Ma douce amie,
Mon amie, ma douce amie,
J’aime ce sourire de minuit,
Qui me prie à prier
Pour ses désirs empressés.
J’aime ce silence décent
Qui de ses mots prudents
Implore mes privautés
Et me convie à t’aimer.
Patient de toute ma passion
Comme un complice innocent
Je t’invite de mon sourire
A recueillir tes plaisirs.
Qui de moi, qui de toi
Enivrés de nos émois
Nous buvons insatiables
De nos philtres délectables
Enveloppés de nos corps nus
Attisons de toutes nos vertus
Les feux charnels et sensuels,
Nous fondons telles des chandelles.
ahath ila achou yigouren ayen ilhen ?
Inasken
Mon amie, ma douce amie,
J’aime ce sourire de minuit,
Qui me prie à prier
Pour ses désirs empressés.
J’aime ce silence décent
Qui de ses mots prudents
Implore mes privautés
Et me convie à t’aimer.
Patient de toute ma passion
Comme un complice innocent
Je t’invite de mon sourire
A recueillir tes plaisirs.
Qui de moi, qui de toi
Enivrés de nos émois
Nous buvons insatiables
De nos philtres délectables
Enveloppés de nos corps nus
Attisons de toutes nos vertus
Les feux charnels et sensuels,
Nous fondons telles des chandelles.
ahath ila achou yigouren ayen ilhen ?
Inasken
Commentaire