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L'Université hébraïque de Jérusalem a rendu public des lettres d'Einstein dans lesquelles on y apprend des détails jusque là inconnus sur le père de la relativité. Entre les étoiles et les femmes, Albert Einstein a quand même réussi l'exploit de garder les pieds sur terre... 
- Einstein: Husband, lover and father : http://www.huji.ac.il/cgi-bin/dovrut...53165732688760
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Albert Einstein : l'amant derrière le génie
L'existence d'une obscure amante d'Albert Einstein vient d'être dévoilée dans des lettres ouvertes hier par l'Université hébraïque de Jérusalem, fournissant un nouvel éclairage sur la vie personnelle de l'un des grands esprits du XXe siècle.
Ethel Michanowski, membre du Tout-Berlin, a eu une liaison avec Einstein à la fin des années 20 et au début des années 30, allant jusqu'à lui courir après en Angleterre, raconte Barbara Wolff, archiviste des Archives Einstein de l'université.
Elle était une amie des belles-filles d'Einstein et elle était beaucoup plus jeune que le savant au moment de leur liaison, précise Mme Wolff.
La correspondance d'Einstein comprend plus de 3500 pages et elle a été produite entre 1912 et 1955, année de la mort du physicien. Parmi les révélations: Einstein a perdu le gros de l'argent de son prix Nobel au cours de la Grande Dépression, il était un bien meilleur père que ce que l'on pensait et il discutait ouvertement de ses liaisons amoureuses avec sa deuxième femme.
Dix maîtresses
On sait qu'Einstein a eu 10 amantes, en plus de ces deux épouses.
Mme Michanowski et d'autres (y compris une Margarete, une Estella, deux Toni et une Betty) ont fait de la voile, lu des livres, assisté à des concerts et ont eu d'autres activités avec Einstein, ont indiqué des archivistes lors d'une conférence de presse.
Ce qui est le plus frappant dans les 1300 lettres dévoilées hier est la manière dont Einstein discutait ouvertement de ses aventures extraconjugales avec sa deuxième femme et cousine, Elsa, et avec sa belle-fille et confidente, Margot, soutiennent les archivistes.
Mme Michanowski est mentionnée dans trois des lettres qui viennent d'être ouvertes.
Dans une lettre à Margot en 1931, Einstein se plaint de ce que «Mme M. (Michanowski) (l'a) suivi (en Angleterre) et sa poursuite est hors de contrôle».
Einstein a été l'un des fondateurs de l'Université hébraïque et il lui a légué son patrimoine littéraire et ses documents personnels. L'université possède également les droits de licence sur l'image, la voix et les citations du scientifique.
Le professeur Hanoch Gutfreund, physicien et ancien président de l'Université hébraïque, a déjà mentionné que ces droits ont rapporté environ 1 million $US par année à l'université au cours des 15 dernières années.
Ces lettres (la plupart destinées à Elsa, mais aussi écrites par sa première femme et par leurs deux fils), font partie des Archives Einstein depuis des années. Mais en vertu des dispositions du testament de Margot Einstein, elles ne pouvaient pas être rendues publiques avant 20 ans après sa mort, survenue le 8 juillet 1986, a précisé l'université.
Les documents dévoilés hier ne jettent aucun éclairage sur la science du physicien ni sur la façon dont il a accompli ses formidables réalisations. Mais ils donnent un aperçu sur un aspect privé d'Einstein inconnu du public jusqu'à présent, dit-il.
Les badinages d'Einstein et le traitement parfois cruel envers sa première femme, Mileva, ont été exposés en long et en large dans ses biographies. On l'a aussi dépeint comme un père indifférent peu désireux d'assumer les obligations de la paternité.
M. Gutfreund soutient que la dernière collection de lettres montre qu'Einstein a davantage été présent et plus chaleureux pour sa première famille que ce que l'on avait d'abord cru. Des lettres de ses fils montrent «qu'ils comprenaient que leur père les aimait», dit-il.
Les lettres fournissent aussi la version complète de l'affaire du prix en argent accompagnant le prix Nobel de physique reçu par Einstein en 1921. Selon les dispositions de son divorce d'avec Mileva, la somme complète devait être déposée dans un compte bancaire en Suisse, et Mileva devait en toucher les intérêts pour elle-même et les deux fils du couple, Hans Albert et Eduard.
La nouvelle correspondance montre qu'Einstein avait investi la majeure partie du prix aux États-Unis, et qu'il en a perdu le plus gros lors de l'effondrement de la Bourse. Cela provoqua de grandes frictions avec Mileva, qui se sentit trahie parce qu'il n'avait pas déposé la somme complète tel que le prévoyait leur accord. Mileva lui réclamait constamment de l'argent, selon Mme Wolff. Au bout du compte, toutefois, il finit par lui verser plus d'argent que ce qu'il avait reçu avec le prix Nobel.
Source : AP
- Einstein: Husband, lover and father : http://www.huji.ac.il/cgi-bin/dovrut...53165732688760
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Albert Einstein : l'amant derrière le génie
L'existence d'une obscure amante d'Albert Einstein vient d'être dévoilée dans des lettres ouvertes hier par l'Université hébraïque de Jérusalem, fournissant un nouvel éclairage sur la vie personnelle de l'un des grands esprits du XXe siècle.
Ethel Michanowski, membre du Tout-Berlin, a eu une liaison avec Einstein à la fin des années 20 et au début des années 30, allant jusqu'à lui courir après en Angleterre, raconte Barbara Wolff, archiviste des Archives Einstein de l'université.
Elle était une amie des belles-filles d'Einstein et elle était beaucoup plus jeune que le savant au moment de leur liaison, précise Mme Wolff.
La correspondance d'Einstein comprend plus de 3500 pages et elle a été produite entre 1912 et 1955, année de la mort du physicien. Parmi les révélations: Einstein a perdu le gros de l'argent de son prix Nobel au cours de la Grande Dépression, il était un bien meilleur père que ce que l'on pensait et il discutait ouvertement de ses liaisons amoureuses avec sa deuxième femme.
Dix maîtresses
On sait qu'Einstein a eu 10 amantes, en plus de ces deux épouses.
Mme Michanowski et d'autres (y compris une Margarete, une Estella, deux Toni et une Betty) ont fait de la voile, lu des livres, assisté à des concerts et ont eu d'autres activités avec Einstein, ont indiqué des archivistes lors d'une conférence de presse.
Ce qui est le plus frappant dans les 1300 lettres dévoilées hier est la manière dont Einstein discutait ouvertement de ses aventures extraconjugales avec sa deuxième femme et cousine, Elsa, et avec sa belle-fille et confidente, Margot, soutiennent les archivistes.
Mme Michanowski est mentionnée dans trois des lettres qui viennent d'être ouvertes.
Dans une lettre à Margot en 1931, Einstein se plaint de ce que «Mme M. (Michanowski) (l'a) suivi (en Angleterre) et sa poursuite est hors de contrôle».
Einstein a été l'un des fondateurs de l'Université hébraïque et il lui a légué son patrimoine littéraire et ses documents personnels. L'université possède également les droits de licence sur l'image, la voix et les citations du scientifique.
Le professeur Hanoch Gutfreund, physicien et ancien président de l'Université hébraïque, a déjà mentionné que ces droits ont rapporté environ 1 million $US par année à l'université au cours des 15 dernières années.
Ces lettres (la plupart destinées à Elsa, mais aussi écrites par sa première femme et par leurs deux fils), font partie des Archives Einstein depuis des années. Mais en vertu des dispositions du testament de Margot Einstein, elles ne pouvaient pas être rendues publiques avant 20 ans après sa mort, survenue le 8 juillet 1986, a précisé l'université.
Les documents dévoilés hier ne jettent aucun éclairage sur la science du physicien ni sur la façon dont il a accompli ses formidables réalisations. Mais ils donnent un aperçu sur un aspect privé d'Einstein inconnu du public jusqu'à présent, dit-il.
Les badinages d'Einstein et le traitement parfois cruel envers sa première femme, Mileva, ont été exposés en long et en large dans ses biographies. On l'a aussi dépeint comme un père indifférent peu désireux d'assumer les obligations de la paternité.
M. Gutfreund soutient que la dernière collection de lettres montre qu'Einstein a davantage été présent et plus chaleureux pour sa première famille que ce que l'on avait d'abord cru. Des lettres de ses fils montrent «qu'ils comprenaient que leur père les aimait», dit-il.
Les lettres fournissent aussi la version complète de l'affaire du prix en argent accompagnant le prix Nobel de physique reçu par Einstein en 1921. Selon les dispositions de son divorce d'avec Mileva, la somme complète devait être déposée dans un compte bancaire en Suisse, et Mileva devait en toucher les intérêts pour elle-même et les deux fils du couple, Hans Albert et Eduard.
La nouvelle correspondance montre qu'Einstein avait investi la majeure partie du prix aux États-Unis, et qu'il en a perdu le plus gros lors de l'effondrement de la Bourse. Cela provoqua de grandes frictions avec Mileva, qui se sentit trahie parce qu'il n'avait pas déposé la somme complète tel que le prévoyait leur accord. Mileva lui réclamait constamment de l'argent, selon Mme Wolff. Au bout du compte, toutefois, il finit par lui verser plus d'argent que ce qu'il avait reçu avec le prix Nobel.
Source : AP
DE LA PART D'ALBERT......
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