Tweet
Pôle de biotechnologie en partenariat avec les Américains
Une deuxième rencontre en septembreUne rencontre algéro-américaine de haut niveau sera tenue en Algérie entre le 24 et le 25 septembre prochain, dans le cadre de la création d’un pôle international de biotechnologie et de production de médicament en Algérie.
L’information a été rendue publique dernièrement par le ministre de la santé et de la réforme hospitalière, Djamal Oueld Abbès. Cette rencontre sera la deuxième après celle effectuée au mois d’avril passé, où un groupe de travail algérien, constitué de cinq ministres avait rencontré une délégation américaine présidée par une représentante de l’ambassade américaine en Algérie.
Selon M.Ould Abbès, « le ministère de la santé vise, à travers ce projet, à atteindre une couverture de 70% de la demande nationale en matière de médicaments et à mettre fin au désordre qui règne dans ce secteur ».
Au cours de la première rencontre, le ministre de la santé avait installé le haut comité algéro-américain de pilotage et de suivi du projet, en déclarant que « désormais, l’Algérie joue dans la cour des grands dans le domaine de la médecine et la santé». Il a également affirmé que le pôle international de biotechnologie devant être créé dans le cadre de ce partenariat sera «le quatrième pôle au monde, après ceux de Boston aux Etats-Unis d’Amérique, Singapour pour l’Asie et Dublin pour l’Europe ».
Lors de cette réunion, les deux parties, algérienne et américaine, ont convenu de mettre au point une feuille de route en prévision du lancement du projet, en insistant sur l’harmonisation des pratiques juridiques et techniques. A cet effet, une délégation algérienne se rendra à Dublin puis à Boston dans le cadre d’une mission d’information et de formation.
Ainsi, à l’horizon 2020, « l’Algérie est appelée à devenir le nouveau pôle de l’industrie biopharmaceutique, qui couvrira les besoins en médicament au niveau local ainsi qu’au Moyen-Orient et en Afrique », selon le ministre. L’ambition est louable mais la réalité du terrain n’est pas spécialement favorable à un développement rapide au vue des nombreuses difficultés que connait le secteur en Algérie.
Nabil Mansouri
***
L’information a été rendue publique dernièrement par le ministre de la santé et de la réforme hospitalière, Djamal Oueld Abbès. Cette rencontre sera la deuxième après celle effectuée au mois d’avril passé, où un groupe de travail algérien, constitué de cinq ministres avait rencontré une délégation américaine présidée par une représentante de l’ambassade américaine en Algérie.
Selon M.Ould Abbès, « le ministère de la santé vise, à travers ce projet, à atteindre une couverture de 70% de la demande nationale en matière de médicaments et à mettre fin au désordre qui règne dans ce secteur ».
Au cours de la première rencontre, le ministre de la santé avait installé le haut comité algéro-américain de pilotage et de suivi du projet, en déclarant que « désormais, l’Algérie joue dans la cour des grands dans le domaine de la médecine et la santé». Il a également affirmé que le pôle international de biotechnologie devant être créé dans le cadre de ce partenariat sera «le quatrième pôle au monde, après ceux de Boston aux Etats-Unis d’Amérique, Singapour pour l’Asie et Dublin pour l’Europe ».
Lors de cette réunion, les deux parties, algérienne et américaine, ont convenu de mettre au point une feuille de route en prévision du lancement du projet, en insistant sur l’harmonisation des pratiques juridiques et techniques. A cet effet, une délégation algérienne se rendra à Dublin puis à Boston dans le cadre d’une mission d’information et de formation.
Ainsi, à l’horizon 2020, « l’Algérie est appelée à devenir le nouveau pôle de l’industrie biopharmaceutique, qui couvrira les besoins en médicament au niveau local ainsi qu’au Moyen-Orient et en Afrique », selon le ministre. L’ambition est louable mais la réalité du terrain n’est pas spécialement favorable à un développement rapide au vue des nombreuses difficultés que connait le secteur en Algérie.
Nabil Mansouri
***