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Les pluies torrentielles qui se sont abattues, avant-hier, sur la région ont eu des conséquences néfastes sur notamment l'état de certaines routes. Le centre-ville a été submergé par les eaux. De grandes quantités de boue se sont formées au niveau de la pompe à essence du centre-ville, bloquant la circulation durant plus d'une demi-heure. Des eaux qui ont dévalé de toute la ville sont allées jusqu’à pénétrer à l'intérieur de certaines habitations du lotissement Nord. Il est à signaler, que dans ce lotissement, l'entreprise réalisatrice du projet a abandonné depuis belle lurette le chantier, laissant les avaloirs sans couvertures. N'était-ce la mobilisation des jeunes, des personnes se seraient noyées dans leur sommeil.
Les avaloirs, entièrement obstrués par des gravats et autres détritus, les eaux ont débordé sur la chaussée. Le constat est le même sur les axes routiers importants de la région. A commencer par la RN 68 entre Draâ El-Mizan et Tizi-Gheniff, où la boue bloquait, dans l'après-midi encore, de nombreux tronçons de cet axe routier important. Le même décor s'offre aux yeux sur la RN 25 entre Draâ El-Mizan et le Pont noir.
Des éboulements ont eu lieu sur divers points. La peur a gagné notamment les habitants du bidonville surplombant l'hôpital Krim Belkacem dont les baraques ont été inondées par les eaux, quelques unes ont même perdu leurs toitures. Cette nouvelle catastrophe, s'il convient de la désigner ainsi, a démontré encore une fois que certains services n'interviennent que lorsqu’il est déjà trop tard. « C'est le laisser-aller total », tels sont les mots qui revenaient sur toutes les lèvres. Un manque total du suivi de certains travaux a également été dénoncé par les habitants.
Les entreprises, une fois leurs chantiers achevés, laissent sur les lieux des gravats, des tas de terre et même du sable. Une fois de grosses pluies tombées, elles charrient tout sur leur passage. Si des opérations d'urgence n'interviennent pas, sur, par exemple, le CW 04 entre Draâ El-Mizan et Frikat, la circulation ne tardera pas à être complètement bloquée.
Amar Ouramdane, la depeche de kabylie
Les avaloirs, entièrement obstrués par des gravats et autres détritus, les eaux ont débordé sur la chaussée. Le constat est le même sur les axes routiers importants de la région. A commencer par la RN 68 entre Draâ El-Mizan et Tizi-Gheniff, où la boue bloquait, dans l'après-midi encore, de nombreux tronçons de cet axe routier important. Le même décor s'offre aux yeux sur la RN 25 entre Draâ El-Mizan et le Pont noir.
Des éboulements ont eu lieu sur divers points. La peur a gagné notamment les habitants du bidonville surplombant l'hôpital Krim Belkacem dont les baraques ont été inondées par les eaux, quelques unes ont même perdu leurs toitures. Cette nouvelle catastrophe, s'il convient de la désigner ainsi, a démontré encore une fois que certains services n'interviennent que lorsqu’il est déjà trop tard. « C'est le laisser-aller total », tels sont les mots qui revenaient sur toutes les lèvres. Un manque total du suivi de certains travaux a également été dénoncé par les habitants.
Les entreprises, une fois leurs chantiers achevés, laissent sur les lieux des gravats, des tas de terre et même du sable. Une fois de grosses pluies tombées, elles charrient tout sur leur passage. Si des opérations d'urgence n'interviennent pas, sur, par exemple, le CW 04 entre Draâ El-Mizan et Frikat, la circulation ne tardera pas à être complètement bloquée.
Amar Ouramdane, la depeche de kabylie