaida se trouvent d’ors et déjà sur le sol syrien.
    Cette information a été confirmée par Merhef Jweyjati, membre du Conseil national syrien, coalition de certaines factions de l’opposition syrienne reconnus par les occidentaux et les monarchies du Golfe, et selon lequel « les extrémistes qui débarquent en Syrie détiennent des armements plus sophistiqués et des fonds plus importants que les combattants de l’Armée syrienne libre » et précisant qu’ils ont des mortiers, des missiles anti chars et des RPG venant des anciens dépôts d’armements irakiens .
    Rumeurs et défections: un million de dollars pour la défection d'un ambassadeur
    Le vice-président syrien Farouk Charea a nié pour la télévision AlManar avoir fait défection, démentant une rumeur répandue par des chaines satellitaires avoir fait défection et s’être rendu en Jordanie.
    il en est de même pour Oussam Ouday , membre du commandement régional du parti Baas et directeur du bureau des ouvriers et des agriculteurs qui a lui aussi nié avoir fait défection, comme l’ont déclaré des sites de réseaux sociaux.
    Des sources spéciales ont révélé pour le site aleppin Taht-l-mijhar que l’ambassadeur syrien en Mauritanie a rejeté une suggestion de défection proposée par l’ambassade du Qatar à Nouakchott. En échange, le diplomate syrien Mohammad Said Bunni devait toucher cash la somme d’un million de dollars, à laquelle s’ajoute un salaire mensuel de 20.000$ pour une durée de vingt ans et la possibilité de résider à Doha.

    Commentaire


    • #3
      Nouvel enlèvement
      Dans la province de Damas, un quatrième enlèvement des journalistes a été perpétré vendredi. Ses victimes sont cette fois-ci une équipe de la télévision Ikhbariyya composée de la correspondante Yara Saleh, du cameraman et son assistant et du chauffeur. Ils voulaient couvrir les affrontements qui avaient lieu dans la région Tel entre l’armée régulière et les milices.Almanar

      Commentaire


      • #4
        Selon le correspondant du journal britannique The Independant, Kim Sengupta>>>>>>>hahaha on dirait la pravda
        بارد وسخون
        M.Alhayani

        Commentaire


        • #5
          Est-ce sufisant.....??

          Kim Sengupta: Syrian anger will echo down through the generations






          Kim Sengupta

          Aleppo City

          Friday 03 August 2012











          Abed al-Rahman ran out to see what had happened after hearing the sound of an aircraft overhead followed by a loud blast. He hesitated briefly as he remembered his mother's warnings against venturing outside, but the sheer excitement overcame caution. He had just reached a crowd of about 30 people staring at a crater when shrapnel from a second missile tore into his legs. "I knew something really bad had happened, I could not feel my left leg at all, I just kept screaming for someone to come and help me. It was so painful."
          Abed al-Rahman, 11, was not a combatant in Syria's civil war. There was no military target in the street where he lived with his family in Al-Bab, just outside Aleppo. No rebel fighters were present when the two missiles were fired. But there were regime warplanes and helicopter gunships flying and firing overhead. The regime's use of warplanes against its own people was first recorded in Aleppo about a week ago, although it was unclear then whether it had actually been bombing or flying low and fast enough to break the sound barrier in a show of force to intimidate the rebels. There is no such ambiguity about the increasingly frequent attacks since then.
          Opposition activists trying to bring out dead and injured rebel soldiers from a former regime military base in Al-Bab came under repeated machine-gun and missile attack on Sunday. The pilot of the jet – possibly a Czech-made L-39 Albatross, which the Syrian Air Force uses – appeared to deliberately target unarmed civilians. Soon after firing on the camp, it fired into a residential neighbourhood. "I saw him rush out and I was worried, we have had so many attacks. I also knew they fire one rocket, wait for people to gather and then fire another," said Omar, Abed al-Rahman's 20-year-old brother. "I went out after him, but it was already too late. They got him out in an ambulance as soon as they could. Abed al-Rahman does not remember, but he was crying 'mummy, mummy, I disobeyed you and now look what has happened'.
          "After the operation he started crying 'What will I do? How will I finish my school? I won't be able to play again'. We're trying to make sure that he doesn't get too depressed, we'll do what we can for him. His other leg is badly injured, but doesn't need amputation. Why doesn't the UN impose a no-fly zone like Libya? Don't they know what's going on?"
          Many of us who covered the Libya conflict noted just how few people were killed or injured by Gaddafi's air force before the imposition of the no-fly zone, which extended into months of bombing. Libyan pilots appeared to go to great effort not to hit civilians or even rebel fighters, often dropping their bombs away from large groups. That does not appear to be the case in this conflict.
          Abu Taieb, a commander with the opposition's Free Syria Army, was reconciled to UN inaction. Standing at the funeral of a rebel killed when a fighter jet opened fire in the Sher Osman neighbourhood in Aleppo, he said: "There is another way: surface to air missiles… We can get hold of them, but it'll mean dealing with extremist Islamist types. Our battalion does not want to do that, but we may not have a choice, we can't keep on seeing our people killed." Abed al-Rahman's brother Omar was equally despondent about outside intervention. "We can't really depend on anyone anymore, apart from God," he said.
          Abed is at home after surgery. There are no specialist hospitals nearby, and inner city Aleppo – where there are facilities that can help with his rehabilitation -– is not accessible amid fierce fighting.
          "I try to think things may get better for me, but it is hard. I blame Bashar al-Assad and the pilot for what happened to me" he said. "I blame Assad for sending the pilot and the pilot because he didn't have to fire those rockets. I really hate them."
          So do his brothers and sisters, his friends and their friends now. The casual brutality of those flying regime warplanes has helped to ensure that implacable bitterness and division will run from generation to generation in this town in Syria.



          Tweet

          Commentaire


          • #6
            Le même correspondant affirme que le chef des terroristes d'ALEP a tenté de fuir vêtu en femme en abandonnant ses hommes aux forces Syriennes, mais il a été arrêté!

            Ca en dit long sur ces bras cassés, ces gueux!
            « En politique, on ne flétrit le mensonge d’hier que pour flatter le mensonge d’aujourd’hui » (Jean Rostand).

            Commentaire


            • #7
              Selon le correspondant du journal britannique The Independant, Kim Sengupta>>>>>>>hahaha on dirait la pravda
              Alors ce Kim Sengupta est-il ou pas russe...????

              Commentaire


              • #8
                Andromed

                S'il s'était appelé jean paul, ou même peter..., tu n'aurais pas eu sa réponse pathétique!
                « En politique, on ne flétrit le mensonge d’hier que pour flatter le mensonge d’aujourd’hui » (Jean Rostand).

                Commentaire


                • #9
                  Alors ce Kim Sengupta est-il ou pas russe...???? >>>>>>>>>>>>c est un peu le Sacré Alain Jules anglophone lol
                  بارد وسخون
                  M.Alhayani

                  Commentaire


                  • #10
                    Alors ce Kim Sengupta est-il ou pas russe...???? >>>>>>>>>>>>c est un peu le Sacré Alain Jules anglophone lol
                    Pauvre garçon.....Tu fais peine !

                    Commentaire


                    • #11
                      andromed, estimes toi heureux que je suis l un des trés rares Faistes qui commentent ton article de Kim du Guardian lol
                      بارد وسخون
                      M.Alhayani

                      Commentaire


                      • #12
                        andromed, estimes toi heureux que je suis l un des trés rares Faistes qui commentent ton article de Kim du Guardian lol
                        C'est bien ce que je disais;pauvre garçon...Que veux -tu que cela me fasse que tu commente ou pas?Si je mets un poste c'est pour informer,comme moi je m'informe,mais pas pour lire des idioties,ca je peux le faire seul

                        Commentaire

                        Chargement...
                        X