Des chants spirituels d’Algérie, dont le madih (louanges à Dieu et au Prophète de l’Islam) et l’ahalil, chants folkloriques typiques à la région de Timimoun, rythmeront jeudi prochain la «Nuit du Ramadhan», une émission diffusée depuis 1991 par France 2 à l’occasion du Ramadhan, a-t-on appris samedi auprès de la direction de la chaîne publique française.
A la faveur d’un tournage d’une semaine, les caméras de France 2 ont pu pénétrer dans les dédales de La Casbah algéroise et rencontrer des jeunes de la troupe de musique arabo-andalouse El Kordoba, qui excelle dans le genre madih. Les lumières sont, par la suite, braquées sur l’oasis rouge, Timimoun, où l’ahalil, une fête d’origine zénète célébrant la naissance du Prophète de l’Islam, marque l’attachement de la population à la tradition. En plus du volet consacré à l’Algérie, le documentaire Chants d’Islam invite, sur une durée de 74 minutes, à un voyage initiatique et envoûtant à la découverte des traditions et des expressions artistiques de la spiritualité en Islam.
«Pour cette édition, nous avions voulu aller au-delà du côté festif et convivial qui marque le mois du Ramadhan, en scrutant dans les profondeurs de l’Islam et en mettant en relief la face cachée de l’iceberg, à savoir son volet spirituel, à travers notamment le chant sacré», a indiqué le producteur à l’APS. Pour Djelloul Beghoura, il s’agissait de montrer «sans polémique aucune» une autre image de l’Islam, une religion qui, selon lui, est «prise en otage par l’actualité et les vicissitudes de la vie». «Le but de l’émission est d’affirmer que cette religion, en sus de son aspect rituel, est aussi l’expression d’un message de beauté, de foi et de spiritualité à travers le chant», a-t-il ajouté.
Proposé en collaboration avec Vivre l’Islam, une association présidée par Chemseddine Hafiz, et qui produit le dimanche matin sur France 2 l’émission «Islam», le documentaire Chants d’islam s’intéressera également aux derviches tourneurs de Konya en Turquie, à une psalmodie du Coran dans le métro de Londres, au Festival des musiques sacrées de Fès (Maroc) et aux Rastas mourides du Sénégal.
APS
A la faveur d’un tournage d’une semaine, les caméras de France 2 ont pu pénétrer dans les dédales de La Casbah algéroise et rencontrer des jeunes de la troupe de musique arabo-andalouse El Kordoba, qui excelle dans le genre madih. Les lumières sont, par la suite, braquées sur l’oasis rouge, Timimoun, où l’ahalil, une fête d’origine zénète célébrant la naissance du Prophète de l’Islam, marque l’attachement de la population à la tradition. En plus du volet consacré à l’Algérie, le documentaire Chants d’Islam invite, sur une durée de 74 minutes, à un voyage initiatique et envoûtant à la découverte des traditions et des expressions artistiques de la spiritualité en Islam.
«Pour cette édition, nous avions voulu aller au-delà du côté festif et convivial qui marque le mois du Ramadhan, en scrutant dans les profondeurs de l’Islam et en mettant en relief la face cachée de l’iceberg, à savoir son volet spirituel, à travers notamment le chant sacré», a indiqué le producteur à l’APS. Pour Djelloul Beghoura, il s’agissait de montrer «sans polémique aucune» une autre image de l’Islam, une religion qui, selon lui, est «prise en otage par l’actualité et les vicissitudes de la vie». «Le but de l’émission est d’affirmer que cette religion, en sus de son aspect rituel, est aussi l’expression d’un message de beauté, de foi et de spiritualité à travers le chant», a-t-il ajouté.
Proposé en collaboration avec Vivre l’Islam, une association présidée par Chemseddine Hafiz, et qui produit le dimanche matin sur France 2 l’émission «Islam», le documentaire Chants d’islam s’intéressera également aux derviches tourneurs de Konya en Turquie, à une psalmodie du Coran dans le métro de Londres, au Festival des musiques sacrées de Fès (Maroc) et aux Rastas mourides du Sénégal.
APS
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