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Le wali de Béjaïa et l’actuel occupant de la maison des Amrouche qui se dit du reste propriétaire, sont visés par une plainte déposée à leur encontre par l’association « Taos et Jean Amrouche » d’Ighil Ali.
Ils sont cités à comparaître devant le tribunal correctionnel d’Akbou, le 22 octobre prochain, avise le président de l’association citée, dans une déclaration transmise à notre rédaction. L
’association portant le nom de ces deux illustres lettrés algériens reproche aux deux hommes « d’avoir effectué des travaux de démolition et de construction sur un site protégé », en violation, argue-t-on, de l’article 91 de la loi 98-04, relative à la préservation du patrimoine culturel et historique et à sa protection. « L’avocat de notre association a déposé plainte contre l’occupant de la maison des Amrouche et le wali de Béjaïa, en date du 22 août 2012 », a affirmé, hier, Mustapha Amrouche, que nous avons contacté par téléphone.
Selon lui, la chambre administrative de Béjaïa rendra, aujourd’hui mercredi, son verdict en référé, dans la même affaire mettant en cause le wali de Béjaïa, M. Hamou Ahmed Touhami, et l’occupant actuel de la maison des Amrouche. Ce dernier ne cesse pourtant de clamer son droit, en tant qu’occupant « légal » des lieux depuis des décennies, à engager des travaux d’aménagement.
La polémique, née au lendemain de l’entame des travaux de démolition de l’ex-demeure des Amrouche, a été ponctuée par des passes d’armes entre le propriétaire actuel et les membres de l’association Taos et Jean Amrouche. Dans leur déclaration, les membres de ladite association lancent un appel à « l’ensemble des citoyens pour se solidariser avec l’association et la soutenir, et à venir massivement le jour de l’audience (…) ».
Dalil S., la dépêche de kabylie
Ils sont cités à comparaître devant le tribunal correctionnel d’Akbou, le 22 octobre prochain, avise le président de l’association citée, dans une déclaration transmise à notre rédaction. L
’association portant le nom de ces deux illustres lettrés algériens reproche aux deux hommes « d’avoir effectué des travaux de démolition et de construction sur un site protégé », en violation, argue-t-on, de l’article 91 de la loi 98-04, relative à la préservation du patrimoine culturel et historique et à sa protection. « L’avocat de notre association a déposé plainte contre l’occupant de la maison des Amrouche et le wali de Béjaïa, en date du 22 août 2012 », a affirmé, hier, Mustapha Amrouche, que nous avons contacté par téléphone.
Selon lui, la chambre administrative de Béjaïa rendra, aujourd’hui mercredi, son verdict en référé, dans la même affaire mettant en cause le wali de Béjaïa, M. Hamou Ahmed Touhami, et l’occupant actuel de la maison des Amrouche. Ce dernier ne cesse pourtant de clamer son droit, en tant qu’occupant « légal » des lieux depuis des décennies, à engager des travaux d’aménagement.
La polémique, née au lendemain de l’entame des travaux de démolition de l’ex-demeure des Amrouche, a été ponctuée par des passes d’armes entre le propriétaire actuel et les membres de l’association Taos et Jean Amrouche. Dans leur déclaration, les membres de ladite association lancent un appel à « l’ensemble des citoyens pour se solidariser avec l’association et la soutenir, et à venir massivement le jour de l’audience (…) ».
Dalil S., la dépêche de kabylie