Le P-DG de l’Entreprise du Métro d’Alger (EMA), Aomar Hadbi, a indiqué quele métro a transporté plus de 9 millions de voyageurs depuis son inauguration en novembre 2011 jusqu’à fin juillet dernier.
Ce qui fait que les recettes de ce nouveau mode de transport qui, selon le premier responsable de l’EMA, a suscité un réel engouement auprès de la population, avoisinent le 450 millions de DA, sachant que le prix d’un ticket est de 50 DA. M. Hadbi a souligné que la fréquentation qui était en moyenne de 40.000 à 45.000/jour a augmenté de 39% depuis la mise en service du deuxième tronçon du tramway d’Alger (les Bannaniers-les fusillés) le 15 juin dernier qui a facilité l’accès aux différentes stations du métro.
Le responsable a estimé, toutefois, que malgré le «franc succès» qu’a connu le métro auprès de la population algéroise, les abonnements ne décollent pas. «A l’heure actuelle, nous ne comptons que 3.000 abonnés, ce qui est en deçà de nos espérances» a-t-il déclaré à APS. «Notre objectif est de fidéliser 70% de nos usagers avec des abonnements périodiques grâce aux cartes sans contact que nous leur proposons», a-t-il ajouté.
Il a fait savoir également que le réseau du métro d’Alger atteindra en 2016 un linéaire de 17 km. Ainsi, estime-il, il va garantir aux usagers une offre de transport public efficace avec la mise en service commerciale des trois extensions de la ligne 1, actuellement en cours de construction. «En 2016, on aura un réseau de 17 km qui va desservir la zone populeuse de Bachdjarah, El Harrach, Ain Naâdja, Alger et Place des martyrs».
Dans le même cadre, il a ajouté que les trois extensions de la ligne 1 du métro d’Alger, Grande-Poste vers la Place des Martyrs, Hai El Badr vers Ain Naâdja et Hai El Badr vers El Harrach, entreront toutes en exploitation commerciale avant fin 2016. Par ailleurs, il a fait remarquer qu’ «aucun acte de vandalisme n’a été enregistré», depuis la mise en service du métro et que «la population a adopté ce nouveau mode de transport et en prend soin».
S: L'Eco-news
Ce qui fait que les recettes de ce nouveau mode de transport qui, selon le premier responsable de l’EMA, a suscité un réel engouement auprès de la population, avoisinent le 450 millions de DA, sachant que le prix d’un ticket est de 50 DA. M. Hadbi a souligné que la fréquentation qui était en moyenne de 40.000 à 45.000/jour a augmenté de 39% depuis la mise en service du deuxième tronçon du tramway d’Alger (les Bannaniers-les fusillés) le 15 juin dernier qui a facilité l’accès aux différentes stations du métro.
Le responsable a estimé, toutefois, que malgré le «franc succès» qu’a connu le métro auprès de la population algéroise, les abonnements ne décollent pas. «A l’heure actuelle, nous ne comptons que 3.000 abonnés, ce qui est en deçà de nos espérances» a-t-il déclaré à APS. «Notre objectif est de fidéliser 70% de nos usagers avec des abonnements périodiques grâce aux cartes sans contact que nous leur proposons», a-t-il ajouté.
Il a fait savoir également que le réseau du métro d’Alger atteindra en 2016 un linéaire de 17 km. Ainsi, estime-il, il va garantir aux usagers une offre de transport public efficace avec la mise en service commerciale des trois extensions de la ligne 1, actuellement en cours de construction. «En 2016, on aura un réseau de 17 km qui va desservir la zone populeuse de Bachdjarah, El Harrach, Ain Naâdja, Alger et Place des martyrs».
Dans le même cadre, il a ajouté que les trois extensions de la ligne 1 du métro d’Alger, Grande-Poste vers la Place des Martyrs, Hai El Badr vers Ain Naâdja et Hai El Badr vers El Harrach, entreront toutes en exploitation commerciale avant fin 2016. Par ailleurs, il a fait remarquer qu’ «aucun acte de vandalisme n’a été enregistré», depuis la mise en service du métro et que «la population a adopté ce nouveau mode de transport et en prend soin».
S: L'Eco-news
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