300000 tonnes de blé tendre est la quantité que demande à acheter le Maroc sur le marché international, et ce, pour colmater la brèche percée dans ses réserves, par la maigre moisson de l’année 2012, résultant de la très mauvaise pluviométrie et qui réduisit les collectes à 4.8 millions de tonnes pour les trois céréales.
Le Maroc entamant largement ses réserves pour alimenter ses marchés, se retrouve dans une situation de stress d'avant rupture des stocks.
Son appel d’offre international survient à un très mauvais temps des marchés, ainsi et selon le quotidien Al-Massae, les Etats-Unis, l’un des plus gros producteurs céréaliers au monde, a décliné la demande marocaine, refusant de prendre part à la transaction en devenir.
Une source de l’ ONICL s’explique cette attitude inattendue des américains au royaume, par le recul de la production céréalière US à cause de la vague de sécheresse qui a sévi dans le pays cette saison.
Même son de cloche serait audible auprès de l’autre géant céréalier mondial, la Russie qui a décider de réduire ses exportations de blé pour le même motif, la sécheresse.
Le royaume se tournerait vers l’Europe et dans une moindre mesure vers l’Australie, alors que la menace d‘une pénurie de blé et de pain sur le marché marocain, se préciserait pour les mois à venir.
e marrakech
Le Maroc entamant largement ses réserves pour alimenter ses marchés, se retrouve dans une situation de stress d'avant rupture des stocks.
Son appel d’offre international survient à un très mauvais temps des marchés, ainsi et selon le quotidien Al-Massae, les Etats-Unis, l’un des plus gros producteurs céréaliers au monde, a décliné la demande marocaine, refusant de prendre part à la transaction en devenir.
Une source de l’ ONICL s’explique cette attitude inattendue des américains au royaume, par le recul de la production céréalière US à cause de la vague de sécheresse qui a sévi dans le pays cette saison.
Même son de cloche serait audible auprès de l’autre géant céréalier mondial, la Russie qui a décider de réduire ses exportations de blé pour le même motif, la sécheresse.
Le royaume se tournerait vers l’Europe et dans une moindre mesure vers l’Australie, alors que la menace d‘une pénurie de blé et de pain sur le marché marocain, se préciserait pour les mois à venir.
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