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Si elle est devenue la destination préférée des estivants, la plage centrale de Ténès n’en reste pas moins dangereuse pour les baigneurs. C’est ce que nous avons pu constater au cours d’une récente visite à Ténès.
Des familles sont installées à proximité d’une mare d’eaux usées, alors que des enfants s’y amusent sans avoir conscience des dangers qui les guettent. En effet, les risques de transmission de maladies graves sont omniprésents, tant les eaux usées se déversent directement sur la plage.
L’ouvrage censé protéger le site contre ce fléau en est la principale cause, à en croire des riverains.
D’après eux, ce canal est devenu plutôt une source de pollution qui nuit à l’environnement et à la santé des citoyens. Certains pointent du doigt les services de l’environnement qui tardent, selon eux, «à prendre les mesures visant à mettre fin à la dégradation continue du cadre de vie et de la qualité des eaux de baignade».
En effet, la «mauvaise conception» du projet a fait que la canalisation se termine juste à la limite de la route de la façade maritime, où se jettent justement les eaux collectées des cités urbaines. Mais cela n’a pas pour autant poussé les autorités concernées à interdire cette partie de la plage, ou tout au moins à prendre les mesures de prévention appropriées.
Curieusement, personne ne semble s’en inquiéter, puisque même les estivants n’ont pas renoncé à s’y rendre et continuent à fréquenter l’endroit comme si de rien n’était.
Ahmed Yechkour, el watan
Des familles sont installées à proximité d’une mare d’eaux usées, alors que des enfants s’y amusent sans avoir conscience des dangers qui les guettent. En effet, les risques de transmission de maladies graves sont omniprésents, tant les eaux usées se déversent directement sur la plage.
L’ouvrage censé protéger le site contre ce fléau en est la principale cause, à en croire des riverains.
D’après eux, ce canal est devenu plutôt une source de pollution qui nuit à l’environnement et à la santé des citoyens. Certains pointent du doigt les services de l’environnement qui tardent, selon eux, «à prendre les mesures visant à mettre fin à la dégradation continue du cadre de vie et de la qualité des eaux de baignade».
En effet, la «mauvaise conception» du projet a fait que la canalisation se termine juste à la limite de la route de la façade maritime, où se jettent justement les eaux collectées des cités urbaines. Mais cela n’a pas pour autant poussé les autorités concernées à interdire cette partie de la plage, ou tout au moins à prendre les mesures de prévention appropriées.
Curieusement, personne ne semble s’en inquiéter, puisque même les estivants n’ont pas renoncé à s’y rendre et continuent à fréquenter l’endroit comme si de rien n’était.
Ahmed Yechkour, el watan
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