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DUBAI (Reuters) - Un adolescent de 16 ans a été tué lors d'affrontements entre forces de l'ordre et manifestants vendredi soir à Bahreïn, théâtre de manifestations régulières depuis le soulèvement populaire chiite de l'an dernier contre la famille régnante sunnite Al Khalifa.
Selon le gouvernement, le jeune homme, Hussam al Haddad, se trouvait parmi des manifestants qui ont lancé des cocktails Molotov sur la police et est mort après avoir été transporté à l'hôpital.
Le principal mouvement d'opposition, le Wefaq, a dénoncé dans un communiqué "la violente attaque" dont a été victime le jeune homme. Les forces de l'ordre ont de leur côté affirmé avoir agi en état de légitime défense.
"Des terroristes ont lancé des cocktail molotov forçant la police à prendre des mesures nécessaires pour se défendre et défendre des passants innocents d'une attaque potentiellement fatale", écrit dans un communiqué l'Autorité des affaires de l'information.
"Malgré des tirs de sommation de la police, l'attaque s'est poursuivie. Les membres des forces de sécurité ont donc géré la situation dans le cadre légal", ajoute-t-il.
Selon l'opposition, plus de 45 personnes ont été tuées dans des manifestations depuis juin 2011 et la levée de la loi martiale imposée trois mois plus tôt pour réprimer les manifestations pro-démocratie organisées dans le sillage du "printemps arabe."
Le ministère de l'Intérieur fait état de son côté de plus de 700 policiers blessés.
Andrew Hammond, Marine Pennetier pour le service français
Selon le gouvernement, le jeune homme, Hussam al Haddad, se trouvait parmi des manifestants qui ont lancé des cocktails Molotov sur la police et est mort après avoir été transporté à l'hôpital.
Le principal mouvement d'opposition, le Wefaq, a dénoncé dans un communiqué "la violente attaque" dont a été victime le jeune homme. Les forces de l'ordre ont de leur côté affirmé avoir agi en état de légitime défense.
"Des terroristes ont lancé des cocktail molotov forçant la police à prendre des mesures nécessaires pour se défendre et défendre des passants innocents d'une attaque potentiellement fatale", écrit dans un communiqué l'Autorité des affaires de l'information.
"Malgré des tirs de sommation de la police, l'attaque s'est poursuivie. Les membres des forces de sécurité ont donc géré la situation dans le cadre légal", ajoute-t-il.
Selon l'opposition, plus de 45 personnes ont été tuées dans des manifestations depuis juin 2011 et la levée de la loi martiale imposée trois mois plus tôt pour réprimer les manifestations pro-démocratie organisées dans le sillage du "printemps arabe."
Le ministère de l'Intérieur fait état de son côté de plus de 700 policiers blessés.
Andrew Hammond, Marine Pennetier pour le service français
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