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L’association Tiguelzi n’riff de la commune de Taskriout a, encore une fois, réussi le pari d’égayer les soirées ramadhanesques par l’organisation de la 4e édition du Festival du monologue.
Les festivités qui se sont étalées du 9 au 13 août ont été l’occasion, pour le public venu nombreux, de se délecter des différents spectacles. Pour cette édition qui a été délocalisée du centre culturel Malek Bouguermouh de la commune, occupé par les sinistrés des intempéries de l’hiver dernier, le centre culturel Matoub Lounes de Darguina et la maison de jeune d’Aït Smaïl ont constitué les deux pôles d’animation. Les deux salles ont fait le plein chaque soir, pour les deux spectacles programmés quotidiennement. Durant quatre jours, des comédiens venus de Tizi Ouzou, Béjaïa, Médéa, Oum El Bouaghi, Constantine, Oran, Djelfa et même de Tunisie se sont relayés sur les planches au grand bonheur des spectateurs.
Dès le premier jour, le ton a été donné par le comédien Fares Bousaâda de Sétif qui s’est déjà fait remarquer dans l’émission «Saraha raha», avec un one man show intitulé Le Fugitif.
Salah Aït Mansour, un habitué du festival, a, pour sa part, gratifié le public de plusieurs morceaux de son riche répertoire flamenco. La manifestation s’est poursuivie dans une ambiance conviviale, puisque tout y était : chant, rire, projection et un public nombreux et intéressé. Les organisateurs, qui étaient à pied d’œuvre pour la réussite de ce rendez-vous culturel, ont cependant relevé quelques difficultés dues à sa délocalisation.
Ils ont déploré «la timide contribution de l’Apc concernée».
La cérémonie de clôture qui s’est déroulée dans la bonne humeur et a vu deux comédiens se départager la première place lors de la remise des prix pour les meilleures représentations. Il s’agit de Mohamed Amroun de Djelfa et Akli Timizarth de Béjaïa.
Par El Watan
Les festivités qui se sont étalées du 9 au 13 août ont été l’occasion, pour le public venu nombreux, de se délecter des différents spectacles. Pour cette édition qui a été délocalisée du centre culturel Malek Bouguermouh de la commune, occupé par les sinistrés des intempéries de l’hiver dernier, le centre culturel Matoub Lounes de Darguina et la maison de jeune d’Aït Smaïl ont constitué les deux pôles d’animation. Les deux salles ont fait le plein chaque soir, pour les deux spectacles programmés quotidiennement. Durant quatre jours, des comédiens venus de Tizi Ouzou, Béjaïa, Médéa, Oum El Bouaghi, Constantine, Oran, Djelfa et même de Tunisie se sont relayés sur les planches au grand bonheur des spectateurs.
Dès le premier jour, le ton a été donné par le comédien Fares Bousaâda de Sétif qui s’est déjà fait remarquer dans l’émission «Saraha raha», avec un one man show intitulé Le Fugitif.
Salah Aït Mansour, un habitué du festival, a, pour sa part, gratifié le public de plusieurs morceaux de son riche répertoire flamenco. La manifestation s’est poursuivie dans une ambiance conviviale, puisque tout y était : chant, rire, projection et un public nombreux et intéressé. Les organisateurs, qui étaient à pied d’œuvre pour la réussite de ce rendez-vous culturel, ont cependant relevé quelques difficultés dues à sa délocalisation.
Ils ont déploré «la timide contribution de l’Apc concernée».
La cérémonie de clôture qui s’est déroulée dans la bonne humeur et a vu deux comédiens se départager la première place lors de la remise des prix pour les meilleures représentations. Il s’agit de Mohamed Amroun de Djelfa et Akli Timizarth de Béjaïa.
Par El Watan