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Harcèlement de journalistes au Maroc
Ali Lmrabet agressé
le 15.08.12 | 10h00
Le journaliste marocain, Ali Lmrabet, interdit d’écriture au Maroc de 2005 à 2015, a été attaqué chez lui dans la nuit de vendredi à samedi par un voyou du régime marocain qui a cassé la porte de sa maison où les traces sont encore visibles.
De 1h du matin, début de l’agression jusqu’à 7h, quand l’agresseur a quitté les lieux, la police a refusé d’intervenir, et même après le dépôt d’une plainte, vers 2h du matin, à la permanence de la préfecture de police de Tétouan, dans le nord du Maroc, a indiqué le journaliste. Le lendemain, c’est-à-dire le 12 août, vers 1h30, Ali Lmrabet a été pris à partie, insulté et agressé physiquement par trois policiers devant des dizaines de témoins.
L’un des trois policiers, que le journaliste dit pouvoir parfaitement identifier, l’a également volé en lui vidant ses poches et en s’appropriant 200 DH et sa carte d’identité nationale. Sur le lieu de l’agression, la police a refusé de prendre ses déclarations et l’a même menacé.
Après le dépôt de sa plainte, une heure et demie après l’agression, la police a refusé de lui remettre une copie de son PV ou un numéro d’identification.
El Watan
Ali Lmrabet agressé
le 15.08.12 | 10h00
Le journaliste marocain, Ali Lmrabet, interdit d’écriture au Maroc de 2005 à 2015, a été attaqué chez lui dans la nuit de vendredi à samedi par un voyou du régime marocain qui a cassé la porte de sa maison où les traces sont encore visibles.
De 1h du matin, début de l’agression jusqu’à 7h, quand l’agresseur a quitté les lieux, la police a refusé d’intervenir, et même après le dépôt d’une plainte, vers 2h du matin, à la permanence de la préfecture de police de Tétouan, dans le nord du Maroc, a indiqué le journaliste. Le lendemain, c’est-à-dire le 12 août, vers 1h30, Ali Lmrabet a été pris à partie, insulté et agressé physiquement par trois policiers devant des dizaines de témoins.
L’un des trois policiers, que le journaliste dit pouvoir parfaitement identifier, l’a également volé en lui vidant ses poches et en s’appropriant 200 DH et sa carte d’identité nationale. Sur le lieu de l’agression, la police a refusé de prendre ses déclarations et l’a même menacé.
Après le dépôt de sa plainte, une heure et demie après l’agression, la police a refusé de lui remettre une copie de son PV ou un numéro d’identification.
El Watan
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