Département de psychologie des sciences de l’éducation et d’orthophonie de l’université Alger 2:Grave dérive et grotesque usurpation
Au moment où les neurosciences sont au cœur des enjeux du développement et de la relance économique en Europe, l’'unique projet les intégrant vient d’être saboté.
Conformément aux fondements du LMD, à savoir à son évolution du général vers le différencié et l’appliqué et en continuité avec la licence LMD d’orthophonie (2007) et le master d’Orthophonie spécialité neurosciences cognitives (2010), j’ai déposé l’offre de doctorat Orthophonie : neurosciences cognitives et e-therapy avec accusé de réception de mon département du 4 mars 2012. Projet conçu dans la conformité avec les normes pédagogiques internationales en vigueur dans toutes les universités du monde, cette offre est restée sans réponse, et le pire c’est qu’un doctorat appelé, de façon indifférenciée orthophonie avec, comme responsable, un maître de conférences en psychologie et non en orthophonie, a été habilité à sa place.
Nouvelle forme de détournement de mes projets, il est rattaché à un laboratoire qui n’a rien à voir avec l’orthophonie et qui n’a pas de projets de soutien. Sans compter la faute professionnelle du quatrième degré, les conséquences en sont extrêmement graves. Pas question de me faire complice, par mon silence, de ce nouveau dérapage. Il s’agit de l’intérêt général, pas du mien. Les dessous de la mascarade : le système permet à l’élève incompétent d’expertiser le maître juges et partie, ce que la loi interdit, les auteurs de cette mascarade ne sont ni plus ni moins que mes deux anciens élèves (de mon âge), qui n’ont pas pu se spécialiser en orthophonie (voir leur arrêtés de nomination) et qui ont squatté le comité (dit) scientifique du département appelé et d’orthophonie, par cooptation, m’en excluant par des pratiques illégales, en complicité avec l’administration. Objectif : y guetter mes projets pour les saboter à leur guise, s’offrant à leur place, de faux projets, comme si le biologiste s’offrait des projets d’ORL.
«Leur» CSD décide, alors qu’il n’a qu’un rôle consultatif. Chaire complète, l’orthophonie n’y est pas représentée, comme si l’intruse dans ma fondation c’était moi. Cela est d’autant plus grave que je suis la plus qualifiée et la plus ancienne dans le plus haut grade au département et le seul professeur d’orthophonie à l’échelle nationale. Des promotions sont alors sacrifiées, dans un secteur de santé publique, le seul que l’Algérie ne peut pas importer. Pays de nombre, on ignore que le premier est un.
Dans les universités «normales», il s’appelle le fondateur et il a un statut. On a oublié, en Algérie, de créer ce statut, car on a cru qu’il n’y en aurait pas.
Ces deux enseignants de psychologie générale, dont il faut comparer les deux CV additionnés au mien (en ligne), qui ignorent jusqu’à la définition même de l’orthophonie, ce que je vais prouver, passent leur vie, au vu et au su de tous, à monter des plans pour mon «renvoi» de «chez eux» depuis 30 ans, juste pour faire oublier qu’ils sont, eux, renvoyés de la science, et qu’ils justifient leur poste dans mes fondations, n’y enseignant que de vieilles généralités vu qu’ils n’ont à proposer aux étudiants aucun résultat de leurs recherches en pathologie voco-verbale. Aux abois face à mes progrès florissants, ils triturent mes projets, les détruisent, les plagient sans les comprendre, les détournent à leur nom en effaçant le mien et contre façonnant les contenus, quitte à afficher des emplois du temps imbéciles comme ceux d’un magistère de psychologie de l’orthophonie ou d’un master d’orthophonie spécialité orthophonie. Deux appellations stupides, deux structures pédagogiques auto-agréées donc non crédibles et sans objectifs, mais officiellement validées. Ils veulent faire croire qu’ils peuvent spécialiser l’étudiant sans être spécialiste !
Essoufflés au constat de l’inefficacité de leurs provocations, puisqu’à chaque projet détourné puis falsifié, j’en dépose un autre, plus brillant et, surtout, que mes recours aboutissent, comme pour le master d’orthophonie spécialité neurosciences cognitives, dont trois contre-expertises anonymes de la CRC révélèrent un projet parfait, affichant leur malhonnêteté, ce qui aurait normalement suffi pour leur assigner une sanction pour fraudes au niveau des CS, institutions publiques, d’où faute du troisième degré, ils recourent alors à l’acte «crapuleux». Fait tragi-comique, ils ont tout bonnement caché (!) mon offre de doctorat LMD, par peur de la «traiter» dans «leur» CSD. Pourtant, faisant fi de ma dignité de professeur-fondateur d’une discipline qui n’est pas la leur, je l’ai soumise à un CSD, dont tous les membres ont le niveau de mes élèves. Autre faute du troisième degré, le département qui porte le nom de mon œuvre me cache toute information. Ce sont les étudiants du master qui m’ont appris cet acte crapuleux par voie médiatique et de copies de pétitions adressées aux autorités, à l’instar de celle de 38 signataires, du 13-06-2012.
Donc, au responsable qui permet à l’élève de juger le maître (pour le condamner), de permettre aussi que son subalterne d’un autre service que le sien le commande. De la sorte, nous serons tous traités de façon égale. L’injustice et la marginalisation à l’égard des vrais scientifiques ne sont plus dans l’ère du temps et le faux ne triomphe pas du juste. Tous les CSD du pays regroupés peuvent décréter que l’orthophonie est une spécialité psychologique, mais ils ne peuvent pas transformer le larynx en cerveau, ni la phonation en perception, ni la phonétique en psychosociologie, ni le doctorat ès lettres et sciences humaines soutenu devant un jury composé de deux linguistes, d’un phonéticien, d’un neurologue et d’un neuro-psychologue de renom planétaire en la thèse unique de linguistique générale de celui qui, tel un psychopathe croyant m’impressionner, vocifère dans les couloirs à ma simple vue devant des témoins indignés : «Je suis le roi de l’orthophonie !» ou, mieux, en l’habilitation amicale de psychosociologie générale, de sa complice, autoproclamée responsable d’«offres». C’est là la différence et la force pérenne ; c’est ma sérénité.
En violation de la loi et dans le but de me provoquer davantage, l’administrateur, du niveau des élèves de mes élèves, que j’ai dû sommer, vu ses étranges tentatives de me dissuader de déposer l’offre (ce qui prouve le complot ourdi) de me viser l’accusé de réception, m’appela, des mois plus tard, pour me tendre, toute honte bue, non pas le tableau des résultats de la CRC remis aux autres, mais, tenez-vous bien, le projet lui-même, m’invitant à le récupérer en silence. Voilà ce que vaut le vrai professeur en Algérie et par quels trafics le faux projet prévaut sur le juste.
Un projet unique dans le monde arabo-africain largué par des ignorants ! La honte pour un pays où la science se meurt et où la modernité des neurosciences crée l’angoisse chez le médiocre dont la vengeance est si dangereuse pour notre pays ! Jamais je n’abdiquerai ! Je prévois deux nouvelles offres de master, encore plus cliniques et plus pointues que les précédentes, qui l’isoleront davantage : deux belles nouvelles spécialités de l’orthophonie, que les psychosociologues ne pourront pas travestir : rééducation neuro-motrice et phonétique acoustique phoniatrique. Et on verra bien quelle force finira par triompher de l’autre : celle de détruire ou celle de construire.
J’interpelle les responsables par les preuves que voici, de l’ignorance du non spécialiste, décideur à ma place et dans ma fondation.
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