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ALGERIE: Acheter les actions d'entreprises européennes

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  • ALGERIE: Acheter les actions d'entreprises européennes

    Les réserves de changes de l’Algérie ne cessent pas de créer la polémique. Des spécialistes et experts conseillent de mieux exploiter cet énorme potentiel évalué à plus de 200 milliards de dollars dans l’achat d’actions de grandes entreprises en difficulté dans la zone euro.

    Un courant de pensée chez des économistes algériens, parmi lesquels Bachir Messaitfa, plaide pour l’exploitation des réserves de change dans des projets d’investissement. Cet expert en particulier suggère l’achat des actions dans les grandes entreprises fragilisées par la crise de la zone euro afin de les relancer. Selon d’autres économistes, c’est une manière de s’imposer devant les pays européens. Pour Kamel Bacha, un expert en commerce international exerçant en Chine, « L’Algérie doit réfléchir aux moyens lui permettant de tirer profit de la crise de la zone euro.

    En achetant des actions dans les grandes entreprises qui sont en difficulté, on deviendra un partenaire souverain de ces entreprises». « En plus, en étant un actionnaire dans une multinationale, on pourra faire venir ces groupes en Algérie pour investir localement.


    C’est une valeur ajoutée qui sera créée, en plus de milliers de postes d’emploi». Bachir Messaitfa de son côté, propose également l’acquisition les actions à risque réduit dans les régions en quête de développement à l’image de l’Amérique latine, l’Asie, l’Afrique et les pays du « printemps arabe » (Tunisie, Lybie, Egypte).


    L’économiste de renommée nationale et internationale parle également d’un « investissement dans les billets de banque comme les titres islamiques dans les grandes institutions financières mondiales ».


    Mais pour faire face à sa situation fragilisée, le docteur Bachir Messaitfa préconise de « transférer une partie des réserves à des investissements publics dans des secteurs tels que les industries agroalimentaires, électroniques et pétrochimiques et booster la petite et moyenne entreprise dans une dynamique de développement ».


    Selon lui, l’Algérie doit accorder plus d’importance à l’entreprise et l’accompagner afin de permettre à notre économie de se relancer. Et pour se faire, Bachir Messaitfa, propose la création d’une instance autonome pour gérer les réserves de change.


    « Les réserves de change de l’Algérie doivent être gérées par une institution indépendante et autonome qui devra être sous la tutelle du ministère des finances ». Cette instance, selon M. Messaitfa aura pour mission de « tracer la politique de gestion des réserves de change algériennes et de définir leur orientation ». Une politique qui doit être, selon lui, plus claire.


    S: L'Eco-News

  • #2
    En achetant des actions dans les grandes entreprises qui sont en difficulté, on deviendra un partenaire souverain de ces entreprises
    un partenaire financier , qui sera rémunéré à hauteur du capital investi .


    le transfert technologique , tu peux toujours te brosser .
    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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    • #3
      l´idée d´acheter les valeurs cotées en bourse des grandes multinationales n´est pas mal mais le vrai mal de notre pays c´est l´opacité d´une part et le manque d´expertise d´une autre part.

      á titre d´exemple en 2007 la sonatrach avait acquit 2,74%du capital boursier de Gaz do Portugal avec un prix de 4 euros par action .
      depuis septembre 2007 jusqu´a nos jours le titre boursier de gaz do Portugal n´a jamais atteint les 4 euros cela veut dire que sonatrach avait acheté des titres dont le prix se trouvait sur un pic historique ( des actions puissament surévaluées )

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      • #4
        Malheureusement la reserve de 200 milliards n'attirera que des gestionnaires corrompus d'un coté et des spéculateurs sans état d’âme de l'autre coté de la frontière et personne n'y verra quelque chose jusqu'a ce que le compte affiche zéro à la grecque.

        Plutôt investir (ou prêter l'agent) dans les entreprises locales performantes et prometteuses, elles seront identifier les entreprises européennes dans son champ d'expertise qui sont viables pour acheter des actions, s'associer et/ou y investir.

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        • #5
          Pourquoi ne pas recruter de grands managers et cadres européens et autres qui ont beaucoup d’expériences et de réussite derrière eux, qui se trouvent écarter pour "âge avancé" ou "incompatibilité d'humour", désaccord avec la nouvelle stratégie de la boite avec leur nouveau patron, à la recherche de nouveaux challenges,..., en tant que salarié ou même les intéressé comme actionnaire associé
          Installés en Algerie, apporteront beaucoup aux locaux que toujours se contenter des bureaux d'etude que font des expertises à distance, au prix fort et pas toujours en adéquation avec la réalité locale !
          Parce que je vois mal les européens malgré leur difficultés actuelles te cèdent les commandes même si ta participation actionnariale est importante, tes sous oui , les clés de commandes pas question, la règle du jeu du monde des affaires ne l'applique jamais à leur désavantage !
          C'est moins risqué que le yo-yo boursier!

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          • #6
            Un courant de pensée chez des économistes algériens,
            Je comprend maintenant ce qui justifie l'état de l'économie algérienne...
            "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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            • #7
              hben

              Tu pense a la dilapidation hasardeuse en actions pour faire évoluer
              l’économie Algerienne

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              • #8
                Tu pense a la dilapidation hasardeuse en actions pour faire évoluer
                Je penses surtout à ces pseudo-économistes qui croient découvrir le saint graal en prescrivant l'achat d'actions d'entreprises en difficultés sans savoir que ce n'est pas par hasard si elles sont en difficultés!
                Ce n'est pas l'argent qui manque en occident pour racheter ces actions... Car si elles étaient rentables, les "économistes" algériens ne les auraient même pas vu passer!...
                "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                • #9
                  Ils gagneraient à s'inspirer de la sagesse populaire qui dit:
                  "Loukan yahrath may bi'ouh!"
                  S'il labourait, ils ne l'auraient pas vendu...
                  "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                  • #10
                    ALGERIE: Acheter les actions d'entreprises européennes
                    de bonne foi
                    l'algerie doit d'abord s'occuper et bien comme il faut des 35 millions d'ames, le reste viendra tout seul ceci est applicable pour notre regime aussi

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                    • #11
                      de bonne foi
                      Le problème, c'est cette propension à fuir les vraies solutions et à courir derrière les chimères! Au lieu de diversifier les ressources et encourager l'investissement productif, on va se créer une économie par procuration et se mettre dans la position peu enviable du rentier virtuel!...

                      Gallek les économistes algériens!...
                      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                      • #12
                        Ce n'est pas l'argent qui manque en occident pour racheter ces actions... Car si elles étaient rentables, les "économistes" algériens ne les auraient même pas vu passer!...
                        C'est pas toujours le cas, des sociétés peuvent ne pas être rentable pour certains et rentable pour d'autres tout dépend de l'exploitation qu'on fait. L’Algérie importe 50milliards de dollars de marchandise par an, si elle achetait des parts de ces sociétés chez qui elle importe, il est certain qu'elle lui seront doublement rentable.

                        Il faut arrêté avec le rabaissement systématiques des intellectuels algériens, je ne connait pas ce Bachir Messaitfa, ni vu son cv, a part le fait que c'est un économiste Algerien qui a exprimé des idées, on peut être d'accord ou pas, mais le minimum c'est de critiquer sa vision avec respect sans usé de pseudo.

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                        • #13
                          Je le déconseille fermement...surtout dans ces circonstances...

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