Annonce

Réduire
Aucune annonce.

A genoux !

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • A genoux !

    A genoux !

    Le temps valse passe et repasse
    Sur la crinière de mes jours qui tripassent

    Me morfondre au pied du destin
    Ou acclamer mon essence de philistin

    Je m’entour débordé de pensées voyelles
    Dans l’obscurité d’impasses passerelles
    Ais-je le choix onctueuse demoiselle

    Les jours se compte sans comptable
    Aucune décharge ne m’attribue
    Possible remise en cause du début

    Si je pouvais chère vie voluptueuse
    Je t’aurais malmené au-delà des falaises
    Sur les bancs des grandes écoles
    D’arrogants orgueilleuses personnes frivoles
    Pour que tu sois en paix sur ta conscience
    Que le monde d’insolentes insouciances
    Peux-tu croire enfin n’est plus ta science

    Cesses d’entrevoir le noir à travers la lumière
    Et pénètre la danse en te mettant à genoux

    Dis leurs que tu n’es plus l’autre ripou
    L’espèce de bizarre lézard résistant
    Qui remit en cause l’ordre établi tout instant

    Reposes et met toi à table avec les loups

    Le sang des innocents n’a pas d’odeur

    Le temps passe et repasse inconvénient
    Et l’inconvenable incertitude me contraignant
    Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

  • #2
    Jaillir entre les flemmes du désespoir
    Planer au dessus des champs de misère
    Soustraire les envies de se déchoir
    Se briser contre les reflets des miroirs
    Couler sous la roche d’une fontaine
    Plaire à la sensualité d’une foraine
    Ricaner à l’affut d’une mitaine

    Les rêves et légendes se brisent
    Les contes de merveille se noircissent
    Le roi n’est plus roi dans son domaine
    La reine n’est plus seine de sa rupine
    Les princes déchus de leur fortune
    Les princesses se larmoient de lacune

    Oublier la vaillance du guerrier
    L’enliser dans la défiance du guêpier
    Outrager les regards des ringards
    Regarder l’outrage des veinards
    Les rêves et légendes se brisent
    Les flemmes de l’espoir s’attisent
    Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

    Commentaire


    • #3
      A genoux l’homme sans jeunesse
      L’être dépourvu de finesse
      Devant les maitres de ta sentence
      A genoux devant le destin
      A genoux au pied de l’oubli
      A genoux le paria
      A genoux le sans cœur
      Sois fort dans ta quête de misère
      Laisse-toi dernier de la conquête
      Conquérant sans requête
      Mange de la main renégate
      Ricane à l’annonce de ta perte

      L’homme cœur de pierre
      Cœur fleur de sang
      Ame sans amour
      Amour sans odeur

      Jardin de désert
      Mer asséché
      Navire englouti

      Rêve sans sommeil
      Prince sans charme
      Sommeil sans éveil
      Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

      Commentaire

      Chargement...
      X