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Alger encore classée parmi les 10 villes les moins vivables au monde

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  • Alger encore classée parmi les 10 villes les moins vivables au monde

    Alger encore classée parmi les 10 villes les moins vivables au monde

    Et Alger progresse d’une place mais reste parmi les 10 villes les moins vivables au monde… Selon une étude du magazine britannique The Economist, la capitale algérienne arrive à la 135e position des villes les moins agréables à vivre au monde. En première position arrive, pour la seconde fois consécutive, la ville australienne Melbourne.

    Dans le rapport semestriel publié le mercredi 15 août, The Economist Intelligence Unit, une antenne de l’hebdomadaire The Economist, établit son classement des villes du monde où il fait bon vivre.

    Sur les 140 villes passées au crible, Alger arrive à la 135 position, derrière Abidjan (Côte d’Ivoire), Teheran (Iran), Douala (Cameroun) et Tripoli ( Libye). Dacca, capitale du Bandgladesh, ferme la marche.

    Les critères sur lesquelles se basent les experts du The Economist vont de la stabilité sociale au taux de criminalité, en passant par les infrastructures, l’accès à l’eau, le transport, la santé, la scolarité, la vie culturelle et l'environnement.

    L’année dernière à la même époque, Alger arrivait à la 136e position juste derrière Tripoli, capitale de la Libye.

    Pour The Economist, la ville australienne de Melbourne reste la plus agréable au monde, pour la deuxième année consécutive, et Paris se situe à la 16e place.

    Le mauvais classement de la capitale algérienne qui compte une population de plus 3 millions d’individus ne surprend guère.

    Alger est dépourvu de lieux de loisirs, les salles de cinéma se comptent sur les dix doigts de la main, la circulation automobile y est épouvantable et ses habitants se plaignent de la saleté des trottoirs. A tout cela s'ajoutent aujourd'hui les coupures fréquentes du courant électrique ainsi que les coupures en eau potable.

    [IMG]http://www.dna-************/images/stories/algr%20ivi.png[/IMG]

  • #2
    alors ils sont ou les 200 milliards ?, c est les generauxqui les depense et il laisse leur populations dans le noir , meme abidjan est mieux qu alger.
    ça va on est loin d'un roi qui d’enrichi en endettant son peuple (40 milliards de dollars)
    et puis marrakech a une bien autre réputation ... beaucoup la surnomme "La Perverse" tu devinera surement pourquoi

    pour revenir au sujet, il est totalement ridicule et ne mérite même pas de commentaires .
    veni vidi vici .

    Commentaire


    • #3
      Quand les rosbifs auront une baie telle que celle d’Alger
      là on pourra faire semblant de les écouter
      tchek tchek tchek

      Commentaire


      • #4
        ça va on est loin d'un roi qui d’enrichi en endettant son peuple (40 milliards de dollars)
        et puis marrakech a une bien autre réputation ... beaucoup la surnomme "La Perverse" tu devinera surement pourquoi

        pour revenir au sujet, il est totalement ridicule et ne mérite même pas de commentaires .

        Zirds
        Toujours cette manie de dévier les sujets pour faire diversion .
        T'en a pas marre de toujours faire le zélé du régime.
        Le sujet n'a rien de ridicule car reconnu par les journalistes algériens même.
        Classée 3ème ville la plus sale au monde ,Alger pleure sa blancheur

        Le Courrier d'Algérie


        Le spectacle déplorable et désolant des amoncellements d'ordures ménagères ou autres sont une atteinte à la santé publique. Alger est la troisième ville la plus sale au monde.
        Le classement a été établi dernièrement par le groupe britannique Urbain Clean Environnent. L'étude mentionne que le manque de civisme des Algérois est la raison de cette situation plus qu'alarmante. Les Algériens, par jalousie, estiment que ce classement est trop sévère. La «Blanche», pour eux, ne mérite pas cette image qu'on lui a attribuée.
        Et là, s'imposent des questions lancinantes : Alger est-elle vraiment sale ? A-t-elle perdu de sa blancheur ? Pour tenter de répondre à ces questions et à bien d'autres, nous avons sillonné ses coins et recoins. Zoom sur la capitale. Il est 10h. Le soleil pointe d'ores et déjà son nez. Il fait chaud en cette journée ramadhanesque. Mais cela n'a pas empêché les citoyens de sortir.
        Les rues tout comme les magasins grouillent de monde. Une véritable marée humaine circule à travers Alger. Pas un espace de libre. C'est un fait compréhensif : il s'agit du mois de Ramadhan.
        Les citoyens préfèrent sortir que de rester enfermés à l'intérieur de leurs maisons.
        Qui pour aller au marché qui pour visiter les magasins «d'à côté», une seule finalité les anime : faire les courses du jour et tuer par la même occasion le temps en ces journées longues et ennuyeuses du mois sacré.
        Histoire de faire d'une pierre deux coups. Cependant, à travers les artères de la capitale, un phénomène, plutôt un mal récurrent, vient se mêler au décor coloré de la ville : la saleté.
        Ce n'est point un effet de mode, mais bel et bien, une réalité que nous avons constatée de visu lors de notre randonnée dans les différents quartiers d’El Bahdja. Une situation que nous vivons quotidiennement.
        Des «collines» d'ordures sont visibles à l'oeil nu. Il n'y a pas un seul espace qui sort de ce nouveau décor. Aucun secteur n'échappe à ce nouveau look qui, le moins que l'on puisse dire, est déplaisant.
        La «Blanche» a changé d'habit pour revêtir, hélas, celui de la malpropreté. Un renversement de la situation incroyable. Un scénario remarquable qui ne laisse personne indifférent : Alger la «Blanche» ne l'est plus. Elle a perdu de sa beauté, sa propreté, de son image d'antan. Alger est devenue tout bonnement invivable, inhabitable, une immense favela… Et tutti quanti.
        Des bacs à ordures parsèment nos rues. Cette image hideuse de la capitale n'est nullement fortuite, mais elle est due à certains facteurs aussi bien humains que matériels. La faille existe réellement. Tel un patient atteint d'une maladie incurable, Alger meurt à petit feu.
        Le mal est profond. Alger agonise. La maladie s'appelle cette fois-ci : saleté. Pis encore, le remède n'est pas pour demain. Les «salisseurs» ont encore un bel avenir devant eux. C'est malheureusement le constat d'aujourd'hui, le nôtre bien sûr.
        Pourquoi, diantre, est-elle devenue ainsi après avoir été d'une propreté éclatante ? L'histoire retiendra qu'elle fut la destination la plus prisée, la plus «adorée» des étrangers.
        Quel est le responsable de cet état de fait on ne peut plus déplorable ? Qui des citoyens, des autorités sont coupables ? Autant de questions aussi importantes les unes que les autres qui méritent de réponses. «Nous sommes tous responsables de cette situation.
        Manque de civisme des concitoyens d'une part et négligence des autorités locales d'autre part ont engendré ce climat insalubre», nous dira un citoyen résidant à Bab El Oued, quartier le plus populaire d'Alger. Pour notre interlocuteur, les habitants sont largement responsables de cet état de fait et devraient donc être mis en cause.
        Explication : «Les Algérois n'utilisent pas les poubelles publiques et ne se gênent pas pour jeter des bouteilles en plastique ou des épluchures à travers les fenêtres de leurs maisons et leurs voitures.
        C'est inconcevable comme manière de traiter ses ordures. Rien qu'hier, un ami français qui venait me rendre visite, s'est montré consterné devant le fait que des ordures soient déversées, éparpillées à même le sol et de surcroît sous des habitations.
        Non, la responsabilité n'incombe point aux services de ramassage qui font leur travail d'une manière régulière mais que se sont rettrouvés dépassés par l'ampleur des ordures.
        Celle-ci, il faut la chercher ailleurs et sans aucun doute, les habitants y sont pour beaucoup dans cette situation, à la fois nuisible et alarmante», a-til dit. Et d'ajouter : «Les ordures ménagères doivent être jetées dans les bacs prévus à cet effet, et non sur la voie publique.
        L'amertume de la chose n'altère en rien sa véracité et les autorités ne sont pas les seules responsables, la population aussi», avant de le dire franco : «Nous ne sommes pas éduqués. Encore un long chemin à parcourir afin que nous puissions assimiler les vertus du civisme». Le constat de notre ami du jour ne fait pas l'unanimité au sein de ses voisins du quartier.
        Et pour cause, ces derniers soutiennent à cor et à cri que les services de ramassage ne font pas bien leur travail. Preuve en est : «Ils (les services de ramassage) laissent des poubelles pour deux ou trois jours afin qu'ils passent pour les évacuer.
        C'est inconcevable avec toutes les maladies que cela pourrait engendrer», soutient un vieil homme, non sans indiquer que les poubelles d'immeubles, une fois vidées par les ramasseurs d'ordures sont projetées de façon brutale dans une indifférence totale, laissant échapper les dernières ordures de la poubelle mal vidée qui s'éparpillent sur la chaussée et les trottoirs». A quelques encablures de là, nous nous sommes rapprochés d'un groupe de jeunes afin de les interroger sur l'état de leur quartier, la Casbah.
        Leurs réponses ont été sèches : « On ne gouverne pas un peuple par la morale. Seul un budget conséquent pour le ramassage des déchets et des amendes salées peuvent faire d'Alger une capitale.
        A mon avis, les pouvoirs publics s'en foutent, alors que dire des citoyens ?», dira le Mohamed, le plus jeune du groupe. Même son de cloche chez Lamine, qui a tenu néanmoins à préciser un fait qui lui tient à coeur, pour reprendre ses propos : «Il est utile de dire que dans tout cela, ce sont toujours les pauvres citoyens qui paient les pots cassés, car hormis les quartiers populaires, nos responsables s'occupent soigneusement des quartiers où ils vivent.
        Ils ne lésineront point sur les efforts mais surtout sur les moyens pour faire de leurs résidences un éden sur terre». Il n'est pas question pour lui de s'étaler plus sur ce sujet car les exemples sont légion : il cite entres autres, les quartiers du Golf, Hydra... «la liste est encore longue».
        Sur ces mots, toutefois lourds de sens, nous avons quitté la Casbah. Notre prochaine destination en cette journée de Ramadhan, la rue Didouche-Mourad. Mais avant, nous avons fait une halte à la place Emir-Abdelkader, «figure historique» de l'Algérie.
        Dernière modification par Serpico, 16 août 2012, 03h50.

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        • #5

          (Suite)

          C'est ainsi que nous nous sommes rapprochés de quelques personnes qui se trouvaient sur place. Notre question est claire comme l'eau de roche : pourquoi la capitale est-elle sale ?
          La réponse, plutôt les réponses ne se sont pas fait attendre. Dans la foulée, nous en avons retenu quelques unes : «Les Algérois et les Algériens sont des gens qui donnent une grande importance à la propreté, contrairement à une idée reçue. Seulement, ils le font uniquement chez eux. En dehors de la maison comme dit le proverbe arabe : «»Takhti rassi», a estimé un sexagénaire.
          Et l'autre de poursuivre : «Hélas ! Nous n'avons pas la notion de vie commune et l'idée que l'espace public appartient à tout le monde. Il m'est arrivé de rendre visite à des familles à Alger dans des bâtiments qui étaient dégeulasses mais l'intérieur de leurs appartements était nickel. Tel est l'amer constat».
          Avant qu'une autre voix s'en mêle pour mettre en relief le volet relatif à la surpopulation, dont souffre Alger : «Il ne faut pas oublier qu'Alger était conçue pour un nombre limité d'habitants, elle frôle aujourd'hui les 5 millions.
          Ce n'est pas la déchetterie de Oued Smar qui arrivera à recycler toutes les ordures ménagères ». Et ce n'est pas fini : «Le parc des véhicules de ramassage est vraiment obsolète et n'est même pas adéquat.
          Du temps du fameux GGA (Grand Gouvernorat d'Alger) de Chérif Rahmani, on a installé des poubelles au niveau de la rue Didouche, un mois après elles avaient toutes ou presque disparu», a souligné un citoyen, à la place Audin.
          Faudra-t-il, donc la mise en place d'un arsenal juridique sanctionnant ce genre de comportements : «Il faut de la répression mais une éducation s'impose», a-t-il suggéré. «Le ramassage des ordures est avant tout une question d'organisation et de management, que ce soit à l'intérieur de la maison qu'à l'extérieur.
          Il est temps que les gens apprennent à se comporter de façon civilisée, à commencer par la manière avec laquelle ils évacuent leurs ordures», a-t-il conclu.
          Les archés des produits alimentaires sont la source de tous les maux. Fréquentés assidûment par les citoyens, les marchés des produits alimentaires constituent l'une des principales causes de l'état d'insalubrité très avancé de la capitale.
          Il suffit d'une virée sur ces lieux pour s'en rendre compte : Un véritable drame à ciel ouvert, les dégâts sont énormes. L'hygiène n'a pas de place parmi les autres règles que les commerçants sont tenus de respecter.Peine perdue.
          La propreté est la dernière préoccupation des marchands. Attirés par le gain, rien que le gain, ces commerçants sans scrupules ne se soucient point de l'environnement ambiant.
          Une fois que le marché «tire à sa fin», ces derniers laissent à même le sol, et sur n'importe quelle place, les résidus de leurs marchandises et autres articles de tout acabit. Et c'est ainsi que des montagnes d'ordures s’y forment, rendant la vie insupportable aux riverains. Car, la majorité des marchés algérois se situe à proximité d’habitations.
          Le constat est amer.Pourquoi amer ? Parce que ces endroits, censés être des lieux de propreté par excellence, se sont avérés être le contraire : les lieux les plus sales, voire même des sources de la saleté dans les quartiers. Témoignage : «J'habite à proximité d'un marché et sincèrement, c'est pas facile d'y vivre et de mener une vie normale. Les ordures sont disséminées dans tous les coins du quartier. Aucune place n'est épargnée.
          Trouver un endroit propre relève de l'exploit », nous a fait savoir Salim, habitant à Bab El Oued. Pour lui, la majorité des ordures provient du marché de proximité. «Je comprends bien la situation des jeunes chômeurs qui viennent ici pour gagner quelque pitance de plus.
          Cependant, ces derniers se doivent, une fois le marché fermé, de ramasser leurs déchets et les remettre dans des poubelles. Ce n'est pas la mer à boire, comme mission», a-t-il dit. Il est midi.
          La journée est loin d'être terminée. Il nous reste encore d'autres escales. Notre future cible n'est autre que le marché de fruits et légumes de Bachdjarrah. A notre arrivée sur les lieux, nous sommes étonnés par la foule nombreuse qui s'y trouve. Il nous a été expliqué que l'affluence est quotidienne, même avant le Ramadhan.
          Il s'agit là de notre première stupéfaction. En sillonnant les recoins du marché, nous sommes attirés par un autre fait qui ne diffère point de celui constaté à Bab El Oued et Alger Centre : les lieux sont malpropres.
          On s'est demandé d'ailleurs comment les ménages procèdent à l'achat de produits alimentaires tout en sachant que l'hygiène est quasiment absente. Réponse : «Les prix de ces produits sont largement inférieurs à ceux affichés sur d'autres étals. La cherté de la vie pousse nombre de familles à venir ici pour s'approvisionner », nous avait-on expliqué. No comment. Ce fut notre deuxième stupéfaction.
          La saleté règne donc en maîtresse des lieux. Des «collines» d'ordures sont dispersées un peut partout dans le marché. Les citoyens ne semblent point embarrassés par cet état de fait et continuent de faire leurs emplettes.
          Ceux que nous avons pu interroger répondent : «Nous sommes en Algérie», une sentence évasive, ô combien lourde de sens. C'est le cas à El Harrach où un vieil homme qui, d'une manière ironique, nous a dit ceci : «Tout va bien, tout baigne. Ici, c'est l'Algérie…», laissant sa phrase en suspens.
          A Bachdjarah, la situation de saleté de ces quartiers est expliquée par les autorité locales par le triptyque : Civisme des citoyens, insuffisance des moyens et enfin le marché informel. Les citoyens, aux dires d'un responsable de la commune, sont également responsables. Comment ? «Ils ne laissent pas les services de ramassage pénétrer dans leur cité», a-t-il indiqué.
          Il est hors de question pour lui d'établir une comparaison avec les autres communes de la wilaya d'Alger. Pour la simple et bonne raison que «Bachdjarrah est une commune surpeuplée avec pas moins de 97 000 habitants. Son budget financier, très limité, ne correspond pas aux besoins réels de la population.
          A cela s'ajoute l'aspect urbanistique très exigu d'une partie des habitations», argue-t-il. Notre virée dans la capitale s'achève. Ce qu'il faut retenir c'est que la capitale va mal. Les pouvoirs publics, par leur laisser-aller, ont la part du lion de responsabilité de cet état de fait.
          Les citoyens, par manque de civisme, sont également responsables. L'urgence maintenant est de retrousser les manches pour sortir Alger de cet abîme et lui redonner son faste d'antan. Cela n'est pas une sinécure pour peu que nos responsables s'animent d'une bonne dose de jalousie. A moins que…
          Amokrane Hamiche
          .........................

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          • #6
            Y a de quoi ...

            La pollution, El ghachi, les embouteillages ... Etc
            La vie est belle ...

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            • #7
              Les esclaves marocains n'en ratent pas une ya sidi.Melez vous de votre roi, prostitution,pédophilie et laissez nous avec nos problèmes. Berra,ewww!

              Commentaire


              • #8
                J'étais jamais allé à Alger et quand j'y suis allé (l'été dernier) j'avoue avoir été dessus par beaucoup de quartier qui ne sont pas digne d'une capitale.

                Cependant y a quand même des endroits rare qui sont magnifique.

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                • #9
                  Ce marrocain est un jaloux point barre ils sont nombreux d'ailleurs ...

                  Les deux cent milliard nechriw bohoum des noisettes et des amandes, w ntouma Wech dakhelkoum ?
                  La vie est belle ...

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                  • #10
                    Normal vu l'absence de sagesse et l'incompétence des gouvernements passés et présent. Ezzahf errifi, l'étalement urbain, le désordre économique et sociale sont en grande partie la résultante.
                    La centralisation des administrations étatiques et publiques, les décisions aventurières en matière politique de quelques autoproclamés (ayant ouvert la porte au terrorisme), le manque d'opportunité en régions etc ont mené tout droit vers l'assaut sur Alger.
                    Le comble, quelques illuminés ont ouvert la vanne de l'import et l'acquisition des voitures pour acheter la paix sociale et ... se faire un peu de dinars.

                    Les criquets ont fini par faire des ravages ... un seul mot, Alger est devenu à leur image : sale et invivable.
                    وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                    • #11
                      Ce forum a (malheureusement) hérité quelques tarés incultes voire analphabètes parmi les marocains. Ils donnent une piètre image qui n'honore pas leur pays. En général, ils valent mieux que cela !
                      -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

                      Pour le sujet, Alger offre le meilleur et le pire. L'urbanisation a tué le charme d'Alger. Et dire que dans ma petite jeunesse "Sidi yaya" n'était qu'une colline verdoyante et durant l'été on allait à travers champs à des cours coraniques dispensés dans la cour du mausolée.
                      Dernière modification par jawzia, 16 août 2012, 05h40.

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                      • #12
                        Et dire que dans ma petite jeunesse "Sidi yaya" n'était qu'une colline verdoyante et durant l'été on allait à travers champs à des cours coraniques dispensés dans la cour du mausolée.
                        Ya hasrah, Sidi Yahia ettayar et pas loin Sidi Lakhal.
                        Les paradis de mon enfance ...
                        وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                        • #13
                          Perso j'aime pas Alger, trop de densité de population, trop sale, trop d'insécurité.
                          Mais les grandes villes marocaines n'ont rien à envier a Alger et Marrakech c'est juste la vitrine pour touristes du Maroc qui ne reflete pas le pays.
                          "When I saw the Hoggar Mountains, my jaw dropped. If you think of Bryce, or Canyonlands National Park, you're close, but the Hoggar Mountains are more spectacular." David Ball, Empire of sands

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                          • #14
                            Ghayarines ces anglais.

                            Alger est loin devant Londres en terme de propreté et de beauté.
                            «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

                            Commentaire


                            • #15
                              dodi72

                              et pour ta remarque sur la reputation de marrakech , je peux te sortir des articles et surtout des videos sur des villes algeriennes qui ont battu marrakech dans ce domaine sauf que personne n en parle car les pauvres personne ne les visite , a part bien sur les frustres ......
                              Je te défie de nous sortir" le moindre article et "surtout des vidéos"" "sur des villes algeriennes qui ont battu marrakech dans ce domaine" bien sûr ecrit par des non marocains. Ton Marrakech compare le avec Bangkok et Manille pas avec les villes Algériennes.
                              "L' Algérie c'est le seul pays, où quand les gens me tendaient la main c'était pour m'offir quelque chose alors que dans les autres pays c'était pour m' en demander " Yann Arthus Bertrand

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