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Bouteflika absent, gouvernement invisible, désordre social : L’Algérie bloquée

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  • Bouteflika absent, gouvernement invisible, désordre social : L’Algérie bloquée

    Saha ftourkoum.

    Bouteflika absent, gouvernement invisible, désordre social : L’Algérie bloquée

    Depuis les dernières élections législatives, le gouvernement s’est rarement réuni. Aucun Conseil des ministres n’a été tenu. L’opinion publique s’interroge sur les raisons de la léthargie qui frappe le pays et de l’absence prolongée et surtout inexpliquée du chef de l’Etat.


    Un pays qui fonctionne avec un gouvernement bricoleur ne peut visiblement pas aller bien. Près de quatre mois après les élections législatives du 10 mai dernier, le pays navigue à vue. Le Premier ministre est toujours en place, son staff fonctionne avec six ministères vacants assurés par des intérimaires. Le chef de l’Etat, qui n’a pas fait d’apparition publique depuis un mois, n’a pas encore jugé bon de renouveler l’équipe gouvernementale, ne serait-ce que pour la forme et donner un semblant de vie à des institutions qui agonisent et ne fonctionnent plus.

    On ne sait toujours pas pourquoi le président Abdelaziz Bouteflika n’a pas jugé utile de changer de gouvernement à l’issue des législatives, ou du moins annoncer le maintien de celui qui est déjà en place ? L’opinion publique s’interroge sur les raisons de la léthargie qui frappe le pays, et l’absence prolongée et surtout inexpliquée du chef de l’Etat. Où est-il passé ? Est-il malade, ou coule-t-il des vacances paisibles dans un pays européen, comme cela a été annoncé sur la Toile, laissant ses compatriotes livrés à l’informel, à l’angoisse de la flambée des prix, des coupures d’électricité et dans l’enfer de la violence urbaine. Douze ans après l’arrivée de Abdelaziz Bouteflika au palais d’El Mouradia, l’Algérie, qui a nourri tant d’espoir après avoir vaincu le terrorisme à la fin des années 1990, dérive dangereusement vers l’impasse. Certains parlent déjà de «vacance» du pouvoir. Il est inconcevable qu’un pays qui organise une élection, replonge juste après dans un terrible et inquiétant vide politique.

    D’autres soutiennent que c’est la manière de faire du Président. Ce sont autant de sources d’inquiétude. Depuis les dernières élections législatives, le gouvernement s’est rarement réuni. Aucun Conseil des ministres n’a été tenu. L’activité présidentielle de ces deux derniers mois se résume en fait au très onéreux faste organisé en l’honneur du chef de l’Etat, qui n’a pas vu la nécessité de s’adresser à ses concitoyens à l’occasion de la timide célébration du 50e anniversaire de l’indépendance. Jamais l’Algérie n’a connu un tel échec. La manne pétrolière ne lui a finalement pas servi à grand-chose. Ses dépenses à l’importation ont été presque multipliées par dix. Et le niveau des exportations hors hydrocarbures ne dépasse toujours pas le seuil de deux milliards de dollars. En pareille situation, le bon sens aurait recommandé de remettre les clés de la responsabilité.

    Mais la démission n’est pas dans les mœurs du pouvoir. Face à l’échec de la gouvernance, à la panne généralisée du pays, l’Exécutif semble avoir fait le choix de la fuite en avant. Plus que de la mauvaise gestion, c’est de l’irresponsabilité. Tentative a été faite de meubler le vide politique sidéral par les routinières auditions que le président Abdelaziz Bouteflika a l’habitude d’organiser à chaque mois de Ramadhan. Annoncées à plusieurs reprises, des ministres ont même confirmé avoir reçu des instructions, ces rencontres n’ont finalement pas eu lieu. Devant une opinion désabusée par tant d’incohérences et d’anomalies dans le fonctionnement des institutions, c’est le ministre de l’Intérieur, Daho Ould Kablia, qui, à l’occasion du forum du quotidien Liberté, est venu en pompier, en essayant de donner l’impression que tout marche bien. Il a fait d’ailleurs de grandes annonces : un changement complet du gouvernement et la création de grands ministères. A comprendre bien sûr qu’un énorme travail est en train d’être fait.

    Mais la nomination d’un nouvel Exécutif et quand bien même la mise en place de grands départements ministériels nécessiteront-elles autant de temps et de lenteurs ? Certainement pas. Certaines sorties médiatiques pourraient avoir d’autres fonctions que celles d’informer. C’est le cas de la rumeur qui, pour calmer les esprits, a colporté qu’un nouveau staff gouvernemental devait être mis en place avant l’Aïd. Des noms ont été même avancés. Devant tant de spéculations, il y a une seule réalité implacable celle-là : le pays est à l’arrêt avec tout ce que cela comporte comme risques
    El Watan

  • #2
    Arrêtez de dénigrer l'Algérie, l'Algérie va très bien ! Elle revient à la vie après une décennie durant laquelle nous avons perdu 200.000 de nos frères et soeurs.
    STOP !!!
    Si l'Algérie ne vous plaît pas, faites votre valise mais arrêtez de l'insulter. Vous constaterez qu'elle est encore plus belle vue de l'étranger.
    Dernière chose ! De grâce arrêtez de comparer l'Algérie à des nations pilleuses et génocidaires comme le Grande-Bretagne ou la France d'autant que ces dernières ont 15 siècles d'existence, je vous rappelle que notre nation vient de fêter ses 50 printemps et n'a pillé et exterminé aucun peuple.
    STOP !!!
    Dernière modification par ScorpionPaisible, 14 août 2012, 22h01.

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    • #3
      Scorpion

      Salam et merci pour ton opinion que je partage pleinement! Comme tu le dis, ca commence à bien faire!

      Qu'est ce qu'ils me dégoutent ces oiseaux de malheur tel que ce journal atlantiste!
      « En politique, on ne flétrit le mensonge d’hier que pour flatter le mensonge d’aujourd’hui » (Jean Rostand).

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      • #4
        Salut Averoes,
        Les pseudo-atlantistes algériens ont intérêt à raser les murs, crois-moi !
        Le dernier des Algériens a compris la géopolitique de l'OTAN et ses plans de néo-colonisation et il est prêt à en découdre avec tout traître à l'Algérie qui a acquis son indépendance de haute lutte et très difficilement avec des sacrifices inégalés dans le monde.
        Ces pseudo-atlantistes devraient se remémorer la période harki.
        Dernière modification par ScorpionPaisible, 14 août 2012, 22h11.

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        • #5
          Je ne le sais que trop bien Scorpion...

          Mais la démission n’est pas dans les mœurs du pouvoir. Face à l’échec de la gouvernance, à la panne généralisée du pays,
          El Watan qui usurpe le nom qu'il porte pense peut-etre à un réédit de la Grèce et de l'Italie, avec des dirigeants nommés par Goldman Sachs, en s'affranchissant des peuples et de la démocratie!

          En plus, il a l'art d'extrapoler, d'inventer, mais sa sauce ne prend pas en Algérie, il s'adresse donc à un auditoire occidental, peut-être espère-t-il en échange recevoir des cacahuètes!

          Panne généraliséé du pays, dit-il, que répondre à ce ramassis de mensonges?
          « En politique, on ne flétrit le mensonge d’hier que pour flatter le mensonge d’aujourd’hui » (Jean Rostand).

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          • #6
            Mais la démission n’est pas dans les mœurs du pouvoir. Face à l’échec de la gouvernance, à la panne généralisée du pays,
            http://www.youtube.com/watch?v=Ug9tZ7l0Hq0

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            • #7
              Et ce Monsieur Ouyahia, est-il propre?

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              • #8
                Tous des déchets à la tête du pays, c'est pour ça qu'on est dans la merde aujourd'hui. Aucune volonté de changement, juste la politique de l'autruche et les fausses déclarations.
                Ne regrette rien...

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                • #9
                  Devant tant de spéculations, il y a une seule réalité implacable celle-là : le pays est à l’arrêt avec tout ce que cela comporte comme risques
                  No Comment!
                  "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                  • #10
                    l'algerie va bien c'est indeniable ecocomiquement pas de dettes et tranquil avec tous ce qui se passe.
                    mais la gestion interieur moi je di elle merite un meilleur gouvernement plus competent et plus productif et moins agée .

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                    • #11
                      Ouyahia qui denonce l argent roi et la corruuption en algerie . c est comme si mc Do denonçait la malbouffe et le Cholesterol .. ;-)))
                      La clé de la reussite c est de prevoir ses echecs

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