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Un réseau de trafic de drogue constitué de 22 individus, activant dans la wilaya d’Annaba et ayant des ramifications dans plusieurs autres wilayas du pays, a été démantelé ce vendredi par les éléments de la police judiciaire de la Sûreté de wilaya d’Annaba.
Ce coup de filet dans le milieu des stupéfiants a permis l’arrestation dans le quartier populeux de Djabanet Lihoud (Annaba) du baron de ce réseau. Ce dernier possède deux domiciles, l’un à Annaba et l’autre à Azzaba (Skikda). Sept autres individus du réseau, dont deux femmes, ont été également arrêtés en même temps que le baron, alors que sept autres sont identifiés et activement recherchés, selon le commissaire principal Boubekri Mohamed Yazid, chef de la PJ d’Annaba. Celui-ci intervenait au cours d’une conférence de presse au siège de la Sûreté de la wilaya d’Annaba.
Il fera savoir par la même occasion que 22,3 kg de kif traité ont été saisis lors de cette arrestation. Le reste du groupe, soit sept individus identifiés sous des sobriquets, fait l’objet d’une enquête pour déterminer leur véritable identité et procéder ainsi à leur arrestation, ajoute le commissaire principal Boubekri. On apprendra aussi que le baron arrêté ce vendredi se trouve être le beau-frère d’El Hadj Nacer, impliqué dans une affaire de 1, 075 quintal de kif traité en provenance du Maroc et destiné à la Tunisie et la Libye, après un prélèvement d’une certaine quantité pour l’Algérie. Ce personnage a été épinglé en janvier 2012 par les policiers de la brigade anti-stupéfiants d’Annaba.
Pour tromper son monde, il ne ratait aucune prière à la mosquée de son quartier, tout en se faisant remarquer par des actions caritatives. Pour le commissaire principal Boubekri, ce personnage jouait sur les sentiments des gens en utilisant la religion pour se faire respecter. Il a été condamné à 7 ans de prison. Sa femme arrêtée en même temps que lui a été laissée en liberté provisoire pour raison humanitaires, car elle venait d’accoucher. Le chef de la PJ d’Annaba reconnaîtra que l’information joue un grand rôle dans la lutte contre ce poison. «Des fois, ce sont carrément des concurrents de ces réseaux qui appellent pour dénoncer des transactions ou un arrivage de drogue», affirme le chef de la PJ d’Annaba, qui au vu de son expérience dans la lutte contre le trafic de drogue, dira que la quasi-totalité des barons ont une couverture soit à travers le commerce du gros, boutiques d’habillement et de chaussures ou carrément des entreprises de biens et de services. «Ça sert au blanchiment de l’argent de la drogue», estime- t-il .Ce poison nous vient presque exclusivement de notre voisin de l’Ouest, contre principalement des produits alimentaires et médicaments, soutenus par l’Etat, cheptel et autre carburant. Alors que certains nous pressent à rouvrir les frontières avec un Makhzen qui ne fait pas beaucoup pour arrêter, pour ne pas dire autre chose, ce déluge de poison qui inonde l’Algérie à dessein. L’Algérien est conscient du destin commun des peuples du Maghreb et ne peut qu’applaudir pour une réelle démarche qui ne sera que bénéfique pour l’ensemble des peuples le composant même celui du Sahara occidental qui n’a pas encore son indépendance, et c’est la faute à l’intransigeance du palais royal, estime-t-on
A. Bouacha , le Soir
Ce coup de filet dans le milieu des stupéfiants a permis l’arrestation dans le quartier populeux de Djabanet Lihoud (Annaba) du baron de ce réseau. Ce dernier possède deux domiciles, l’un à Annaba et l’autre à Azzaba (Skikda). Sept autres individus du réseau, dont deux femmes, ont été également arrêtés en même temps que le baron, alors que sept autres sont identifiés et activement recherchés, selon le commissaire principal Boubekri Mohamed Yazid, chef de la PJ d’Annaba. Celui-ci intervenait au cours d’une conférence de presse au siège de la Sûreté de la wilaya d’Annaba.
Il fera savoir par la même occasion que 22,3 kg de kif traité ont été saisis lors de cette arrestation. Le reste du groupe, soit sept individus identifiés sous des sobriquets, fait l’objet d’une enquête pour déterminer leur véritable identité et procéder ainsi à leur arrestation, ajoute le commissaire principal Boubekri. On apprendra aussi que le baron arrêté ce vendredi se trouve être le beau-frère d’El Hadj Nacer, impliqué dans une affaire de 1, 075 quintal de kif traité en provenance du Maroc et destiné à la Tunisie et la Libye, après un prélèvement d’une certaine quantité pour l’Algérie. Ce personnage a été épinglé en janvier 2012 par les policiers de la brigade anti-stupéfiants d’Annaba.
Pour tromper son monde, il ne ratait aucune prière à la mosquée de son quartier, tout en se faisant remarquer par des actions caritatives. Pour le commissaire principal Boubekri, ce personnage jouait sur les sentiments des gens en utilisant la religion pour se faire respecter. Il a été condamné à 7 ans de prison. Sa femme arrêtée en même temps que lui a été laissée en liberté provisoire pour raison humanitaires, car elle venait d’accoucher. Le chef de la PJ d’Annaba reconnaîtra que l’information joue un grand rôle dans la lutte contre ce poison. «Des fois, ce sont carrément des concurrents de ces réseaux qui appellent pour dénoncer des transactions ou un arrivage de drogue», affirme le chef de la PJ d’Annaba, qui au vu de son expérience dans la lutte contre le trafic de drogue, dira que la quasi-totalité des barons ont une couverture soit à travers le commerce du gros, boutiques d’habillement et de chaussures ou carrément des entreprises de biens et de services. «Ça sert au blanchiment de l’argent de la drogue», estime- t-il .Ce poison nous vient presque exclusivement de notre voisin de l’Ouest, contre principalement des produits alimentaires et médicaments, soutenus par l’Etat, cheptel et autre carburant. Alors que certains nous pressent à rouvrir les frontières avec un Makhzen qui ne fait pas beaucoup pour arrêter, pour ne pas dire autre chose, ce déluge de poison qui inonde l’Algérie à dessein. L’Algérien est conscient du destin commun des peuples du Maghreb et ne peut qu’applaudir pour une réelle démarche qui ne sera que bénéfique pour l’ensemble des peuples le composant même celui du Sahara occidental qui n’a pas encore son indépendance, et c’est la faute à l’intransigeance du palais royal, estime-t-on
A. Bouacha , le Soir