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Béjaia Festival de la musique et de la chanson kabyles du 2 au 7 septembre 2012
Rude compétition en perspective
Les présélections pour le concours local de la musique et de la chanson kabyles ont débuté lundi dernier, en soirée, dans la petite salle de la maison de la culture de Béjaïa. Les dix groupes en lice ont égayé l’assistance venue les encourager. Des sonorités rock, jazz, blues, mais aussi chaâbi ont plongé le public dans l’ambiance du festival qui, pour rappel, aura lieu cette année du 02 au 07 Septembre.
Les concurrents ont eu chacun dix minutes pour essayer de décrocher le sésame qui leur ouvrira le droit de participer à cette 5e édition, qui sera dédiée à l’un des maîtres incontesté de la chanson kabyle, Youcef Abjaoui. Sous le regard aiguisé du jury composé par les professionnels de la musique (Ahmed Tamghart, Nouredine Chelli, auteurs, compositeurs et interprètes) ainsi que les professeurs de musique (Fouzia Bouchekhchoukha, Azradj khellaf et Abdenour Hassani), les participants se sont surpassés sur scène.
Le premier responsable de la maison de la culture, Madame Salima Gaoua et par ailleurs, commissaire du festival, ainsi que l’ensemble du personnel technique n’ont pas lésiné sur les efforts pour garantir les meilleures conditions aux prestations des candidats.
Les groupes ; «imnayen», «Azaris», «Asirem», «Migour», «Iglane», etc., ont, chacun dans son propre style, battu la mesure en donnant un cachet particulier à la chanson kabyle tout en offrant à la séance une ambiance égale à celles des grands événements festifs. Ceci a offert au public présent un avant-goût de la prochaine édition de ce festival.
Le festival local de la chanson et de la musique kabyles a rendu hommage à plusieurs figures artistiques nationales durant ses précédentes éditions.
Parmi ses moments les plus forts, on se remémore encore ceux dédiés à la femme, son apport à la chanson, sa place dans le combat national ou celui pour l’émancipation. Les témoignages et/ou les passages sur scène (chansons, conférences …), Nouara (2e édition), Tarbaât lkhalat (3e édition), resteront parmi ceux qui ont inscrit dans la pérennité cet événement.
L’édition 2012 sera dédiée à l’une des figures les plus emblématiques de la chanson kabyle, Youcef Abdjaoui. En plus des conférences prévues au programme, la ville de Béjaïa vivra au rythme du festival pour pas moins de cinq jours. Au programme, spectacles de rue, animation à l’esplanade de la maison de la culture, des ateliers de musique et de chant pour enfants.
Des vedettes nationales de la chanson kabyle se produiront chaque jour. Des soirées artistiques égayeront tout autant la ville ainsi que les communes de la wilaya ; Barbacha, Amizour, Tinebdar, Akbou et bien d’autres villes.
L’édition de cette année verra la participation de 8 wilayas pour le concours de chant, Alger, Sétif, Boumerdes, Bouira, BBA, Jijel, Tizi-Ouzou et Béjaïa. Un documentaire sur le parcours de Youcef Abdjaoui sera projeté dès le premier jour. Quant aux amoureux des arts de la planche, une surprise leur est réservée, promettent les organisateurs.
Nabila Guemghar, La Dépêche de Kabylie.
Rude compétition en perspective
Les présélections pour le concours local de la musique et de la chanson kabyles ont débuté lundi dernier, en soirée, dans la petite salle de la maison de la culture de Béjaïa. Les dix groupes en lice ont égayé l’assistance venue les encourager. Des sonorités rock, jazz, blues, mais aussi chaâbi ont plongé le public dans l’ambiance du festival qui, pour rappel, aura lieu cette année du 02 au 07 Septembre.
Les concurrents ont eu chacun dix minutes pour essayer de décrocher le sésame qui leur ouvrira le droit de participer à cette 5e édition, qui sera dédiée à l’un des maîtres incontesté de la chanson kabyle, Youcef Abjaoui. Sous le regard aiguisé du jury composé par les professionnels de la musique (Ahmed Tamghart, Nouredine Chelli, auteurs, compositeurs et interprètes) ainsi que les professeurs de musique (Fouzia Bouchekhchoukha, Azradj khellaf et Abdenour Hassani), les participants se sont surpassés sur scène.
Le premier responsable de la maison de la culture, Madame Salima Gaoua et par ailleurs, commissaire du festival, ainsi que l’ensemble du personnel technique n’ont pas lésiné sur les efforts pour garantir les meilleures conditions aux prestations des candidats.
Les groupes ; «imnayen», «Azaris», «Asirem», «Migour», «Iglane», etc., ont, chacun dans son propre style, battu la mesure en donnant un cachet particulier à la chanson kabyle tout en offrant à la séance une ambiance égale à celles des grands événements festifs. Ceci a offert au public présent un avant-goût de la prochaine édition de ce festival.
Le festival local de la chanson et de la musique kabyles a rendu hommage à plusieurs figures artistiques nationales durant ses précédentes éditions.
Parmi ses moments les plus forts, on se remémore encore ceux dédiés à la femme, son apport à la chanson, sa place dans le combat national ou celui pour l’émancipation. Les témoignages et/ou les passages sur scène (chansons, conférences …), Nouara (2e édition), Tarbaât lkhalat (3e édition), resteront parmi ceux qui ont inscrit dans la pérennité cet événement.
L’édition 2012 sera dédiée à l’une des figures les plus emblématiques de la chanson kabyle, Youcef Abdjaoui. En plus des conférences prévues au programme, la ville de Béjaïa vivra au rythme du festival pour pas moins de cinq jours. Au programme, spectacles de rue, animation à l’esplanade de la maison de la culture, des ateliers de musique et de chant pour enfants.
Des vedettes nationales de la chanson kabyle se produiront chaque jour. Des soirées artistiques égayeront tout autant la ville ainsi que les communes de la wilaya ; Barbacha, Amizour, Tinebdar, Akbou et bien d’autres villes.
L’édition de cette année verra la participation de 8 wilayas pour le concours de chant, Alger, Sétif, Boumerdes, Bouira, BBA, Jijel, Tizi-Ouzou et Béjaïa. Un documentaire sur le parcours de Youcef Abdjaoui sera projeté dès le premier jour. Quant aux amoureux des arts de la planche, une surprise leur est réservée, promettent les organisateurs.
Nabila Guemghar, La Dépêche de Kabylie.