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Depuis quelques mois nous assistons à des élections de par le monde de plus en plus contesté .
Toujours sur le fil du rasoir :Les Etats Unis , L'Alllemagne , L'Italie , la Republique Tchèque , et cette fois ci le Mexique .
A peine les decomptes terminé que le vote est contesté ..
je vous propose un article tiré du site SwissInfo , signé SDA-ATS dont le titre est perché ci dessus :
Toujours sur le fil du rasoir :Les Etats Unis , L'Alllemagne , L'Italie , la Republique Tchèque , et cette fois ci le Mexique .
A peine les decomptes terminé que le vote est contesté ..
je vous propose un article tiré du site SwissInfo , signé SDA-ATS dont le titre est perché ci dessus :
MEXICO - Le conservateur Felipe Calderon a gagné jeudi d'un cheveu l'élection présidentielle mexicaine, selon des résultats définitifs d'un nouveau décompte. Mais son adversaire de gauche a promis de contester ce verdict devant la justice et dans la rue.
Le décompte définitif de l'Institut fédéral électoral (IFE) crédite le candidat du Parti d'action nationale (PAN) Felipe Calderon de près de 15 millions de voix (35,88%), devant celui du Parti de la révolution démocratique (PRD), Andres Manuel Lopez Obrador, qui en totalise 14,7 millions (35,31%).
Au terme d'une élection à suspense, Lopez Obrador et Calderon ne sont départagés que par 236.000 voix (0,57 point). Or, dans cette élection à un seul tour, c'est le candidat arrivé en tête qui l'emporte.
M. Lopez Obrador, ancien maire de Mexico, a estimé que l'élection de dimanche était entachée d'irrégularités et s'est engagé à en contester les résultats devant le tribunal électoral. "Nous ne pouvons ni reconnaître ni accepter ces résultats", a-t-il dit.
Il a demandé à ses partisans de se rassembler samedi sur le Zocalo, l'immense place du centre de Mexico, ce qui laisse craindre des troubles.
M. Calderon, en revanche, a aussitôt appelé ses adversaires à tourner la page de cette élection remportée de haute lutte, qui a plongé le Mexique dans une crise politique inédite.
Felipe Calderon, 43 ans, conservateur catholique, promet le changement dans la continuité: il se veut à la fois l'héritier de la politique économique du président Vicente Fox et l'initiateur d'un nouveau mode de gouvernement.
Ancien ministre de l'Energie dans le gouvernement du président Vicente Fox, également du PAN, Felipe Calderon est parvenu à battre sur le fil Lopez Obrador, qui a longtemps été le favori de la présidentielle.
Le pays sort divisé du scrutin: le Nord économiquement prospère a massivement voté pour Felipe Calderon alors que le Sud, pauvre, et la capitale sont largement favorables à Andres Manuel Lopez Obrador, qui se veut le défenseur des plus démunis.
SDA-ATS
Le décompte définitif de l'Institut fédéral électoral (IFE) crédite le candidat du Parti d'action nationale (PAN) Felipe Calderon de près de 15 millions de voix (35,88%), devant celui du Parti de la révolution démocratique (PRD), Andres Manuel Lopez Obrador, qui en totalise 14,7 millions (35,31%).
Au terme d'une élection à suspense, Lopez Obrador et Calderon ne sont départagés que par 236.000 voix (0,57 point). Or, dans cette élection à un seul tour, c'est le candidat arrivé en tête qui l'emporte.
M. Lopez Obrador, ancien maire de Mexico, a estimé que l'élection de dimanche était entachée d'irrégularités et s'est engagé à en contester les résultats devant le tribunal électoral. "Nous ne pouvons ni reconnaître ni accepter ces résultats", a-t-il dit.
Il a demandé à ses partisans de se rassembler samedi sur le Zocalo, l'immense place du centre de Mexico, ce qui laisse craindre des troubles.
M. Calderon, en revanche, a aussitôt appelé ses adversaires à tourner la page de cette élection remportée de haute lutte, qui a plongé le Mexique dans une crise politique inédite.
Felipe Calderon, 43 ans, conservateur catholique, promet le changement dans la continuité: il se veut à la fois l'héritier de la politique économique du président Vicente Fox et l'initiateur d'un nouveau mode de gouvernement.
Ancien ministre de l'Energie dans le gouvernement du président Vicente Fox, également du PAN, Felipe Calderon est parvenu à battre sur le fil Lopez Obrador, qui a longtemps été le favori de la présidentielle.
Le pays sort divisé du scrutin: le Nord économiquement prospère a massivement voté pour Felipe Calderon alors que le Sud, pauvre, et la capitale sont largement favorables à Andres Manuel Lopez Obrador, qui se veut le défenseur des plus démunis.
SDA-ATS
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