D’après la Food and Agriculture Organization –FAO-, La récolte céréalière d’hiver au Maroc, devant débuter en juin, devrait fortement être impactée par des conditions météorologiques.
En effet, les cultures ont subi un manque de précipitations en novembre, puis des températures largement basses par rapport à la moyenne en février. Selon la même source, le Maroc a une production agricole très dépendante des conditions climatiques, car même dans les bonnes années, le pays est structurellement importateur pour assurer ses besoins, notamment de blé. A rappeler qu’en 2011, la récolte marocaine de blé avait progressé de 23%, ce qui conduit la FAO à estimer les importations, toutes céréales confondues, à 5,5 millions de tonnes au cours de la campagne 2011-2012, soit une baisse de 13%.
En revanche, et compte tenu des prévisions de récoltes 2012, les importations devraient repartir à la hausse lors de la campagne de juin 2012 à mai 2013. D’ailleurs, ces données confirment les prévisions d’un rapport du Département américain de l’agriculture –USDA- publié le 12 mars dernier, avec des estimations d’importations de blé à 3,2 millions de tonnes en 2011-2012, en légère augmentation par rapport à l’année précédente, et des prévisions à plus de 5 millions de tonnes en 2012-2013. Le même rapport souligne que la France est de loin le premier fournisseur de blé pour le marché marocain. Elle en a exporté plus de deux millions de tonnes au cours de l’année 2011, selon l’USDA.
S: info-express
En effet, les cultures ont subi un manque de précipitations en novembre, puis des températures largement basses par rapport à la moyenne en février. Selon la même source, le Maroc a une production agricole très dépendante des conditions climatiques, car même dans les bonnes années, le pays est structurellement importateur pour assurer ses besoins, notamment de blé. A rappeler qu’en 2011, la récolte marocaine de blé avait progressé de 23%, ce qui conduit la FAO à estimer les importations, toutes céréales confondues, à 5,5 millions de tonnes au cours de la campagne 2011-2012, soit une baisse de 13%.
En revanche, et compte tenu des prévisions de récoltes 2012, les importations devraient repartir à la hausse lors de la campagne de juin 2012 à mai 2013. D’ailleurs, ces données confirment les prévisions d’un rapport du Département américain de l’agriculture –USDA- publié le 12 mars dernier, avec des estimations d’importations de blé à 3,2 millions de tonnes en 2011-2012, en légère augmentation par rapport à l’année précédente, et des prévisions à plus de 5 millions de tonnes en 2012-2013. Le même rapport souligne que la France est de loin le premier fournisseur de blé pour le marché marocain. Elle en a exporté plus de deux millions de tonnes au cours de l’année 2011, selon l’USDA.
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