Cher Concitoyen,
Selon moi, l'année 2013 marquera un tournant dans l'Histoire de France.
Au cours des mois et des années qui viennent, notre pays, déjà en déclin, devrait voir sa chute s'accélérer et son rang dans le monde se dégrader. Nous pourrions même basculer dans un chaos social et économique tel que nous n'en avons pas connu depuis 1968... voire depuis la Révolution de 1789.
Ne vous y trompez pas : la faillite de la France est proche. Et elle est bien réelle.
Selon moi, nous avec franchi depuis le début de l'année des étapes très importantes dans ce processus. La perte du Triple A français en a été une. Idem pour les élections présidentielles de mai 2012, qui ont signé un virage vers plus de dépenses et moins de réformes.
Si je vous écris aujourd'hui, c'est pour tirer la sonnette d'alarme.
En tant que citoyen français, vous avez le droit de savoir ce qui se passe... mais aussi de connaître les mesures qui pourraient vous aider à vous protéger.
Parce qu'il ne faut jamais perdre de vue une chose très importante : dans des périodes aussi troublées que celles que nous vivons en ce moment, des fortunes se défont... et se font.
Tandis que certains voient leur épargne partir en fumée, d'autres parviennent à protéger leur patrimoine -- et même à l'accroître.
Si vous me le permettez, j'aimerais vous aider à en faire partie.
Car je vais peut-être vous surprendre, mais un seul facteur pourrait séparer ceux qui perdront tout de ceux qui s'en tireront indemnes : une véritable "arme secrète" sur laquelle je reviendrai dans quelques instants.
Avant ça, j'aimerais que vous compreniez une chose très importante. Ce que vous allez découvrir dans ce message ne sont pas de simples prophéties d'oiseaux de malheur qui n'ont aucune chance de se réaliser.
Si vous pensez que nos dirigeants ont le pouvoir de tout régler d'un coup de baguette magique, vous pouvez arrêter votre lecture ici... et tant pis pour vous.
Les chiffres que je vais vous révéler sont réels. Ce sont des données publiques, accessibles à tous. Il suffit de voir au-delà de la langue de bois et du politiquement correct pour s'apercevoir que ces informations pointent tous vers une réalité implacable.
Oh, certains de ceux qui liront ce message balaieront mes arguments d'un revers de main. Ils me traiteront de "Cassandre" et se moqueront de ce qu'ils considèrent comme des élucubrations.
J'ai l'habitude.
Mais j'ai aussi l'habitude de voir nos prédictions se réaliser... alors même qu'elles étaient considérées comme "impossibles" par une large partie des autorités et de la presse grand public.
Il faut dire que nous avons un long historique de prévisions auxquelles bien peu de gens croyaient... et qui font aujourd'hui la Une des journaux.
Des années passées à servir la cause
des investisseurs particuliers et épargnants individuels
Je m'appelle Simone Wapler. Ingénieur de formation, j'ai quitté depuis plus de 13 ans les laboratoires pour les marchés boursiers. En 2001, je suis entrée dans un groupe de presse et d'édition spécialisé dans les recherches et les conseils financiers. J'en ai pris la direction éditoriale depuis 2011.
Ce qui fait notre différence est que nous sommes totalement indépendants. Attention, nous ne sommes pas pour autant isolés. Notre force est d'appartenir à une sorte de "think tank" financier, un réseau de spécialistes unique au monde : Agora Inc.
Nous ne servons ni la cause des multinationales cotées en bourse, ni celle des grandes banques mais, à travers plus de 120 pays, celle de milliers et milliers de particuliers.
C'est simple, nous avons été parmi les premiers à nous intéresser à l'or et à prédire sa hausse continue. Nous avons annoncé avant qu'ils ne fassent la une des journaux grand public l'explosion de la bulle internet en 2000... les dérèglements financiers mondiaux de l'après-11 septembre 2001... la bulle des junk bonds de 2001...la bulle immobilière américaine en 2007... la crise des dettes souveraines entamée en 2010... Et j'en passe, la liste serait trop longue.
Surtout, nos lecteurs ont pu chaque fois se protéger à temps -- comme en 2008, avant la crise des crédits subprime et l'effondrement boursier qui s'en est suivi. Mieux, alors que les autres investisseurs déploraient de lourdes pertes, un lecteur ayant suivi nos conseils aurait pu voir son capital plus que quadrupler.
Comment ? Tout simplement en investissant dans un secteur clef : l'or -- qui, pour rappel, est passé de moins de 300 euros au début de l'année 2000 aux récents 1 300 euros -- soit une multiplication par plus de quatre...
Plus récemment encore, nous avons mis en garde nos lecteurs contre les obligations grecques, espagnoles ou portugaises ainsi que de nombreux placements autrefois sûrs, désormais à fort risque. Pour cela, nous n'avons pas attendu la dégradation des notes souveraines de ces Etats ou encore celle, en juin 2012, de grandes banques comme la Société Générale ou BNP Paribas. D'ailleurs, cela ne m'étonnerait pas que vous possédiez, comme 46 millions de Français, un de ces placements à risque -- et que vous soyez particulièrement exposé aujourd'hui.
A vrai dire, je ne connais pas d'autre société de presse ayant eu le courage d'avertir ses lecteurs, aussi en avance et avec tant de précision, des conséquences inéluctables et dangereuses, sur leur propre porte-monnaie, de la crise financière de 2008 ou de l'actuelle crise des dettes souveraines.
Il ne s'agit en aucun cas de nous reposer sur nos lauriers : le pire est à venir. Je suis convaincue que la crise que nous traversons aujourd'hui affectera profondément notre niveau de vie en France et notre rang dans le monde.
Quatre critères objectifs pour une faillite annoncée
Savez-vous à quand remonte le dernier budget à l'équilibre de notre pays ?
1973. La France est dans le rouge depuis plus d'une génération ! De 1974 (élection de Valéry Giscard d'Estaing) à aujourd'hui, la dette française est passée de 21,2% du PIB à 89,3% du PIB.
Tenez, un graphique vaut mieux qu'un long discours :
Source : INSEE
Ce sont désormais 1 789,4 milliards d'euros de dette que nous nous traînons... soit près de 27 000 euros à rembourser pour chaque homme, femme et enfant habitant notre pays. Et c'est terrible à dire, mais ce n'est pas le plus grave.
Non : ce qui est en train de couler notre pays aussi sûrement qu'un boulet entraîne un corps sous les eaux, ce sont les intérêts sur cette dette.
Critère de faillite n°1 :
Savez-vous à quoi servent vraiment vos impôts ?
C'est logique : chaque fois que notre déficit s'aggrave, l'Etat doit emprunter de l'argent. Et qui dit emprunt, dit intérêts. Plus la somme empruntée est conséquente, plus les emprunts sont élevés.
Or actuellement, l'emprunt est colossal... et les intérêts sont gigantesques.
Quelques chiffres pour vous donner la mesure du problème :
En 2012, il est prévu que les intérêts se monteront à près de 49 milliards d'euros.
En 1980, il fallait un tiers des impôts sur le revenu pour s'acquitter de ces intérêts.
En 2004, c'était l'intégralité de nos impôts qui passait dans ces remboursements !
Désormais, vos impôts ne servent plus à assurer un service public digne de ce nom. Education, recherche, défense, infrastructures, logements... tous les services de l'Etat sont financés à crédit -- tandis que le produit de votre travail est taxé de plus en plus lourdement pour rembourser une dette qui s'alourdit d'année en année.
Nous sommes entrés dans un cercle vicieux... et nous ne pourrons pas en sortir sans d'immenses sacrifices. Voyez-vous, un gouvernement ne peut pas s'approprier toute la richesse de la France. Il faut bien qu'il vous reste de quoi vous nourrir, vous vêtir, vous loger.
Pour payer ses dettes et rembourser, l'Etat ne peut donc prendre que sur ses recettes : ce qu'il prélève comme impôt sur les entreprises et ses citoyens.
Selon le projet de Loi de Finances 2012, les recettes fiscales devraient s'élever cette année à 253,8 milliards d'euros. Rappelez-vous à combien se monte notre dette : 1 789,4 milliards d'euros. Il faudrait donc à l'Etat plus de sept années de recettes pour rembourser la dette nationale, ceci en arrêtant tout service public : plus de justice, de police, d'école, d'armée, de musées, d'hôpitaux, de médecins... ni même de fonctionnaires pour faire rentrer les impôts !
Et ce n'est pas tout...
Selon moi, l'année 2013 marquera un tournant dans l'Histoire de France.
Au cours des mois et des années qui viennent, notre pays, déjà en déclin, devrait voir sa chute s'accélérer et son rang dans le monde se dégrader. Nous pourrions même basculer dans un chaos social et économique tel que nous n'en avons pas connu depuis 1968... voire depuis la Révolution de 1789.
Ne vous y trompez pas : la faillite de la France est proche. Et elle est bien réelle.
Selon moi, nous avec franchi depuis le début de l'année des étapes très importantes dans ce processus. La perte du Triple A français en a été une. Idem pour les élections présidentielles de mai 2012, qui ont signé un virage vers plus de dépenses et moins de réformes.
Si je vous écris aujourd'hui, c'est pour tirer la sonnette d'alarme.
En tant que citoyen français, vous avez le droit de savoir ce qui se passe... mais aussi de connaître les mesures qui pourraient vous aider à vous protéger.
Parce qu'il ne faut jamais perdre de vue une chose très importante : dans des périodes aussi troublées que celles que nous vivons en ce moment, des fortunes se défont... et se font.
Tandis que certains voient leur épargne partir en fumée, d'autres parviennent à protéger leur patrimoine -- et même à l'accroître.
Si vous me le permettez, j'aimerais vous aider à en faire partie.
Car je vais peut-être vous surprendre, mais un seul facteur pourrait séparer ceux qui perdront tout de ceux qui s'en tireront indemnes : une véritable "arme secrète" sur laquelle je reviendrai dans quelques instants.
Avant ça, j'aimerais que vous compreniez une chose très importante. Ce que vous allez découvrir dans ce message ne sont pas de simples prophéties d'oiseaux de malheur qui n'ont aucune chance de se réaliser.
Si vous pensez que nos dirigeants ont le pouvoir de tout régler d'un coup de baguette magique, vous pouvez arrêter votre lecture ici... et tant pis pour vous.
Les chiffres que je vais vous révéler sont réels. Ce sont des données publiques, accessibles à tous. Il suffit de voir au-delà de la langue de bois et du politiquement correct pour s'apercevoir que ces informations pointent tous vers une réalité implacable.
Oh, certains de ceux qui liront ce message balaieront mes arguments d'un revers de main. Ils me traiteront de "Cassandre" et se moqueront de ce qu'ils considèrent comme des élucubrations.
J'ai l'habitude.
Mais j'ai aussi l'habitude de voir nos prédictions se réaliser... alors même qu'elles étaient considérées comme "impossibles" par une large partie des autorités et de la presse grand public.
Il faut dire que nous avons un long historique de prévisions auxquelles bien peu de gens croyaient... et qui font aujourd'hui la Une des journaux.
Des années passées à servir la cause
des investisseurs particuliers et épargnants individuels
Je m'appelle Simone Wapler. Ingénieur de formation, j'ai quitté depuis plus de 13 ans les laboratoires pour les marchés boursiers. En 2001, je suis entrée dans un groupe de presse et d'édition spécialisé dans les recherches et les conseils financiers. J'en ai pris la direction éditoriale depuis 2011.
Ce qui fait notre différence est que nous sommes totalement indépendants. Attention, nous ne sommes pas pour autant isolés. Notre force est d'appartenir à une sorte de "think tank" financier, un réseau de spécialistes unique au monde : Agora Inc.
Nous ne servons ni la cause des multinationales cotées en bourse, ni celle des grandes banques mais, à travers plus de 120 pays, celle de milliers et milliers de particuliers.
C'est simple, nous avons été parmi les premiers à nous intéresser à l'or et à prédire sa hausse continue. Nous avons annoncé avant qu'ils ne fassent la une des journaux grand public l'explosion de la bulle internet en 2000... les dérèglements financiers mondiaux de l'après-11 septembre 2001... la bulle des junk bonds de 2001...la bulle immobilière américaine en 2007... la crise des dettes souveraines entamée en 2010... Et j'en passe, la liste serait trop longue.
Surtout, nos lecteurs ont pu chaque fois se protéger à temps -- comme en 2008, avant la crise des crédits subprime et l'effondrement boursier qui s'en est suivi. Mieux, alors que les autres investisseurs déploraient de lourdes pertes, un lecteur ayant suivi nos conseils aurait pu voir son capital plus que quadrupler.
Comment ? Tout simplement en investissant dans un secteur clef : l'or -- qui, pour rappel, est passé de moins de 300 euros au début de l'année 2000 aux récents 1 300 euros -- soit une multiplication par plus de quatre...
Plus récemment encore, nous avons mis en garde nos lecteurs contre les obligations grecques, espagnoles ou portugaises ainsi que de nombreux placements autrefois sûrs, désormais à fort risque. Pour cela, nous n'avons pas attendu la dégradation des notes souveraines de ces Etats ou encore celle, en juin 2012, de grandes banques comme la Société Générale ou BNP Paribas. D'ailleurs, cela ne m'étonnerait pas que vous possédiez, comme 46 millions de Français, un de ces placements à risque -- et que vous soyez particulièrement exposé aujourd'hui.
A vrai dire, je ne connais pas d'autre société de presse ayant eu le courage d'avertir ses lecteurs, aussi en avance et avec tant de précision, des conséquences inéluctables et dangereuses, sur leur propre porte-monnaie, de la crise financière de 2008 ou de l'actuelle crise des dettes souveraines.
Il ne s'agit en aucun cas de nous reposer sur nos lauriers : le pire est à venir. Je suis convaincue que la crise que nous traversons aujourd'hui affectera profondément notre niveau de vie en France et notre rang dans le monde.
Quatre critères objectifs pour une faillite annoncée
Savez-vous à quand remonte le dernier budget à l'équilibre de notre pays ?
1973. La France est dans le rouge depuis plus d'une génération ! De 1974 (élection de Valéry Giscard d'Estaing) à aujourd'hui, la dette française est passée de 21,2% du PIB à 89,3% du PIB.
Tenez, un graphique vaut mieux qu'un long discours :
Source : INSEE
Ce sont désormais 1 789,4 milliards d'euros de dette que nous nous traînons... soit près de 27 000 euros à rembourser pour chaque homme, femme et enfant habitant notre pays. Et c'est terrible à dire, mais ce n'est pas le plus grave.
Non : ce qui est en train de couler notre pays aussi sûrement qu'un boulet entraîne un corps sous les eaux, ce sont les intérêts sur cette dette.
Critère de faillite n°1 :
Savez-vous à quoi servent vraiment vos impôts ?
C'est logique : chaque fois que notre déficit s'aggrave, l'Etat doit emprunter de l'argent. Et qui dit emprunt, dit intérêts. Plus la somme empruntée est conséquente, plus les emprunts sont élevés.
Or actuellement, l'emprunt est colossal... et les intérêts sont gigantesques.
Quelques chiffres pour vous donner la mesure du problème :
En 2012, il est prévu que les intérêts se monteront à près de 49 milliards d'euros.
En 1980, il fallait un tiers des impôts sur le revenu pour s'acquitter de ces intérêts.
En 2004, c'était l'intégralité de nos impôts qui passait dans ces remboursements !
Désormais, vos impôts ne servent plus à assurer un service public digne de ce nom. Education, recherche, défense, infrastructures, logements... tous les services de l'Etat sont financés à crédit -- tandis que le produit de votre travail est taxé de plus en plus lourdement pour rembourser une dette qui s'alourdit d'année en année.
Nous sommes entrés dans un cercle vicieux... et nous ne pourrons pas en sortir sans d'immenses sacrifices. Voyez-vous, un gouvernement ne peut pas s'approprier toute la richesse de la France. Il faut bien qu'il vous reste de quoi vous nourrir, vous vêtir, vous loger.
Pour payer ses dettes et rembourser, l'Etat ne peut donc prendre que sur ses recettes : ce qu'il prélève comme impôt sur les entreprises et ses citoyens.
Selon le projet de Loi de Finances 2012, les recettes fiscales devraient s'élever cette année à 253,8 milliards d'euros. Rappelez-vous à combien se monte notre dette : 1 789,4 milliards d'euros. Il faudrait donc à l'Etat plus de sept années de recettes pour rembourser la dette nationale, ceci en arrêtant tout service public : plus de justice, de police, d'école, d'armée, de musées, d'hôpitaux, de médecins... ni même de fonctionnaires pour faire rentrer les impôts !
Et ce n'est pas tout...
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