Le sens ne trouve pas le mot
Les mots n’ont plus de sens
La parole aiguise les remous
La douleur se recompose
La parole nait d’un silence
Ecrit sur une feuille morte
Au pied de l’arbre
La nuit d’un homme
Le sort d’une femme
Le destin d’une fille
Le calvaire d’une famille
L’amour d’une mère
Les fines larmes
D’un vieil homme
Souriant face à la terre
Comme un poème perdu
Ne trouvant pas son parolier
Les corps s’échangent les regards
Au milieu d’une triste danse
Les cœurs s’échangent les larmes
Sur des voix basses s’entame
Quelques petites lueurs d’espoir
Qui se jettent dans la coure
De la grande demeure
Comme des petits cailloux abandonnés
Après un jeu farfelu d’enfants gâtés
L’ombre de l’arbre central dans la cour
Se retire petit à petit comme une couverture
Laissant place à une poussière perfide
Qui envahie les bords des chaussures
Aucune main ne pouvait se joindre
A ses deux mains qui entoure sa tète
Comme si elle voulait attendre
La fin de la tempête effrayante
Pour faire découvrir ses yeux rouges
Qui ne veulent admettre le fait du jour
Le sens ne trouve pas le mot
Les mots n’ont plus de sens
La parole aiguise les remous
La douleur se recompose
La parole nait d’un silence
Les mots n’ont plus de sens
La parole aiguise les remous
La douleur se recompose
La parole nait d’un silence
Ecrit sur une feuille morte
Au pied de l’arbre
La nuit d’un homme
Le sort d’une femme
Le destin d’une fille
Le calvaire d’une famille
L’amour d’une mère
Les fines larmes
D’un vieil homme
Souriant face à la terre
Comme un poème perdu
Ne trouvant pas son parolier
Les corps s’échangent les regards
Au milieu d’une triste danse
Les cœurs s’échangent les larmes
Sur des voix basses s’entame
Quelques petites lueurs d’espoir
Qui se jettent dans la coure
De la grande demeure
Comme des petits cailloux abandonnés
Après un jeu farfelu d’enfants gâtés
L’ombre de l’arbre central dans la cour
Se retire petit à petit comme une couverture
Laissant place à une poussière perfide
Qui envahie les bords des chaussures
Aucune main ne pouvait se joindre
A ses deux mains qui entoure sa tète
Comme si elle voulait attendre
La fin de la tempête effrayante
Pour faire découvrir ses yeux rouges
Qui ne veulent admettre le fait du jour
Le sens ne trouve pas le mot
Les mots n’ont plus de sens
La parole aiguise les remous
La douleur se recompose
La parole nait d’un silence
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