Une marocaine se déclare esclave en Egypte
Le Caire : Elle déclara dans une cérémonie organisée pour, renoncer à sa liberté et se faire esclave d’un cheikh religieux égyptien.
êtue de noir, elle répète après celui qui allait devenir son propriétaire, l’expression « Je te fais mon possesseur» et récite des versets du Coran, après quoi elle embrasse sur la bouche le cheikh religieux à qui elle venait de s’offrir.
Ainsi peut on voir dans l'enregistrement d'une émission de la télévision égyptienne traitant de cette curiosité dangereuse.
Sur le plateau de cette chaîne satellitaire, était convié le cheikh en question, venu, dit il, étayer le fondement religieux et dans la charia de son acte, alors qu’en face un autre religieux se devait de réfuter sa thèse.
Il s’appelle Abderaouf Aoun, prédicateur religieux sorti de la mosquée Al Azhar, pour lui, l’esclavage de la femme en Islam est autorisé par Dieu, et qu’à contrario, il donne plus de liberté à celle-ci, vu que la femme esclave n’est pas obligé de porter le voile, tout comme elle a le droit de dénuder sa poitrine et ses mollets devant tout le monde et même sur la voie publique.
Pour mettre en application sa nouvelle trouvaille, le cheikh convia des amis à lui, à une prise de possession d’une femme qui n’était autre qu’une ressortissante marocaine établit en Egypte qui accepta de se défaire de sa liberté et de se faire propriété privée.
La diffusion de l’émission en Egypte a soulevé un tollé parmi les docteurs de la loi islamique, qualifiant cet agissement de grande hérésie.
De son coté le désormais célèbre prédicateur marocain Abdelbari Zemzami a qualifié la relation découlant de cet acte d’adultère et que cette action est formellement interdite en Islam.
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Le Caire : Elle déclara dans une cérémonie organisée pour, renoncer à sa liberté et se faire esclave d’un cheikh religieux égyptien.
êtue de noir, elle répète après celui qui allait devenir son propriétaire, l’expression « Je te fais mon possesseur» et récite des versets du Coran, après quoi elle embrasse sur la bouche le cheikh religieux à qui elle venait de s’offrir.
Ainsi peut on voir dans l'enregistrement d'une émission de la télévision égyptienne traitant de cette curiosité dangereuse.
Sur le plateau de cette chaîne satellitaire, était convié le cheikh en question, venu, dit il, étayer le fondement religieux et dans la charia de son acte, alors qu’en face un autre religieux se devait de réfuter sa thèse.
Il s’appelle Abderaouf Aoun, prédicateur religieux sorti de la mosquée Al Azhar, pour lui, l’esclavage de la femme en Islam est autorisé par Dieu, et qu’à contrario, il donne plus de liberté à celle-ci, vu que la femme esclave n’est pas obligé de porter le voile, tout comme elle a le droit de dénuder sa poitrine et ses mollets devant tout le monde et même sur la voie publique.
Pour mettre en application sa nouvelle trouvaille, le cheikh convia des amis à lui, à une prise de possession d’une femme qui n’était autre qu’une ressortissante marocaine établit en Egypte qui accepta de se défaire de sa liberté et de se faire propriété privée.
La diffusion de l’émission en Egypte a soulevé un tollé parmi les docteurs de la loi islamique, qualifiant cet agissement de grande hérésie.
De son coté le désormais célèbre prédicateur marocain Abdelbari Zemzami a qualifié la relation découlant de cet acte d’adultère et que cette action est formellement interdite en Islam.
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