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Suite au laxisme du procureur de Larbaa Nath Irathen
Une trentaine de logements saccagés et incendiés près de Tizi Ouzou
Les deux présumés auteurs de l'assassinat du jeune L. Youcef, âgé de 25 ans, dimanche dernier dans la soirée, près de son village Bouyilef, à Oued Aissi, à une dizaine de kilomètres à l'est de la ville de Tizi Ouzou, ont été arrêtés par la gendarmerie et placés sous mandat de dépôt par le procureur du tribunal de Larbâa Nath Irathen, a appris TSA auprès d'une source sécuritaire à Tizi Ouzou. Il s'agit de deux repris de justice, dont le plus connu est surnommé "David". Mais cette arrestation n'a pas suffi à calmer les villageois qui ont tenu à venger le crime commis sur un des leurs. Selon des sources locales, les villageois, qui ont déjà saccagé dimanche soir et lundi dans la journée plusieurs logements squattés dans l'immeuble devant lequel la victime a été froidement tuée, ont de nouveau investi les lieux ce mardi à la fin de l'enterrement.
Une trentaine de logements situés dans le même endroit ont été saccagés et incendiés ce mardi 21 août par des jeunes en colère qui auraient, avant de quitter les lieux, averti une vingtaine d'autres familles qu’ils reviendraient saccager leur immeuble à la tombée de la nuit. Pour les auteurs du saccage, il s'agit « de faire payer à l'État son laxisme devant la situation d'insécurité qui dure dans cet endroit depuis l'arrivée des squatteurs qui ont fait l'objet d'une décision d'expulsion qui n'a jamais été exécutée ».
À Oued Aissi, tout le monde se pose la même question : « À quoi sert la force publique ? ». « Elle n'était pas là pour mettre fin à l'insécurité, ni pour chasser les squatteurs ni encore pour protéger les habitants dont les logements sont saccagés aujourd'hui », déplore un habitant du quartier.
Une trentaine de logements saccagés et incendiés près de Tizi Ouzou
Les deux présumés auteurs de l'assassinat du jeune L. Youcef, âgé de 25 ans, dimanche dernier dans la soirée, près de son village Bouyilef, à Oued Aissi, à une dizaine de kilomètres à l'est de la ville de Tizi Ouzou, ont été arrêtés par la gendarmerie et placés sous mandat de dépôt par le procureur du tribunal de Larbâa Nath Irathen, a appris TSA auprès d'une source sécuritaire à Tizi Ouzou. Il s'agit de deux repris de justice, dont le plus connu est surnommé "David". Mais cette arrestation n'a pas suffi à calmer les villageois qui ont tenu à venger le crime commis sur un des leurs. Selon des sources locales, les villageois, qui ont déjà saccagé dimanche soir et lundi dans la journée plusieurs logements squattés dans l'immeuble devant lequel la victime a été froidement tuée, ont de nouveau investi les lieux ce mardi à la fin de l'enterrement.
Une trentaine de logements situés dans le même endroit ont été saccagés et incendiés ce mardi 21 août par des jeunes en colère qui auraient, avant de quitter les lieux, averti une vingtaine d'autres familles qu’ils reviendraient saccager leur immeuble à la tombée de la nuit. Pour les auteurs du saccage, il s'agit « de faire payer à l'État son laxisme devant la situation d'insécurité qui dure dans cet endroit depuis l'arrivée des squatteurs qui ont fait l'objet d'une décision d'expulsion qui n'a jamais été exécutée ».
À Oued Aissi, tout le monde se pose la même question : « À quoi sert la force publique ? ». « Elle n'était pas là pour mettre fin à l'insécurité, ni pour chasser les squatteurs ni encore pour protéger les habitants dont les logements sont saccagés aujourd'hui », déplore un habitant du quartier.