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Beaucoup plus qu’entre al-Qods et toute autre capitale arabe ou islamique, il existe une unité organique entre al-Qods et Damas dans le sens où la seconde constitue le principal garant de la survie de l’autre : Ce n’est pas un hasard que presque simultanément qu’entrant en conquérant à al-Qods et à Damas, le général britannique Allenby et le général français Gouraud disaient respectivement : « Aujourd’hui prennent fin les Croisades » et «Saladin, nous sommes de retour !».
Et ce n’est pas un hasard qu’au moment où, grâce à la place privilégiée qu’occupe al-Qods dans la politique de la République Islamique d’Iran, les forces du mal s’acharnent sur la Syrie de manière sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Car, une Syrie, limitrophe de la Palestine occupée et alliée de l’Iran, donne à la cause de la libération une valeur décisive.
Et ce n’est pas un hasard non plus si l’histoire se joue comme un drame et une farce à la fois : En 1917, ce sont des forces arabes qui, non pour leur propre compte, ont pourchassé et écrasé, depuis le Yémen au Sud jusqu’aux frontières actuelles de la Turquie, les troupes de l’Etat des derniers des califats, offrant ainsi, aux Britanniques, la précieuse occasion de s’installer en Palestine, de faciliter la création de l’entité sioniste et d’ouvrir la voie vers le drame d’al-Qods.
Actuellement aussi, ce sont principalement des forces arabes et islamistes parmi lesquelles se distinguent -très paradoxalement- des partisans de la même idée du califat liquidé par leurs ancêtres proches qui jouent un rôle analogue en s’attaquant à la Syrie, permettant ainsi aux Occidentaux et aux sionistes de nourrir leur futile rêve de stopper la marche libératrice de la Palestine et d’al-Qods.
Cette marche, et c’est chose plus que trop connue est celle entreprise par les forces de résistance dans la région : L’Iran, la Syrie et les mouvements de résistance au Liban et en Palestine.
Pour ce qui est de l’Iran, on sait que la libération de la Palestine fut et est toujours l’un des principaux objectifs proclamés par sa révolution islamique. On sait également que cette révolution a éclaté peu de temps, deux années, après la fameuse « marche » effectuée par Sadate vers al-Qods. Non pas pour la libérer, mais pour monter sur la tribune de la Knesset et ouvrir l’ère de la soumission arabe officielle.
On dirait que l’éclatement de la révolution islamique ait été la seule riposte de taille au geste de Sadat dans la mesure où l’assassinat de ce dernier et la constitution, au niveau du monde arabe, du « front du refus et de la fermeté » n’ont en rien changé l’équation de soumission qu’ont incarné les traités de paix signés par l’Egypte à Camp David, l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) à Oslo et la Jordanie à Wadi Araba.
Une riposte de taille car elle fut d’une manière ou d’une autre à l’origine de la naissance du Hezbollah dans les cendres de l’absurde guerre civile au Liban. De la naissance de Hamas et du Jihad Islamique sur les ruines d’une révolution palestinienne ayant débouché sur la mascarade que représente l’Autorité dite palestinienne. Car elle fut aussi l’une des conditions qui ont permis à la Syrie non seulement de faire cavalier seul en résistant à la « paix séparée » avec l’entité sioniste, mais aussi à mettre en échec le processus de soumission arabe en fournissant un soutien inconditionnel aux mouvements de résistance au Liban et en Palestine.
Beaucoup plus qu’entre al-Qods et toute autre capitale arabe ou islamique, il existe une unité organique entre al-Qods et Damas dans le sens où la seconde constitue le principal garant de la survie de l’autre : Ce n’est pas un hasard que presque simultanément qu’entrant en conquérant à al-Qods et à Damas, le général britannique Allenby et le général français Gouraud disaient respectivement : « Aujourd’hui prennent fin les Croisades » et «Saladin, nous sommes de retour !».
Et ce n’est pas un hasard qu’au moment où, grâce à la place privilégiée qu’occupe al-Qods dans la politique de la République Islamique d’Iran, les forces du mal s’acharnent sur la Syrie de manière sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Car, une Syrie, limitrophe de la Palestine occupée et alliée de l’Iran, donne à la cause de la libération une valeur décisive.
Et ce n’est pas un hasard non plus si l’histoire se joue comme un drame et une farce à la fois : En 1917, ce sont des forces arabes qui, non pour leur propre compte, ont pourchassé et écrasé, depuis le Yémen au Sud jusqu’aux frontières actuelles de la Turquie, les troupes de l’Etat des derniers des califats, offrant ainsi, aux Britanniques, la précieuse occasion de s’installer en Palestine, de faciliter la création de l’entité sioniste et d’ouvrir la voie vers le drame d’al-Qods.
Actuellement aussi, ce sont principalement des forces arabes et islamistes parmi lesquelles se distinguent -très paradoxalement- des partisans de la même idée du califat liquidé par leurs ancêtres proches qui jouent un rôle analogue en s’attaquant à la Syrie, permettant ainsi aux Occidentaux et aux sionistes de nourrir leur futile rêve de stopper la marche libératrice de la Palestine et d’al-Qods.
Cette marche, et c’est chose plus que trop connue est celle entreprise par les forces de résistance dans la région : L’Iran, la Syrie et les mouvements de résistance au Liban et en Palestine.
Pour ce qui est de l’Iran, on sait que la libération de la Palestine fut et est toujours l’un des principaux objectifs proclamés par sa révolution islamique. On sait également que cette révolution a éclaté peu de temps, deux années, après la fameuse « marche » effectuée par Sadate vers al-Qods. Non pas pour la libérer, mais pour monter sur la tribune de la Knesset et ouvrir l’ère de la soumission arabe officielle.
On dirait que l’éclatement de la révolution islamique ait été la seule riposte de taille au geste de Sadat dans la mesure où l’assassinat de ce dernier et la constitution, au niveau du monde arabe, du « front du refus et de la fermeté » n’ont en rien changé l’équation de soumission qu’ont incarné les traités de paix signés par l’Egypte à Camp David, l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) à Oslo et la Jordanie à Wadi Araba.
Une riposte de taille car elle fut d’une manière ou d’une autre à l’origine de la naissance du Hezbollah dans les cendres de l’absurde guerre civile au Liban. De la naissance de Hamas et du Jihad Islamique sur les ruines d’une révolution palestinienne ayant débouché sur la mascarade que représente l’Autorité dite palestinienne. Car elle fut aussi l’une des conditions qui ont permis à la Syrie non seulement de faire cavalier seul en résistant à la « paix séparée » avec l’entité sioniste, mais aussi à mettre en échec le processus de soumission arabe en fournissant un soutien inconditionnel aux mouvements de résistance au Liban et en Palestine.
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